06/04/2010
Un film culte
J'ai revu "les tontons flingueurs" film culte de Georges Lautner, dialogue de michel Audiard
"Les cons çà ose tout
C'est comme çà qu'on les reconnait"
Parodie policière, ambiance de roman noir
Georges Lautner
Assistant sur plusieurs films, il s'essaye à partir de 1958 à la réalisation en dirigeant son premier film "La Môme Aux Boutons". il parvient en 1963 à réunir une belle brochette d'acteur pour tourner "Les Tontons Flingueurs".
On retrouve Lino Ventura, Francis Blanche, Claude Rich, Bernard Blier, Jean Lefevre...
"Des années 60 à 1992, Georges Lautner va mettre en scène les plus grands acteurs (de Belmondo à Gabin en passant par Rita Hayworth ou Alain Delon). Georges Lautner va mettre un terme à sa carrière en 1992 avec "L'Inconnu Dans La Maison", lâché par les producteurs qui comme il le dit lui même avec beaucoup d'humour "ne veulent pas d'un vieux con sur le retour"
Cette année là, 1963, immense succès pour d'autres films, "8 1/2" de Federico Fellini, ou " les oiseaux" d'Alfred Hitchcok, Visconti avec son film sur le Guépard avec Burt Lancaster et Claudia Cardinale....
Et 1963, c'est aussi la mort de John Kennedy assasiné à Dallas
09:56 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : cinema, georges lautner, les tontons flingueurs
19/09/2008
Un film signé Beinex
Film culte Ode à la voix
Jules échappe à ses poursuivants - des flics et des voyous sur la piste de la cassette - grâce à Gorodish et Alba qui l'hébergent.
Entre deux courses éperdues, il aura trouvé le temps de se faire aimer de Cynthia qui lui pardonne d'avoir volé sa robe.
Réalisé par: | Jean-Jacques Beineix |
Avec: | Frédéric Andréi, Roland Bertin, Richard Bohringer, Gérard Darmon, Chantal Deruaz, Jacques Fabbri, Patrick Floersheim, Thuy An Luu, Jean-Jacques Moreau, ... |
09:42 Publié dans mes films | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : cinema, musique
28/07/2008
AU REVOIR CHAHINE
e réalisateur Youssef Chahine est mort, dimanche 27 juillet, à 82 ans, au Caire
Tout au long de sa vie, l'engagement politique a marqué l'œuvre du monstre sacré du cinéma égyptien.
"J'aime le Caire. Si profondément, que quand on me pose la question " omment? ", je me retrouve cherchant mes mots. Les moments les plus doux de mon existence, les vers les plus beaux que j'ai connus. Gomment je t'aime, laisse-moi énumérer les manières. Est-ce les innombrables vestiges ? Fabuleux ! Ton Nil généreux.,
Ton soleil resplendissant ? Aussi... comme un Français aime Paris ? Evidemment Mais moi... tu vois, moi, c'est les gens que j'aime. Pas les pierres. J'aime leur bonté, leur humeur. Oui, le peuple égyptien est croyant. Mais loin d'être fanatique. Il a le génie d'accoupler vie et Dieu. N'est-ce pas là l'amour à deux ? Ou même plus ? Autrement, comment pourrais-je aimer 22 millions de personnes en même temps ? Toute une capitale. J'aime ceux qui aiment vivre sans déranger l'autre et en vivant à six, coincés dans quatre mètres carrés... on apprend à attendre l'autre. A le comprendre.Surtout à l'aimer. A l'aimer."
