28/01/2009
Berling badinter
Hier soir
1971: le téléfilm s'ouvre sur une sanglante prise d'otages à la centrale de Clairvaux, qui débouchera en juin 1972, aux Assises de l'Aube, sur le procès des deux preneurs d'otages: Claude Buffet et de Roger Bontems. L'un a tué, l'autre pas. « Vous n'avez pas de sang sur les mains. On ne peut donc pas vous condamner à mort », assure l'avocat Robert Badinter à Roger Bontems. On ne peut tuer celui qui n'a pas tué, c'est une évidence ».
Dans L'abolition, Jean-Daniel Verhaeghe adapte pour la première fois les deux ouvrages de Robert Badinter, où il relate le combat acharné mené pour l'abolition de la peine de mort dans une société française qui n'était pas prête à l'accepter.
L'émotion et la force de Badinter...
10:47 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : badinter abolition film
Commentaires
Dans la peau du personnage de la note "le vieux fusil", j'aurais vraisemblablement voulu faire justice moi même....
Écrit par : AlsaCop | 28/01/2009
Face à l'horreur, moi aussi je crois, mais j'en serais incapable
Écrit par : noelle | 28/01/2009
Berling/Badinter : un grand moment.
Vous ne vous êtes pas trompé de place pour vos coms ?
Écrit par : Rosa | 28/01/2009
Je recopie mon commentaire écrit sur le Blog de Marie:
« J'ai vu, réunis sur un plateau tv l'homme et l'acteur. Osmose.
Weil, Badinter, les femmes et hommes qui font l'histoire, la grande. Contre les opinions majoritaires et au delà des politiques partisanes. J'ai beaucoup d'admiration pour eux. »
Bon jeudi à toi. Bises.
Écrit par : LP | 29/01/2009
Belle interprétation de Charles Berling, un long combat , beaucoup d'admiration aussi
Bises Louis- Paul
Écrit par : noelle | 29/01/2009
Les commentaires sont fermés.