Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/03/2008

demain

Départ pour un petit village en Perigord

1996010552.jpg

A bientôt bisous

105365096.jpg

08:27 Publié dans Ballade | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : ballade

19/03/2008

Chantal Sébire a été retrouvée morte à son domicile

jean-Luc Romero, le président de l'association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) a fait part de sa "tristesse" et a salué une "femme d'exception" après le décès de Chantal Sébire, retrouvée morte mercredi à son domicile.

 

"Même si c'était le souhait (de mourir) de Chantal, j'ai beaucoup de tristesse car c'(était) une femme d'exception, avec un caractère exceptionnel, une grande force, une volonté et une voix pour un combat formidable: celui de la fin de vie dans la dignité", a déclaré à l'AFP Jean-Luc Romero, joint au téléphone

367297097.jpg

23:47 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : politique

18/03/2008

la justice rejette la demande de Chantal Sebire

 la justice oppose une fin de non-recevoir à Chantal Sebire. Le tribunal de grande instance de Dijon a rejeté lundi la demande d'euthanasie déposée par cette mère de famille défigurée d'une  tumeur évolutive, une décision jugée "inhumaine" par son avocat, Me Gilles Antonowicz

1718647580.jpg

Dans son ordonnance, dont l'Associated Press a obtenu une copie, le vice-président du tribunal de Dijon, René-Jean Jaillet, observe que "même si la dégradation physique de Mme Sebire mérite la compassion, le juge en l'état de la législation française ne peut que rejeter sa demande". Il note ainsi que sa requête "s'oppose au code de déontologie médicale", au code pénal, ainsi qu'à la Convention européenne des droits de l'Homme.

"C'est inhumain d'imposer une telle situation à cette femme", a réagi son avocat lors d'une conférence de presse à Paris. La seule possibilité légale qui lui est proposée c'est de demander un coma artificiel pour ne plus souffrir, a-t-il expliqué. "C'est inhumain de vouloir (...) à toute force la plonger dans le coma" alors qu'elle s'y refuse pour "rester consciente jusqu'au bout" et ne pas imposer cette situation à ses enfants, a-t-il poursuivi.

Avec le coma, "on vous impose l'inconscience et on impose à votre famille de vous suivre comme ça, pour un temps indéterminé, c'est indigne, inhumain", a-t-il lancé. "Le médecin qui ferait une piqûre pour la plonger dans le coma artificiel, il sait pertinemment que la personne va mourir" car elle n'est plus nourrie

Chantal Sebire souhaite mourir chez elle, "entourée des siens, et non dans une chambre anonyme d'un hôtel de Zurich. Elle se refuse également à recourir à des moyens qui seraient susceptibles de mettre en danger la vie de tiers ou de traumatiser ses proches", selon la requête déposée la semaine dernière au tribunal.

"Il faut changer la loi. La loi est inhumaine", a dénoncé Me Antonowicz. "La loi abandonne Chantal Sebire à sa souffrance". Selon l'avocat, sa cliente "est épuisée". "C'est une femme qui est exténuée, qui est au bout du rouleau (...) Depuis deux-trois jours, elle a des hémorragies, elle est extrêmement fragile".

Gilles Antonowicz a fait savoir qu'il ne ferait pas appel de la décision du tribunal. "Le temps de la justice n'est plus le temps de Mme Sebire (...) Elle ne peut pas tenir trois mois, ce n'est pas possible". L'avocat a souligné qu'elle pouvait "mourir d'une minute à l'autre" d'une "hémorragie cataclysmique".

Dans un communiqué, l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) déplore que "la France, contrairement aux pays du Bénélux, impose à ses citoyens une peine de souffrance à vie". "Grâce aux pouvoirs publics et aux lobbies religieux, l'espoir de Chantal de finir ses jours chez elle, paisiblement, entourée de l'affection de ses trois enfants, disparaît à jamais".402881866.jpg

Jeudi dernier, Nicolas Sarkozy a proposé un avis médical de "professeurs d'université du plus haut niveau" à Chantal Sebire. "Mme Sebire n'a pas la liberté de mourir mais elle a encore la liberté de choisir ses médecins", a répondu son avocat, tout en rappelant qu'elle ne pouvait pas se déplacer. "Depuis huit ans, elle a vu tous les médecins de la terre, ce n'est pas ça la solution". AP

14:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : solidaite

16/03/2008

EXPULSIONS LOCATIVES

lors que la trêve hivernale des expulsions locatives touche à sa fin, les associations dénoncent l'absurdité d'un système qui met à la rue des personnes que la loi Dalo oblige à reloger.

