18/05/2022
Ceux qu'on aime, Ne connaitrons pas la mort...
je découvre Victoria Hislop et aimé
" Ceux qu'on aime"
"Une odyssée familiale puissante et passionnante.
Le grand retour de Victoria Hislop à la saga historique.
Athènes, milieu des années 1940. Récemment libérée de l’occupation allemande, la Grèce fait face à de violentes tensions internes. Confrontée aux injustices qui touchent ses proches, la jeune Themis décide de s’engager auprès des communistes et se révèle prête à tout, même à donner sa vie, au nom de la liberté. Arrêtée et envoyée sur l’île de Makronissos, véritable prison à ciel ouvert, Themis rencontre une autre femme, militante tout comme elle, avec qui elle noue une étroite amitié. Lorsque cette dernière est condamnée à mort, Themis prend une décision qui la hantera pendant des années.
Au crépuscule de sa vie, elle lève enfin le voile sur ce passé tourmenté, consciente qu’il faut parfois rouvrir certaines blessures pour guérir."
A travers les yeux de Themis, une tragique histoire la Grèce de 1930 à nos jours...guerre, dictature, massacre...la démocratie arrivera...
Une histoire, ne pas oublié le passé...
13:42 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (3)
08/01/2022
Code 612 Qui a tué le petit Prince ?
.
"Qui mieux que Michel Bussi pour imaginer une enquête passionnante sur le mystère et les ombres du Petit Prince et de son créateur Saint-Exupéry ? Roman à clé, jeu de piste, hommage, Code 612 Qui a tué le Petit Prince? célèbre les 75 ans du Petit Prince. Un livre indispensable pour les amoureux du conte et de son auteur.
"Avec la signature Bussi : ludique, poétique, surprenante.
Il est le livre le plus traduit au monde, après la Bible, et l'un des plus vendus, conte étrange et fascinant.
Il est l'incarnation universelle de l'enfance, petit garçon blond, mordu mortellement par un serpent...
Mais la vérité est-elle aussi simple ? S'est-on vraiment déjà posé la question : " Qui a tué le Petit Prince ? " Saint-Exupéry n'aurait-il pas dissimulé l'identité de l'assassin dans son roman, lui dont la mort, quelques mois après la parution de son livre, reste tout aussi mystérieuse ?
Code 612. Qui a tué le Petit Prince ? passe en revue hypothèses, coupables et mobiles, pour enfin révéler la vérité stupéfiante sur le secret de Saint-Exupéry, et de son double de papier."
Après , "Rien ne t'efface" nouveau coup de ❤
19:23 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (4)
02/12/2021
Lu, aimé
Thé Ache, tu avais dit quelques mots sur ce roman, alors lu et aimé , merci !
"Le jour paraît sur Giverny.
Du haut de son moulin, une vieille dame veille, surveille. Le quotidien du village, les cars de touristes… Des silhouettes et des vies. Deux femmes, en particulier, se détachent : l’une, les yeux couleur nymphéa, rêve d’amour et d’évasion ; l’autre, onze ans, ne vit déjà que pour la peinture. Deux femmes qui vont se trouver au cœur d’un tourbillon orageux. Car dans le village de Monet, où chacun est une énigme, où chaque âme a son secret, des drames vont venir diluer les illusions et raviver les blessures du passé…"(Quatrième de couverture)
dénouement inattendu !
Interrogé sur son plus grand plaisir d’écrivain, Michel Bussi répond sans hésiter : « écrire la fin de Nymphéas noirs, baptisée "Exposition". Cinquante pages jubilatoires pour faire passer le lecteur par toutes les émotions : la stupeur, la colère, la peine, les larmes… l’espoir. » vrai !!
" l'intrigue de mes romans, c'est ma mélodie"
photo trouvée sur le net
11:10 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (6)
08/10/2021
l'inconnue de la seine
Guillaume Musso est de retour avec «l’Inconnue de la Seine»,
C’est un fait divers célèbre qui trottait dans la tête de Guillaume Musso depuis des années. L’histoire d’une femme retrouvée noyée dans la Seine à Paris à la fin du XIXe siècle et si belle qu’un masque mortuaire de son visage fut réalisé. Sauf que dans son dernier polar, celle qui est repêchée au pied du Pont-Neuf est bien vivante. Elle est juste amnésique…
La légende de l’Inconnue de la Seine, j'ai cherché son histoire, merci Google !
