06/03/2015
Une toute petite plume blanche
Une toute petite plume blanche
D' un oiseau de passage
tombée dans les épines
Un monde infime,
Le monde entier
Quelques mots de Yannis Ritsos photos Vincent Munier
(1909 - 1990)
où tu parlais aux moineaux,
à la petite lune
qui écrivait sur l’eau tremblante
mille fois ton nom
et tu le savais et c’était toi. - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/yannis-ritsos/qu%E2%80%99est-devenu-le-temps#sthash.tBdvJ8MO.dpuf
où tu parlais aux moineaux,
à la petite lune
qui écrivait sur l’eau tremblante
mille fois ton nom
et tu le savais et c’était toi. - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/essais/yannis-ritsos-secondes/marie-c%C3%A9cile-fauvin#sthash.fH4JJydO.dpuf
où tu parlais aux moineaux,
à la petite lune
qui écrivait sur l’eau tremblante
mille fois ton nom
et tu le savais et c’était toi. - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/yannis-ritsos/qu%E2%80%99est-devenu-le-temps#sthash.ao3FeQWY.dpuf
" Parfois les mots viennent tout seuls presque, comme les feuilles aux arbres, bien sûr, les racines, invisibles, la terre, le soleil, l'eau ont aidé cela...."
où tu parlais aux moineaux,
à la petite lune
qui écrivait sur l’eau tremblante
mille fois ton nom
et tu le savais et c’était toi. - See more at: http://www.recoursaupoeme.fr/essais/yannis-ritsos-secondes/marie-c%C3%A9cile-fauvin#sthash.fH4JJydO.dpuf
16:38 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : yannis ritsos poeme
Commentaires
tu me renvoies dans ce petit matin de fin d'hiver à "mon" Ritsos des années 70. Un vieux bouquin "Gestes" où il écrit ceci :
"Elles sont si lointaines, les femmes. Leurs draps ont une odeur de bonne nuit.
Elles posent le pain sur la table pour que nous ne sentions pas leur absence."
Écrit par : Grapheus | 07/03/2015
ah si les mots pouvaient venir comme les feuilles aux arbres !.. :-)
Merveilleux billet Noëlle ! Plein de bises !
Écrit par : eva | 07/03/2015
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