Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/11/2010

Photos

Reposant a dit Mamita....

Il y a ce petit coin que j'adore, Benqué dessus

056.JPG

luchon 001.jpg

052.JPGEt là, Cazaril

luchon 2005 051.jpg

luchon 2005 056.jpg

Petites  églises des villages des Pyrénées

Commentaires

Ces régions là sont loin des brouhahas des villes, ça ressource bien...et si en plus tu te confesses nono, alors là, tu vas être encore mieux, hi hi...bisou, bonne fin de dimanche...

Écrit par : le Pierrot | 01/11/2010

Tu attendais ton tour, patiemment, là, assise sur le banc ? Un jour, il faudra que je te raconte ce qui m'est arrivé la dernière fois (il y a très longtemps) où je suis entrée dans la boî-boîte grillagée ...
J'en ris encore !

Écrit par : simone | 01/11/2010

Il fait doux dans ces petites églises, un moment de repos...

Simone, racontes!

Écrit par : noelle | 01/11/2010

Que je raconte, j'ai déjà dû le faire par blog interposé mais comme je ne sais plus où ni quand ? ...
Voyons, j'avais quel âge alors ? 12 ou 13 ans. Ma mère m'avait placée dans une pension religieuse et en plus des 8 prières quotidiennes : en arrivant, avant la récré, au retour, à midi et rebelote l'aprem. (là, j'ai mon compte jusqu'à la fin de mes jours ! ) il y avait une chapelle dans le cadre de l'établissement où nous étions censées aller nous confesser bien sûr avant d'assister à une messe ponctuelle. Pour passer au travers j'ai prétendu que j'y allais dans ma paroisse ce qui était faux mais ma mère a vendu la mèche. Coincée, la Simone !
L'accès au confessionnal se faisait dans la chapelle par un petit sas dans lequel se trouvaient 3 portes capitonnées. Comme on n'y voyait goutte pour se diriger les filles laissaient la porte entrouverte, ce qui faisait que la copine qui suivait entendait tout, se marrait en douce et ensuite faisait des gorges chaudes auprès de toute la classe ...
Déjà de mauvais poil ... je décidai de ne pas tomber dans le piège et refermai la porte du sas derrière moi. Noir absolu. Sans hésiter, je poussai la porte qui me faisait face et là me retrouvai non pas en face mais juste derrière le curé qui attendait agenouillé bien sûr. Grosse crise de fou-rire, marchine arrière toute ! J'empoigne la copine qui devait me succèder, la pousse en direction du confessionnal sans tenir compte de ses " mais je ne suis pas prête ! " Elle revient au bout de quelques instants furieuse après moi et j'emprunte le même chemin en prenant tout mon temps pour essayer de me diriger, pousse cette fois la porte de gauche, arrive au bon endroit mais comme dans la chapelle les vitraux étaient inondés de soleil, par contraste je n'y voyais plus rien, pose un genou sur l'angle du prie-dieu qui dérape sur le carrelage, moi avec et mon premier mot en direction du curé est :" merde ! " Re-fou-rire. - " Allons, allons, calmez vous ma fille " et j'enchaîne par " mon père, il m'arrive de dire des gros mots " et ma crise de rire repart de plus belle ! On a terminé comme on a pu. Le curé bien évidemment a rapporté l'incident à la directrice qui m'a passé un savon de première et je me suis jurée ce jour là de ne plus jamais mettre les pieds dans un confessionnal !
Au fait ... c'est peut-être pour ça que j'ai mal aux genoux ? kss ! kss !

Écrit par : simone alias agnostica | 01/11/2010

Je crois que j'avais compris le ", j'ai mon compte jusqu'à la fin de mes jours ! "

Merci Simone pour ces "lignes" souvenirs! et quelles lignes, on se retrouve avec toi à attendre notre tour!

Écrit par : noelle | 01/11/2010

Les commentaires sont fermés.