29/08/2022
L'homme du Grand Hôtel
Je connaissais Guillaume, je découvre le petit frère
dévoré L'homme du Grand Hôtel, Valentin Musso
"Et si vous vous réveilliez un beau matin en ne sachant rien de votre propre vie ?
Cape Cod, Massachusetts.Écrivain mondialement célèbre, Randall Hamilton se réveille dans la chambre d’un hôtel luxueux avec vue sur l’océan.
Le problème, c’est qu’il ignore totalement pourquoi il s’y trouve et comment même il est arrivé là. Pire, il semble avoir tout oublié de sa propre existence, y compris le fait qu’il est l’auteur de plus de quarante romans.
avec ce dixième livre, Valentin Musso nous dévoile un roman à la construction diabolique et au dénouement vertigineux" (4ieme de couverture)
"Son propre nom sur la page de garde. Il secoua la tête, de plus en plus perplexe. Il était impossible qu’il soit l’auteur de ce texte. Non seulement ce qu’il venait de lire ne lui disait strictement rien, mais il avait en plus la conviction qu’il aurait été incapable d’aligner trois phrases pour raconter une histoire, voire simplement d’imaginer une intrigue. Il ne pouvait pas être écrivain. Ces mots ne pouvaient pas être les siens. Pourtant, la réalité ne mentait pas : ce début de roman était à son nom, il se trouvait dans son ordinateur, qui se trouvait dans sa chambre d’hôtel. Que pouvait-il opposer à cela ? Peut-être quelqu’un lui avait-il joué un mauvais tour… Mais qui aurait pris la peine d’élaborer un canular aussi fou et aussi sophistiqué ?"
11:00 | Lien permanent | Commentaires (5)
22/08/2022
"Pas un seul bruit d'insecte ou d'abeille en maraude....."
Un été à Valloire
La sieste
Tout dort sous les grands bois accablés de soleil
Où le feuillage épais tamise un jour pareil
Au velours sombre et doux des mousses d'émeraude.
Criblant le dôme obscur, Midi splendide y rôde
Et, sur mes cils mi-clos alanguis de sommeil,
De mille éclairs furtifs forme un réseau vermeil
Qui s'allonge et se croise à travers l'ombre chaude.
Vers la gaze de feu que trament les rayons,
Vole le frêle essaim des riches papillons
Qu'enivrent la lumière et le parfum des sèves ;
Alors mes doigts tremblants saisissent chaque fil,
Et dans les mailles d'or de ce filet subtil,
Chasseur harmonieux, j'emprisonne mes rêves.
Une rando , une sieste....petit bonheur...
13:54 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (7)
14/08/2022
Tout là- Haut
la Chapelle de Notre Dame des Neiges de Superbagnères.
,aujourd'hui ,petit resto sympa
Mais ce soir là, drôle de ciel, la fumée des incendies de Gironde
La petite histoire
"la Chapelle de Notre Dame des Neiges de Superbagnères. Construite dans les années 1966/67, l’édifice devait servir aux célébrations religieuses pour les skieurs et les touristes.
L’attente ne fut jamais ce que l’on pouvait espérer. Les vache , les jours de mauvais temps, étaient venues durant la période d’estive, se mettre à l’abris et se recueillir. Ouvrage avant-gardiste avec ses toits décalés, sa magnifique croix, très haute, séparée de la battisse, domine les vallées luchonnaises. Par beau temps, un décor hors du commun, avec coté sud, toute cette chaîne de montagnes de la vallée du Lys,et au fond à gauche les 2800 de l’Hospice de France. Le Maupas, les Crabioules, le Lézat et bien d’autres, offrent aux touristes et skieurs, une carte postale hors-norme.
Petit coup de Coeur de l'été
Superbagnères, c'est aussi le départ de belles randos....
Pic de Céciré depuis Superbagnères
09:40 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (4)
12/08/2022
Des lacs
Des fermes, des vallons, par-delà les coteaux,
Par-delà les forêts, les tapis de verdure,
Loin des derniers gazons foulés par les troupeaux,
On rencontre un lac sombre encaissé dans l'abîme
Que forment quelques pics désolés et neigeux ;
L'eau, nuit et jour, y dort dans un repos sublime,
Et n'interrompt jamais son silence orageux.
Dans ce morne désert, à l'oreille incertaine
Arrivent par moments des bruits faibles et longs,
Et des échos plus morts que la cloche lointaine
D'une vache qui paît au penchant des vallons.
Sur ces monts où le vent efface tout vestige,
Ces glaciers pailletés qu'allume le soleil,
Sur ces rochers altiers où guette le vertige,
Dans ce lac où le soir mire son teint vermeil,
Sous mes pieds, sur ma tête et partout, le silence,
Le silence qui fait qu'on voudrait se sauver,
Le silence éternel de la montagne immense,
Car l'air est immobile et tout semble rêver.
On dirait que le ciel, en cette solitude,
Se contemple dans l'onde et que ces monts, là-bas,
Ecoutent, recueillis, dans leur grave attitude,
Un mystère divin que l'homme n'entend pas.
Et lorsque par hasard une nuée errante
Assombrit dans son vol le lac silencieux,
On croirait voir la robe ou l'ombre transparente
D'un esprit qui voyage et passe dans les cieux.
Charles Baudelaire
Des été, des balades, des lacs....Dans les Pyrénées, à Val d'Isère, dans le Queyras, à Isola 2000....
Aujourd'hui,un très joli coin ravagé par les incendies,Hostens
le feu, chaotique, a ravagé depuis maintenant deux jours 7.400 ha de forêts desséchées
13:34 | Lien permanent | Commentaires (3)
09/08/2022
Quelques fleurs
Il voulait serrer une plante sur son coeur sans la déraciné
00:05 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (3)