(Reuters)

Près de 600 personnes ont manifesté samedi 15 mars à Paris en faveur du droit au logement à la veille de la fin de la trêve hivernale des expulsions locatives.
Sous des banderoles clamant notamment "un toit, c'est un droit, pas d'expulsion", les manifestants ont quitté la place de la République vers 14H45 pour rejoindre l'île de la Cité, où se trouvent à la fois la préfecture de police et le palais de justice, deux bâtiments clef dans les processus d'expulsion.
Une trentaine d'associations, comme le Dal (Droit au logement), le Cal (Comité action logement) ou Jeudi Noir, avaient appelé à cette manifestation pour souligner l'absurdité d'un système qui met à la rue des personnes que la loi Dalo (Droit au logement opposable) sur le droit au logement opposable oblige à reloger.
Les personnes expulsées de leur logement sont en effet parmi les publics prioritaires du Dalo qui, si aucun relogement ne leur est proposé au bout d'une période de six mois, seront en droit d'engager des poursuites judiciaires contre l'Etat.

Six catégories de public prioritaires

Selon la loi votée en mars 2007, les commissions de médiation départementales ont été mises en place au 1er janvier et enregistrent les demandes de logement des six catégories de public prioritaires.
Les associations, dans leur appel à manifester, affirment que "plus de 120.000 ménages seront mis à la porte cette année.... alors que les loyers et l'immobilier n'ont jamais été aussi chers (...) et qu'avec des revenus faibles, modestes et même moyens il n'est plus possible de se loger décemment".
En plus de leurs revendications habituelles demandant l'arrêt des expulsions, les associations font part, cette année, de leurs craintes au sujet du livret A dont la collecte - actuellement de quelque 19 milliards d'euros - finance le logement social.
Suivant des injonctions de l'Union européenne, le gouvernement envisage de "banaliser" le livret A, à savoir ouvrir sa distribution à tout le secteur bancaire.

Craintes à propos du livret A

Des associations comme le Dal, mais aussi plusieurs syndicalistes craignent un captage des fonds de ce livret A par les banques vers d'autres produits financiers, menaçant ainsi le financement d'un logement social qu'ils jugent plus nécessaire que jamais.
Parmi les revendications qui seront mises en avant lors de la manifestation de samedi figureront "la défense du logement social" ou l'"arrêt des ventes de HLM".
Selon une des promesses électorales du candidat Nicolas Sarkozy, la ministre du Logement Christine Boutin s'est engagée à mettre en vente, chaque année, 40.000 logements HLM auprès de leurs occupants pour dégager des liquidités pour la construction de nouveaux logements sociaux
Des associations comme Jeudi Noir, qui se veut le défenseur des "jeunes galériens du logement", mettent aussi en avant des revendications sur le développement et la réhabilitation du logement des travailleurs migrants, des jeunes et des étudiant
NOUVELOBS.COM






 

 

10:56 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique

13/03/2008

Chantal Sébire demande à la justice de l’aider à mourir !

451211858.jpg

L’ADMD milite pour permettre à chacun d’avoir une fin de vie conforme à ses conceptions personnelles de dignité et de liberté.

Dans cette perspective, l’ADMD entend obtenir le vote d’une loi légalisant l’euthanasie.

Le vote de cette loi mettrait la France au diapason des législations et des pratiques belges et hollandaises, pays où la légalisation de l’aide active à mourir a eu pour corollaire le nécessaire développement des soins palliatifs de telle sorte que soit en toutes circonstances préservée la liberté de choix du patient, le recours à l'euthanasie ne devant pas être envisagé comme une alternative à un défaut d'accès aux soins palliatifs.

 

a justice a été saisie mercredi 12 mars d'une "demande exceptionnelle mais néanmoins légitime" d'euthanasie de la part d'une mère de famille de 52 ans, Chantal Sébire, défigurée par une maladie orpheline, incurable et évolutive.