Né à Alexandrie en 1926, il a fait des études de cinéma aux Etats-Unis. De retour en Egypte, il tourne son premier film, Papa Amine en 19)0. En 1958, il signe son premier chef-d'oeuvre, Gare centrale, tourné en totalité dans la gare du Caire. Malgré un échec cuisant lors de sa sortie en salle, ce film est devenu depuis mi classique du cinéma égyptien. La conscience politique de Chahine se forme graduellement. Elle est à l'origine (le deux films nationalistes, Gamila l'algérienne (sur la résistance algérienne face à l'occupation française) et Saladin (le héros arabe contre les croisés). ,!ayant subi maintes tracasseries de la part de l'administration égyptienne, il s'exile au Liban en 65, où il tourne deux films avant de revenir en Egypte en 68 pour tourner la première coproduction égypto-soviétique. Un jour le Vil, qui évoque l'amitié entre les deux pays à travers l'édification du barrage d'Assouan. En 1969, le chef-d'oeuvre La Terre est un hymne au fellah égyptien, d'un lyrisme proche des grands maîtres soviétiques. Les années soixante-dix voient Chahine s'interroger sur les problèmes de la société égyptienne contemporaine, dans Le Choix et Le Moineau. Sa consécration internationale a lieu à Berlin en 1979 où il obtient l'Ours d'Argent pour Alexandrie. pourquoi ?, premier volet d'une trilogie autobiographique comprenant aussi La Mémoire et Alexandrie encore et toujours. En 1994, il tourne sa quatrième coproduction avec la France : L'mmigré, librement inspiré de l'histoire biblique de Joseph. Ce film, qui constitue son plus gros succès en Egypte, lui vaut les foudres de certains extrémistes religieux et son film est interdit. Chahine gagne finalement son procès contre ses détracteurs.
Youssef Chahine n'a cessé de prendre son pays comme toile de fond. Toute la société égyptienne est passée sous son regard aiguisé : la pauvreté, le monde ouvrier, les luttes d'indépendance.
Il avait reçu le prix du cinquantième festival de Cannes en 1997 pour saluer l'ensemble de son oeuvre
Son dernier film, "Le Chaos" (2007), critique du régime autocratique égyptien
14:56 Publié dans TRISTESSE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinema
27/05/2008
Le cinéaste américain Sydney Pollack est mort
Le réalisateur américain Sydney Pollack, qui avait obtenu l'Oscar en 1985 avec Out of Africa, est mort lundi 26 mai, à l'âge de 73 ans. Le cinéaste, qui souffrait d'un cancer, s'est éteint entouré des siens dans sa villa de Pacific Palisades, en périphérie de Los Angeles, a précisé sa porte-parole, Leslee Dart.
Outre Out of Africa, il laisse derrière lui certains des grands classiques de l'histoire récente du cinéma, parmi lesquels On achève bien les chevaux, Jeremiah Johnson, Les Trois Jours du condor et Tootsie.
Sydney Pollack aimait aussi jouer sous la direction d'autres réalisateurs. Stanley Kubrick l'avait ainsi dirigé dans Eyes Wide Shut (1999), on l'avait vu aussi chez Woody Allen (Maris et femmes). Il avait plus récemment donné la réplique à George Clooney dans Michael Clayton (2007) et interprété le rôle d'un réalisateur américain dans Fauteuils d'orchestre, de Danièle Thomson, sorti en France en 2006. De ses incursions ponctuelles devant la caméra, il disait qu'il s'agissait d'"un prétexte pour espionner les autres réalisateurs".
En août 2007, sa santé défaillante l'avait contraint à se retirer du projet Recount (Recompte), un film de télévision sur l'élection contestée de George Bush à la présidence des Etats-Unis en 2000 qu'il devait réaliser.
Né en 1934 à La Fayette, dans l'Indiana, dans une famille d'immigrés juifs russes, Sydney Pollack avait fait ses débuts à la télévision en 1960 avant de passer au cinéma, d'abord en tant qu'acteur au côté de Robert Redford dans La guerre est aussi une chasse (1962). Trois ans plus tard, il passait à la réalisation, signant Trente minutes de sursis.
En 1969, On achève bien les chevaux, son adaptation du roman d'Horace McCoy sur l'Amérique de la grande dépression, avec Jane Fonda, lui avait valu une première nomination aux Oscars.
Réalisé en 1982, Tootsie, dans lequel Dustin Hoffman incarne un acteur se travestissant en femme pour trouver du travail, avait de nouveau été sélectionné au titre de meilleur film pour la cérémonie annuelle de célébration d'Hollywood. Sydney Pollack en était reparti sans le prix convoité, mais Jessica Lange avait obtenu, elle, le prix de la meilleure actrice de secondrôle.