Des traits qui inspirent et fascinent
"À la fin du XIXe siècle, le corps d’une jeune fille est repêché dans la Seine. Lorsqu’on l’amène à la morgue, le médecin légiste trouve le visage de la noyée incroyablement beau. Fasciné par la jeune femme, il fait venir un artiste afin de réaliser un masque mortuaire du visage de la femme. Le moule est ensuite commercialisé par l’Atelier Lorenzi, entreprise parisienne fondée par le mouleur d’art italien Michele Lorenzi. Les traits de l’Inconnue de la Seine se répandent en France et en Europe.
Les arts décoratifs intègrent son visage dans les bâtisses de Paris, des masques sont réalisés, utilisés dans les soirées mondaines… Par la suite, sa beauté inspire de nombreux artistes. Le symbolisme entre la femme, l’eau et la mort rappelle notamment Ondine, et fascine les esprits tortueux. Richard Le Gallienne intègre l’Inconnue de la Seine dans son roman, L’adorateur de l’image. Nabokov, l’auteur de Lolita, lui consacre même un poème, et l’œuvre de Céline L’Église présente en couverture le masque de l’inconnue. Man Ray tente même avec un montage photo de lui redonner son regard."....
Quelques mots Culture Générale, Histoire, photo trouvée sur le net | |
" l'inconnue de la seine" un polar, une folle enquête...
"Par une nuit brumeuse de décembre, une jeune femme est repêchée dans la Seine au niveau du Pont-Neuf. Nue, amnésique, mais vivante.
Très agitée, elle est conduite à l’infirmerie de la préfecture de police de Paris… d’où elle s’échappe au bout de quelques heures.
Les analyses ADN et les photos révèlent son identité : il s’agit de la célèbre pianiste Milena Bergman. Mais c’est impossible, car Milena est morte dans un crash d’avion, il y a plus d’un an.
Raphaël, son ancien fiancé, et Roxane, une flic fragilisée par sa récente mise au placard, se prennent de passion pour cette enquête, bien décidés à éclaircir ce mystère..."(4ième de couverture)
Photo trouvée sur le net
13:45 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (3)
29/09/2021
J'ai aimé
"Acre, quartier juif, 1078. Avner, qui a quatorze ans, pêche avec son père. À l’occasion d’une livraison à un monastère, son regard tombe sur une icône. C’est l’éblouissement. « Il ne s’agit pas d’un portrait mais d’un objet sacré, lui dit le supérieur du monastère. On ne peint pas une icône, on l’écrit, et on ne peut le faire qu’en ayant une foi profonde ».
Avner n’aura de cesse de pouvoir « écrire ». Et tant pis s’il n’a pas la foi, il fait comme si, acquiert les techniques, apprend les textes sacrés, se fait baptiser, quitte les siens. Mansour, un marchand ambulant musulman, le prend sous son aile. C’est l’occasion d’un merveilleux voyage initiatique d’Acre à Nazareth, de Césarée à Jérusalem, puis à Bethlehem, jusqu’au monastère de Mar Saba, en plein désert de Judée, où Avner reste dix années où il devient l’un des plus grands iconographes de Palestine.
Refusant de s’astreindre aux canons rigides de l’Eglise qui obligent à ne représenter que Dieu et les saints, il ose reproduire des visages de gens de la vie ordinaire, cherchant dans chaque être sa part de divin, sa beauté. C’est un triomphe, c’est un scandale. Se prend-il pour un prophète ? Il est chassé, son œuvre est brûlée. Quel sera le destin final d’un homme qui a osé défier l’ordre établi ?" ( 4ieme de couverture)
Le roman de l’artiste qui, envers et contre tous les ordres établis, tente d’apporter de la grâce au monde.