La loi Léonetti du 22 avril 2005 sur les droits des malades va dans le sens du respect des malades en fin de vie, mais elle n'autorise pas l'euthanasie en France, contrairement à certains autres pays européens comme les Pays-Bas, la Belgique ou la Suisse.


Nous demandons simplement au magistrat de l'autoriser à s'endormir dans l'affection des siens" et de faire ainsi preuve "d'humanité", a conclu Me Gilles Antonowicz

13:27 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : politique

12/03/2008

RSF CONTRE LA CENSURE SUR INTERNET

1076429288.jpg
1916015706.jpgaprès une première édition en 2006 qui avait rassemblé près de 40 000 internautes, Reporters sans frontières reprend le concept de cybermanifestation pour son opération « 24h contre la censure ». L'organisation appelle le public à venir protester sur son site du mercredi 12 mars 11 heures au jeudi 13 mars même heure, pour dénoncer la censure sur internet. Cette manifestation concordera avec la Journée internationale pour la liberté d'expression sur internet, qu'elle organise le 12 mars conjointement avec l'Unesco.

Sur le site de RSF, les internautes seront invités à créer un personnage virtuel, à choisir leur banderole et à prendre part à l'une des manifestations en ligne, qui auront lieu dans plusieurs pays : Birmanie, Chine, Corée du Nord, Cuba, Egypte, Erythrée, Tunisie, Turkménistan et Vietnam. Pays que RSF qualifie « d'ennemis du Net ».

« Actuellement, 63 cyberdissidents sont derrière les barreaux pour avoir usé de leur droit à la liberté d'expression sur le Web. La Chine reste la plus grande prison pour les journalistes en ligne et les blogueurs », rappelle RSF.

13:21 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : societe

11/03/2008

EXPULSION DE FRANCAIS: LE GABON TEND LE MIROIR A LA FRANCE

125343105.jpgOmar Bongo a beau être l'un des personnages les plus caricaturaux de la Françafrique, il vient d'offrir à la France un miroir déformant dans lequel il ne fait pas bon de se voir. Furieux des conditions d'expulsion de France de deux étudiants gabonais en situation administrative irrégulière, il a décrété que tout Français dans la même situation au Gabon serait mis dans le premier avion s'il était découvert au cours d'un contrôle d'identité...

Monsieur tout-le-monde en sera peut-être choqué: on ne peut pas faire ça à un Blanc quand même... Et pourtant, le Français "clandestin", ça existe. Les autorités gabonaises estiment que sur 10 000 Français résidant sur leur territoire, entre 5 et 10% sont en situation administrative irrégulière, soit entre 500 et 1 000 personnes. Dans un petit pays comme le Gabon (1,2 million d'habitants), c'est beaucoup: entre 30 000 et 60 000 personnes ramenées à l'échelle française.

Les contrôles ont démarré dès l'aéroport. Mardi, selon Le Monde, un cadre pétrolier français a été refoulé à son arrivée à Libreville et remis dans l'avion de Paris... Et il est probable qu'il y en aura d'autres, pour l'exemple.

Faire prendre conscience aux Français de l'inhumanité de leurs pratiques

Les Français clandestins doivent donc raser les murs à Libreville, ne doivent plus oser sortir dans les lieux publics de peur d'être contrôlés, ne doivent plus pouvoir aller travailler de peur d'être dénoncés... Comme des Africains clandestins en France!

C'est là que Bongo a été génial. Comment mieux faire comprendre aux Français le caractère arbitraire, illégal et franchement inhumain de certaines de leurs pratiques si ce n'est en les leur appliquant?

Que dirait-on si un père français d'un enfant de 4 ans était expulsé brutalement du Gabon et renvoyé en France sans son enfant? C'est ce qui est arrivé à l'un des deux Gabonais expulsés de Reims, et qui provoque cette crise...

Il y a quelques années, un cinéaste africain avait eu la brillante idée d'inverser ainsi les rôles. Dans "Africa Paradis" de Sylvestre Amoussou, situé en 2033, l'Europe est en crise économique, et l'Afrique en pleine prospérité. Et les Européens tentent par tout les moyens d'émigrer dans ce "paradis" du plein emploi et de l'Etat providence.

