Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/01/2018

Henning Mankell

  livre.pngUn  polar, deux romans

la muraille.png

Henning Mankell, le grand maître du polar venu du froid

l’inspecteur Kurt Wallander
 
"L'automne est revenu à Ystad. Tynnes Falk, consultant en informatique, s'écroule devant un distributeur bancaire...."  je découvre avec plaisir Wallander...
Quelques mots de l'auteur "
 
"Henning Mankell se souvenait très bien de ce jour de mai 1989 où Kurt Wallander est né.
 
« Je peux même retrouver, dans mon journal, la date exacte. Je voulais écrire sur les émigrants, la xénophobie, confiait-il au Monde des livres en 2010. Je me suis dit que le racisme était un peu comme une attitude criminelle, et que le roman policier était le décor idéal pour en parler. Mais pour cela, j’avais besoin d’un détective. » Sa première apparition a lieu dans Meurtriers sans visage (1991, paru en France chez Bourgois en 1994), distingué par les prix du meilleur roman policier suédois et scandinave...."(Le Monde.fr )

Après ce premier polar, deux romans
 
henning mankell
 
A soixante-six ans, Fredrik Welin vit reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l’archipel. Depuis qu’une tragique erreur a brisé sa carrière de chirurgien, il s’est isolé des hommes. Pour se prouver qu’il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s’y immerge chaque matin. Au solstice d’hiver, cette routine est interrompue par l’intrusion d’Harriet, la femme qu’il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredrik ne le sait pas encore, mais sa vie vient juste de recommencer.

Le temps de deux solstices d’hiver et d’un superbe solstice d’été, dans un espace compris entre une maison, une île, une forêt, une caravane, Mankell nous révèle une facette peu connue de son talent avec ce récit sobre, intime, vibrant, sur les hommes et les femmes, la solitude et la peur, l’amour et la rédemption.( 4 eme de couverture)
 

images 4.jpg

"Le froid de l'autre côté de la vitre me rappelle celui qui émane de mon propre corps. Je suis assailli des deux côtés. Mais je lutte, contre le froid et contre la solitude. C'est pourquoi je creuse un trou dans la glace chaque matin. Si quelqu'un, posté sur les eaux gelées avec des jumelles, me voyait faire, il me prendrait pour un fou. Il croirait que je prépare ma mort. Un homme nu dans le froid glacial, une hache à la main, en train de creuser un trou ?!"

les bottes suedoises2.jpg

 

 

 

images 2.jpg

les bottes suedoises2.jpg

 

Après l’immense succès des Chaussures italiennes, auquel il fait suite, Les Bottes suédoises brosse le portrait en clair-obscur d’un homme tenaillé par le doute, le regret, la peur face à l’ombre grandissante de la mort ? mais aussi la soif d’amour et le désir ? 

 

 

 Une écriture magnifique , pleine d'émotions , ce sera son dernier roman....

 

henning-mankell-copyright-Lina-Ikse-Bergman-internet.jpg

 

 "Henning Mankell a partagé sa vie entre la Suède et le Mozambique. Outre la célèbre série « Wallander », il est l’auteur de romans sur l’Afrique et sur des questions de société récompensés par de nombreux prix littéraires, de pièces de théâtre et d’ouvrages pour la jeunesse. Henning Mankell est mort à Göteborg le 5 octobre 2015 à l’âge de 67 ans." ( le Seuil)

Merci à Françoise , merci Louis-Paul , coup de coeur pour cet auteur que je ne connaissais pas.

les bottes.png

 

17:10 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : henning mankell

04/01/2018

On va, l’espace est grand...

On va.....

 

Le Beaufortain 2007 156.jpg

 

 

                                                          On va, l’espace est grand,
                                                                     On se côtoie,
                                                                On veut parler.
                                                         Mais ce qu’on se raconte
                                                         L’autre le sait déjà,
                                                              Car depuis l’origine
                                                              Effacée, oubliée,
                                                         C’est la même aventure.
                                                         En rêve on se rencontre,
                                                          On s’aime, on se complète.
                                                          On ne va plus loin
                                                             Que dans l’autre et dans soi.

 

Eugène Guillevic 1907-1997 ("Euclidiennes" - 1967)

Au cœur du Beaufortain,

eugène guillevic poeme

Un été ,des randos...

eugène guillevic poeme

 

                                                 

                      "Dans le gravier pur,

                       Dans la prairie verte


                                                
                                            
                                                   

                                                     
                                                   

eugène guillevic poeme


                                           j’emporte avec moi un monde d’oiseaux,
                                          J’entraîne avec moi une chaîne de montagnes.
                                         

                                          J’emporte avec moi le concert des merles
                                         Des nids dans l’ombre des buissons."




eugène guillevic poeme