Après le Turquetto ,
"La distance est mère de toutes les sagesses. Colle ton nez à un arbre. Que vois-tu de lui ? Un bout d'écorce. Recule de dix pas et tu le découvriras dans toute sa beauté. Colle-toi à quelqu'un. Qu'arriveras-tu à discerner ? Peu de chose..."
j'ai aimé ce voyage, cet homme, un auteur d'icone
19:51 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (6)
03/08/2021
Un jour de pluie...
J'ai aimé
Le nouveau roman de Michel Bussi
"Par amour pour un enfant, que seriez-vous prêt à faire ? Maddi, elle, ira jusqu'au bout...
Une intrigue magistrale, un twist virtuose pour le nouveau suspense 100% Bussi.
2010. Maddi est médecin généraliste à Saint-Jean-de-Luz, une vie comblée avec Esteban, son fils de 10 ans.
Ce jour d'été là, elle le laisse quelques minutes seul sur la plage. Quand elle revient, Esteban a disparu.
2020. Maddi a refait sa vie, et revient sur cette plage en pèlerinage.
Au bord de l'eau, un enfant est là. Même maillot de bain, même taille, même corpulence, même coupe de cheveux. Elle s'approche. Le temps se fige. C'est Esteban, ou son jumeau parfait.
Maddi n'a plus qu'une obsession, savoir qui est cet enfant.
Il s'appelle Tom, il vit à Murol en Auvergne. Elle prend la décision de s'y installer.
Plus Maddi espionne Tom, et plus les ressemblances avec Esteban paraissent inexplicables : mêmes passions, mêmes peurs... même tache de naissance.
Jusqu'où sera-t-elle prête à aller pour découvrir la vérité, et sauver son enfant ?
Ou ce garçon qui lui ressemble tant.
Ce qu'elle ressent profondément, c'est que Tom est en danger.
Et qu'elle seule peut le protéger....." 4ieme de couverture
Une citation
"C'est le mystère ! Pourquoi certaines âmes reviennent et d'autres non ? Pourquoi certains cognent fort dans un cerveau pour qu'on se souvienne d'elles, et d'autres se font plus discrètes, où nous influencent secrètement sans se faire remarquer ? Tu vois de quoi je parle, l'instinct, l'intuition, le sixième sens..."
A lire !
Le soleil est revenu....
20:15 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (6)
27/03/2019
Le baiser
"Camille a toujours exercé son métier d'avocate avec sérieux, mais sans grande passion. Jusqu'au jour où on lui confie une affaire inhabituelle : identifier le propriétaire d'une sculpture de Brancusi, Le Baiser, scellée sur la tombe d'une inconnue au cimetière du Montparnasse
Le Baiser de Sophie Brocas, un roman inspiré par la sculpture de Brancusi
.
Pour déterminer à qui appartient cette oeuvre, il lui faudra suivre la destinée d'une jeune exilée russe qui a trouvé refuge à Paris en 1910. En rupture avec sa famille, Tania s'est liée à l'avant-garde artistique et a fait la rencontre d'un sculpteur roumain, Constantin Brancusi. Avec lui elle découvre la vie de bohème
Constantin Brancusi dans son atelier, 1927. Collection privée / The Stapleton Collectio
Un Extrait
"Elle vit dans le long bloc un poème résolument moderne, une déclaration d’amour à la vie, à l’ardeur, à l’union. Elle fut frappée par cette sculpture naïve, presque enfantine, ou brute dans son rendu, qui vous pénétrait instantanément du sentiment de la passion absolue. On était loin des visages éplorés, des drapés, des tourelles, des ferronneries. On était dans un ailleurs, celui des êtres liés par l’indicible des sentiments. Camille prit le temps d’observer chaque détail. C’était un bloc carré, trois fois plus haut que large. Un bloc de calcaire gris un peu grossier parsemé d’éclats noirs. Les amants y étaient pris entiers. Nus. Enlacés étroitement. Fondus l’un d’en l’autre. "
J'ai adoré ce baiser de Sophie Brocas.
J'ai aimé Camille et Tatiana, deux histoires de femmes
et découvert cet artiste, Brancusi
. Cent ans plus tard, élucider les raisons de sa mort devient pour Camille un combat personnel : rendre sa dignité à une femme libre, injustement mise au ban de la société.
Avec ce portrait vibrant de deux femmes en quête de justice et d'indépendance, Le Baiser questionne aussi le statut des oeuvres d'art, éternelles propriétés marchandes, qui sont pourtant le patrimoine
commun de l'humanité "( 4ieme de couverture )
13:17 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : le baiser, sophie brocas
17/01/2019
Salina
2019, mon premier coup de coeur
Salina, au destin tragique et solitaire
Tout commence dans un cri, au cœur d’un désert de pierres et de sable. Le cri d’un nourrisson, abandonné là, au centre d’un village, par un cavalier qui s’enfuit aussitôt….
"Salina, l'enfant de sel, petite étrangère venue d'on ne sait où, a été adoptée par le clan Djimba. Elle aime Kano, mais est contrainte d'épouser Saro. Brutalisée et humiliée, Salina refuse de se soumettre. Lorsque son mari meurt, Salina croit qu'elle va enfin connaître le bonheur... Mais ses espoirs se brisent rapidement. Elle ne se laisse alors plus mener que par la haine et l'esprit de vengeance, jusqu'à ce qu'une jeune femme lui apporte l'apaisement final."(4ieme de couverture)
extraits
"J’ai satisfait les plaisirs du fils, on me congédie. Ils m’ont appris à saigner. Je vais leur apprendre à pleurer."
"Quand Salina meurt, il revient à son fils, qui a grandi seul avec elle dans le désert, de raconter son histoire, celle d’une femme de larmes, de vengeance et de flamme"
Maleta se fait conteur et fera de sa mère une légende
"Ils ne parlent pas, laissent dans leur dos la fraicheur de l'oasis et le tumulte de la foule. Elle ne lui a encore rien demandé. Cest d'abord aux corps de se retrouver, ensuite seulement les bouches parleront. Pour l'heure, ils doivent juste marcher côte à côte, ajuster leur pas, retrouver leur complicité silencieuse."
Laurent Gaudé, un magnifique conteur
dans la poussière du désert, j'ai accompagné Salina...
12:44 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : salina laurent gaudé
29/11/2018
Les mots entre mes mains
Magnifique portrait de femme, histoire méconnue et passionnante d'Helena Jans van der Strom.
aux Pays-Bas entre 1634 et 1640...
"Quand Helena Jans van der Strom arrive à Amsterdam pour travailler chez un libraire, la jeune femme, fascinée par les mots, a appris seule à lire et à écrire. Son appétit pour la vie et sa soif de connaissance trouveront des échos dans le cur et l'esprit du philosophe René Descartes. Mais dans ce XVIIe siècle d'ombres et de lumières, où les penseurs sont souvent sévèrement punis, où les femmes n'ont aucun droit, leur liaison pourrait les perdre.
Descartes est catholique, Helena est protestante. Il est philosophe, elle est servante. Que peut être leur avenir?
À partir d'une grande histoire d'amour avérée et méconnue, Guinevere Glasfurd dresse le portrait fascinant d'une femme lumineuse en avance sur son temps. Un roman de passion et de liberté sur fond de fresque envoutantes des Pays-Bas au "siècle d'or"( 4ieme de couverture)
Un extrait
"Je recule quand l'un d'eux m'aperçoit - mais il me regarde sans me voir. J'entends parler hollandais, français et d'autres langues que je ne connais pas : le monde entier s'est donné rendez-vous ici. Pourtant, pas une femme n'en franchit le seuil, pas même une servante pour passer le balai - est-ce parce que penser ne fait pas de poussière ? Ma lettre n'est ni un parchemin, ni un livre - et je ne suis pas un homme. "
René Descartes à sa table de travail. Gravure de C. Hellemans.
L’Histoire fait partie de vos passions ? Pourquoi un roman historique et pourquoi le XVIIe siècle ?