"J'ai inversé la situation, en disant que les Blancs sont fainéants"

Le cinéaste béninois suit ainsi le parcours de deux Français candidats à cette traversée clandestine... Et dans son film, figure même un ministre de l'Intérieur qui rappellera quelqu'un aux Français.

Sylvestre Amoussou expliquait lors d'un passage à Montréal:

"J'ai inversé la situation, en disant que les Blancs sont fainéants. C'est ce que l'on entend tout le temps sur les Noirs. J'ai eu envie de mettre les Européens dans cette situation."

Bongo est certes mal placé pour faire la leçon à la France, lui qui a été placé au pouvoir par Paris il y a plus de ... quarante ans, et qui y a été maintenu depuis. Mais il a eu cette fois une saine colère dans laquelle de nombreux Africains se reconnaîtront.

En espérant qu'elle fasse réfléchir l'ancienne puissance coloniale dont le Président réaffirmait jeudi dans Le Figaro l'"obligation de résultats quant aux reconduites à la frontière". Une nouvelle incitation à piétiner les règles les plus élémentaires de notre propre droit, et de l'humanité

Par Pierre Haski (Rue89)

23:29 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : politique

10/03/2008

CENSURE DANS LE METRO

1486074409.jpg

La régie publicitaire de la RATP, Métrobus, a refusé d'afficher dans le métro une affiche de la Une de Courrier international qui comprenait en titre secondaire "Sarkozy, ce grand malade". "On est dans l'ordre de la censure politique si on ne peut plus critiquer le gouvernement" a déclaré le directeur du magazine.

Censure, liée au contrôle accru qu'opèrent quelques firmes sur la communication au profit du pouvoir en place.


Courrier international est un magazine spécialisé dans la traduction d'articles de la presse étrangère. L'article qui a entraîné la censure de Métrobus est paru dans le quotidien espagnol El Pais.

23:28 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique

08/03/2008

PREMIER ANNIVERSAIRE DE LAISSER LES GRANDIR ICI

1314178039.jpgIl y a un an, le 5 mars 2007, un groupe de 307 cinéastes présentait leur nouveau film* : 16 enfants, filmés en gros plan, lisaient le texte qu'ils avaient écrit : « Laissez-nous grandir ici ! »

En un an, ce petit film a été vu par plusieurs centaines de milliers de personnes, en salle et sur internet ; le texte des enfants a été soussigné par près de 110.000 personnes**; il a eu une audience internationale grâce aux 15 versions sous-titrées, dont beaucoup de traductions proposées spontanément au RESF.

En un an aussi, 3 de ces enfants ont eu la joie de voir leur famille régularisée ; mais l'une a dû subir une nouvelle fois la menace de cette nouvelle « invitation » à quitter la France : l'OQTF. Les autres continuent de vivre avec la peur dans une clandestinité subie.

En un an, 2 des cinéastes ont été confrontés à l'horreur d'une expulsion par avion, ont osé protester et dire leur solidarité, ce qui a valu à l'un d'entre eux d'être débarqué et retenu en garde-à-vue.

En un an, un nouveau ministre, à la tête d'une administration tentaculaire, impose une politique du chiffre dont on ne compte plus les dégâts : au-delà de chaque drame humain derrière les 25.000 expulsions, combien d'enfants expulsés avec leurs parents ? combien de familles explosées après l'expulsion d'un parent ? combien de défénestrations, mutilations et tentatives de suicide dans les « Centres de Rétention » ? ? Et combien de blessures invisibles, infligées par cette peur sourde et ces humiliations quotidiennes, blessures dont les dégâts se révéleront sans aucun doute à long terme, aussi bien chez ces enfants que chez leurs petits camarades de classe en sursis ?

En un an, aussi, cette politique brutale a provoqué jour après jour et dans tous les coins de France des situations tellement dramatiques et absurdes que de plus en plus de citoyens, ici et en Europe, ouvrent les yeux et osent s'y opposer, chacun selon ses talents et possibilités. Ce mouvement sera-t-il assez fort pour renverser la tendance ?

