18/09/2009
Le voyage d'Hiver
"Il n'y a pas d'échec amoureux"
"Eprouver l'amour est déjà un tel triomphe que l'on pourrait se demander pourquoi l'on veut davantage"
Une toute petite histoire écrite avec humour
Des pages déjantées d'Amélie Nothomb, histoire de" trip"
Il y a Zoïle amoureux dAstrolabe, Astrobale qui " se blottit dans ses mots" les mots de Zoïle , et il y a Alienor
zoïle, est vaguement employé" par EDF-GDF, traducteur de l'Odyssée
Astolabe,une femme, agent litteraire au service d'Aliénor, romancière à succès mais qualifiée "d'anormale légère"
Petite heure avec Amélie Nothomb et son univers singulier
"Amélie Nothomb suscite la polémique: elle compte de très nombreux fans, mais aussi de violents détracteurs : « C'est que mademoiselle Nothomb n'a pas que des admirateurs, mais aussi quelques détracteurs qui lui reprochent ceci et cela, et notamment sa célébrité. (…) Elle est devenue, par les hasards des interviews, un mythe »Mais l'auteur se défend : « Je suis ce que je peux être. Je ne maîtrise pas ce que je suis et encore moins les regards que les autres posent sur moi ».
Amélie Nothomb raconte une partie de son enfance dans ses romans Métaphysique des tubes, le Sabotage amoureux et Biographie de la faim.
Fille du diplomate Patrick Nothomb, cette enfance est rythmée par d'incessants déménagements au gré des affectations paternelles. Notamment à cause de sa gouvernante japonaise Nishio-San qu'elle considérait comme sa seconde mère, elle vit son départ du Japon, « pays de la beauté », pour la Chine, « pays de la laideur », comme un exil et vit les autres déplacements familiaux comme autant de déracinements successifs. Mais aussi comme « un nomadisme culturel qui décuple sa curiosité et renforce sa précocité ».
Elle raconte dans Biographie de la faim comment elle a plongé, avec sa sœur Juliette, dans les livres, la potomanie, l'alcool infantile et l'anorexie. Adulte, son diplôme de philologie romane en poche, Amélie Nothomb retourne au Japon pour y travailler comme interprète (elle maîtrise le japonais, du moins oralement) et songe à s'y installer définitivement. Elle entre dans une grande entreprise japonaise, dans laquelle elle restera un an. Après cette expérience, désastreuse à plusieurs égards, qu’elle romance dans Stupeur et tremblements,
elle rentre en Belgique et envoie le manuscrit de Hygiène de l'assassin à de nombreux éditeurs. Elle publie Hygiène de l'assassin chez Albin Michel, en 1992.
00:34 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : amelie nothomb
Commentaires
Astrobale ou Astrolabe ? Ou les 2 ?4
Écrit par : alsacop | 18/09/2009
Alsa
Astrolabe, il faudrait que je rectifie
Écrit par : noelle | 18/09/2009
Je n'ai lu que Stupeur et Tremblements qui ne m'a pas enthousiasmée.
Encore une sur-médiatisée qui ne le mérite pas forcément !
Écrit par : Rosa | 19/09/2009
Qu'un écrivain rencontre le succès ne me dérange pas, tant mieux pour lui...même si les médias lui donne un coup de main !
Écrit par : alsacop | 20/09/2009
"Aucun journal, aucune agence de presse, aucune historiographie n'a jamais mentionné la guerre mondiale du ghetto de San Li Tun, qui dura de 1972 à 1975. C'est à la faveur de cette barbarie quej'ai compris une vérité immense : grâce à l'ennemi, ce sinistre accident qu'est la vie devient une épopée. La mienne serait grandiose : les généraux de l'armée des Alliés m'avaient nommée éclaireur. Sans l'arrivée d'Elena, je serais restée invulnérable jusqu'au bout. Je l'ai aimée dès la première seconde. Elle fut ma belle Hélène, ma guerre de Troie, mon sabotage amoureux.J'ai tout vécu pendant ces trois années : l'héroïsme, la gloire, la traîtrise, l'amour, l'indifférence, la souffrance, l'humiliation. C'était en Chine,j'avais 7 ans.'
"Sabotage Amoureux"
Le premier livre d'Amelie Nothomb que j'ai lu, surprise par cette petite fille follement amoureuse, j'ai aimé
Dpuis, bon ou moins bon, je continue à lire Nothomb
Écrit par : noelle | 20/09/2009
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