12/05/2013
Un livre
Un thriller dont les héros sont des fourmis....
Un récit de Bernard Werber
je commence le premier d'une trilogie, les fourmis, le jour des fourmis, la révolution des fourmis
C'est ainsi que commence ce roman
"Le temps que vous lisiez ces lignes, sept cents millions de fourmis seront nées sur la planète. Sept cents millions d'individus dans une communauté estimée à un milliard de milliards, et qui a ses villes, sa hiérarchie, ses colonies, son langage, sa production industrielle, ses esclaves, ses mercenaires... Ses armes aussi. Terriblement destructrices..."
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Lorsqu'il entre dans la cave de la maison léguée par un vieil oncle enthomologiste, Jonathan Wells est loin de se douter qu'il va à leur rencontre...."
A suivre...
Bernard Werber
"Il naît à Toulouse (Haute-Garonne) le 18 septembre 1961. Dès l’âge de 14 ans, il écrit des histoires pour un fanzine (partie de sa vie qui lui servira pour ses romans, comme dans L’Empire des anges). Après ses études en criminologie, il devient journaliste scientifique pendant une dizaine d’années, notamment pour Eurêka, le magazine de la Cité des sciences et de l’industrie. Il fut aussi un collaborateur régulier du Nouvel Observateur. De ces années lui vient son goût pour la science, qu’il mêle avec ses thèmes favoris, des fourmis à la mort en passant par les origines de l’humanité." ( source Babelio)
"Il parcourt depuis quinze ans tous les dédales de la civilisation des fourmis. il en connaît tous les recoins et tous les secrets"
Les fourmis , un extrait p.91
"C'est quelque chose qu'il n'a jusqu'alors jamais senti, jamais vu.
Une femelle.
Et quelle femelle! Il prend le temps de l'examiner. Ses pattes graciles au galbe parfait sont décorées de petits poils délicieusement poisseux d'hormones sexuelles. Ses antennes épaisses pétillent d'odeurs fortes. Ses yeux aux reflets rouges sont comme deux myrtilles. Elle a un abdomen massif, lisse et fuselé. Un large bouclier thoracique, surmonté d'un mésotonum adorablement granuleux. Et enfin de longues ailes, deux fois plus grandes que les siennes.
La femelle écarte ses mignonnes petites mandibules et... lui saute à la gorge pour le décapiter"
Quelques lignes terrifiantes...".Le jour des fourmis approche"
14:37 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : les fourmis, bernard werber