Oui, absolument. J'ai une formation en recherche historique et j'ai travaillé pendant une courte période pour la chaîne BBC History (online). J'ai étudié Descartes à l'université, même si cela date un peu aujourd'hui. Je savais que j’avais envie d’écrire à propos de Descartes, mais sans adopter son point de vue. On a déjà tellement écrit à son sujet et je n'étais pas sûre d'avoir quelque chose de nouveau à ajouter. Il était beaucoup plus intéressant de le décrire à travers les yeux d'Helena, une servante qui travaillait à Amsterdam en 1634 et qui a été son amante. Raconter cette histoire sous cet angle permet au lecteur de voir Descartes avant qu'il ne devienne «important», dans une période de doute considérable pour lui et avant qu’il ne soit publié. On le connait aujourd’hui comme «le père de la philosophie moderne», mais à l’époque il n’en était rien.
Interview. Guinevere Glasfurd: «Créer le personnage de Descartes a été pour moi un vrai défi, me sentant intimidée par moments»
Mathias Stom
20:08 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : les mots entre mes mains
04/02/2018
Ms Hemingway
Les amours et les pertes des femmes de Hemingway
"Durant l’été éclatant de 1926, Ernest Hemingway et sa femme Hadley partent de Paris pour rejoindre leur villa dans le Sud de la France. Ils nagent, jouent au bridge et boivent du gin. Mais où qu’ils aillent, ils sont accompagnés de l’irrésistible Fife, la meilleure amie de Hadley, et l’amante d’Ernest…
Hadley est la première Mrs. Hemingway, mais ni elle ni Fife ne sera la dernière. Au fil des décennies, alors que chaque mariage est animé de passion et de tromperie, quatre femmes extraordinaires apprendront ce que c’est que d’aimer – et de perdre – l’écrivain le plus célèbre de sa génération...(4eme de couverture )
Hadley, Fife, Martha , Marie , quatre femmes....Épouse après épouse, après épouse...Toutes l'on aimé....
" Perdre sa capacité à écrire, c'était perdre sa capacité à libérer son esprit de ses angoisses. Ecrire, c'était entrer dans une maison magnifique : un lieu propre et éclairé où la lumière tombait en de grands faisceaux blanc sur de beaux parquets en bois. Ecrire, c'était se sentir chez soi, c'était y voir clair. "
"Ernst est sur le point de dire quelque chose mais se retient. Martha pense que c'est typique d' Ernest: il veut sa femme, il veut sa maîtresse, il veut tout ce qui est à sa portée. Il est avide de femmes mais surtout il ne connaît pas ses vrais besoins, alors dans le doute il essaie d'attraper tout ce qui passe. Épouse après épouse après épouse. Ce n'est pas une épouse qu'il lui faut; c'est une mère!"
Une belle écriture ,Naomi Wood nous offre un beau portrait et témoignage de ces quatre femmes de l'écrivain , un roman ou on découvre un autre homme....
Ernest Hemingway et Martha Gellhorn, jeunes mariés au Stork Club, à New York, en 1941.
"il s’accorde sur un point: sa fragilité. Hadley Richardson aura été la première à la déceler: "Elle sait qu’il doit lutter contre ses démons et la dépression (…) c’est souvent la nuit qu’il souffre le plus, qu’il entre dans un monde où rien n’a de sens. Puis vient le jour, il va bien, il est joyeux et immensément intéressé par les mots et par l’art, il s’efforce d’écrire au plus près de l’os".
Puis Martha Gelhorn "Elle sait qu’il a peur de la solitude, du caractère brutal de sa tristesse, mais il y a autre chose qu’elle ne parvient pas à nommer, et lui non plus. Il y a dans ce gouffre aussi dur que le quartz, quelque chose d’avarié".
Une fêlure que Naomi Wood suggère sans jamais s’appesantir laissant à ce géant des lettres américaines nobelisé en 1954 toute sa puissance et son mystère.
Journaliste elle aussi la dernière Mrs Hemingway, Mary Welsh, accompagnera l’écrivain jusqu’à son suicide en 1961 dans l’Idaho." un extrait de Alexandra Lemasson " les lectures d'Alexandra"
Photos trouvées sur le net
21:53 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : ms hemingway naomi wood