? Faites signer les pétitions du RESF :
http://resf.info/petitions
? Recevez les alertes par mail et intervenez auprès du ministre ou des préfets : http://resf.info/resf.info
? Rejoignez le RESF : http://resf.info/contacts
et participez aux initiatives des collectifs locaux
? Rendez-vous le lundi 7 avril à 19h pour une projection de ce film à la Cartoucherie de Vincennes, pas loin du Centre de Rétention, à l'occasion d'une lecture à plusieurs voix, autour de la troupe du théâtre du Soleil, des lettres adressées à Hortefeux dans le cadre de la campagne RESF "La vie plutôt que les chiffres".
? Rendez-vous le Vendredi 11 avril à 20h30, au Théâtre de la Colline, Paris 20°, pour la sortie du livre "La chasse aux enfants" réalisé par M.Benasayag / Angélique Del Rey et le groupe RESF/Miroir

10:00 Publié dans SOLIDARITE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : solidarite

8 mars : Journée des Femmes : Journée Ingrid

1949681819.jpg1478062027.jpgPetie histoire "de la journée de la femme"

L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est au tout début fait jour au tournant du XIXe et du XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et des idéologies radicales.


 

La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire; elle puise ses racines dans la lutte que mènent les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes

Le 8 Mars 1910 à Copenhague une confédération internationale de femmes socialistes de tous les pays ont créé cette journée en vue de servir à la propagande du vote des femmes.

Le 8 Mars 1914 les femmes réclament le droit de vote en Allemagne et qu'elles obtiendront le 12 Novembre 1918.

Le 23 Février 1917 (calendrier Grégorien) correspondant au 8 Mars dans notre calendrier (Julien) à Saint Pétersbourg des ouvrières manifestent dans la rue pour réclamer du pain et le retour de leurs maris partis au front.

Au passage, l'ordonnance du 21 Avril 1944, accorde le droit de vote aux Femmes Françaises, qu'elles exerceront pour la première fois le 20 avril 1945 pour les élections municipales. (Un siècle de retard sur les hommes qui votent en France depuis 1848) - Le droit de se faire élire pour les femmes n'est que très théorique et symbolique en ces années la.

Le 8 Mars 1948 en France 100000 Femmes pour ce jour de gloire défilent à Paris de la République à la statue de Jeanne d'Arc. Dans de nombreuses villes de France cette manifestation est relayée (5000 femmes à LYON, 30000 à Marseille)

Les Américains essayent de récupérer la paternité de la date pour le Woman Day suite à une grève féminine du 8 Mars 1857, mais cette grève à New York est un mythe qui n'a jamais existé, mais ils se sont servis de ce mythe pour choisir la date du 8 mars.

1971, La Suisse accorde le droit de vote aux Femmes

Les Nations Unies ont commencé à observer la Journée internationale de la femme le 8 mars 1975

En France c'est en 1982 que le gouvernement socialiste instaure le caractère officiel de la célébration de la journée de la femme le 8 Mars. Mais force est de constater qu'en France cette journée n'a plus un caractère protestataire...

Le 8 Mars 1986, au Chili cette journée a fait l'objet d'une manifestation violemment réprimée et le même jour à Washington 100000 personnes manifestaient contre la volonté des conservateurs de supprimer le droit à l'avortement.

En 1998, en Union soviétique le 8 mars est choisi pour lancer le premier concours de beauté.... (sic)

Le 8 Mars 2001, lancement du site WEB permanent sur la Journée de la femme afin de conserver une trace de tout ce qui s'est dit et fait pour la condition des Femmes

 la journée internationale des femmes puise ses origines dans des faits historiques, mais aussi elle symbolise un long processus de luttes et de revendications de milliers de femmes du monde entier.

Depuis quelques années, des femmes dénoncent, luttent contre l’adversité afin d’améliorer les conditions de vie des femmes du monde entier. Cette lutte a différentes origines et diverses formes. Pour dénoncer ce qu’elles subissent, ces femmes écrivent des livres.

"Comme la goutte d'eau tient à la goutte d'eau d'une même vague et d'un même océan, l'humanité entière roule dans la même tempête vers le grand but."  Louis Michel

 

08:35 Publié dans SOLIDARITE | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : solidarite