Le réalisateur avait dû attendre Out of Africa, interprété par Robert Redford et Meryl Streep, pour décrocher enfin la statuette, en 1985, doublant cette année-là l'Oscar du meilleur réalisateur de l'Oscar du meilleur producteur.
Le réalisateur avait dû attendre Out of Africa, interprété par Robert Redford et Meryl Streep, pour décrocher enfin la statuette, en 1985, doublant cette année-là l'Oscar du meilleur réalisateur de l'Oscar du meilleur producteur.
A plusieurs reprises, la route de Sydney Pollack avait croisé celle de Robert Redford, que le réalisateur a dirigé au total dans sept films, dont le western Jeremiah Johnson (1972), en sélection au Festival de Cannes, le film d'espionnage Les Trois Jours du condor (1975) et Havana (1991).
Parmi ses dernières réalisations pour le cinéma, M. Pollack avait signé L'Interprète (2005), thriller dans les couloirs de l'ONU avec Nicole Kidman et Sean Penn, et La Firme (1993), avec Tom Cruise.
10:29 Publié dans TRISTESSE | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : cinema
19/05/2008
VACANCES ROMAINES
Un oubli....
Il était une fois une toute charmante princesse, Anne (Audrey Hepburn), 1953
Les tendres amours, le temps d'une journée, d'une princesse fugueuse et d'un séduisant journaliste américain, dans la Ville éternelle, Rome |
Les deux jeunes gens se quitteront à la fin de cette mémorable journée éperdument amoureux l'un de l'autre. Anne redevient princesse et découvre alors la profession de Joe, qui ne racontera à personne leurs merveilleuses vacances romaines.
Audrey reçut l'Oscar de la meilleure actrice, ainsi que le British Academy Awards, le New York Film Critics Circle Award et le Golden Globe Award.
Le film reçut 2 autres Oscars, pour la meilleure histoire et pour les meilleures costumes.
Mais il fut aussi nominé 7 fois aux Oscars pour la meilleure photo, le meilleur réalisateur, le meilleur scénario, le meilleur second rôle masculin, la meilleure cinématographie, la meilleure rédaction de film, la meilleure direction artistique et conception des décors.
L'oscar de la meilleure histoire a été décerné à Ian McLellan Hunter. En 1993, un Oscar posthume sera officiellement décerné au véritable auteur Dalton Trumbo, qui avait été "oublié" à l'époque car il était sur la liste noire d'Hollywood pour "sympathie communiste".
Elle joua avec les plus grands acteurs tels Humphrey Bogart, Henry Fonda, Fred Astaire, Cary Grant, Sean Connery, et bien sûr Mel Ferrer, et remporta un Oscar dès son premier grand rôle.
11:47 Publié dans mes films | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : cinema
17/05/2008
Coup de tete
17:24 Publié dans mes films | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : cinema
PREPARER VOS MOUCHOIRS
17:13 Publié dans mes films | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinema
30/04/2008
TRES BIEN, MERCI
Réalisation : Emmanuelle Cuau |
avec Gilbert Melki, Sandrine Kiberlain, Olivier Cruveiller & Christophe Odent
Alex, comptable dans une entreprise, et Béatrice, chauffeur de taxi, forment un couple sans histoire. Leur quotidien est bouleversé le jour où Alex assiste à un contrôle d'identité. Les policiers lui demandent de circuler, mais le témoin refuse d'obtempérer, ce qui lui vaut de passer une nuit au poste. Au matin, Alex demande à voir le commissaire pour se plaindre de cette arrestation abusive. Pour toute réponse, il est envoyé à l'hôpital, placé d'office dans un service de psychiatrie... |
Avec ce film, Emmanuelle Cuau signe un pamphlet à peine déguisé contre le tout sécuritaire
Partant d’un fait divers banal, la rapide descente aux enfers d’Alex (Gilbert Melki) est montrée comme un parfait exemple des dérives envisageables pour le commun des mortels
Un « monde moderne » sous surveillance, un monde absurde
10:55 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinema