09/11/2013
Au bord du monde
"Paris, la nuit. C'est ici que vivent Jeni, Wenceslas, Christine, Pascal et les autres. Sans-abri, ils hantent trottoirs, ponts et couloirs du métro, au bord d'un monde où la société ne protège plus. Ils nous font face, ils nous parlent."
Réalisé par Claus Drexel
« Au bord du monde », son long métrage documentaire était présenté au dernier Festival de Cannes à l’ACID.
Sylvain Leser est photographe et auteur des images de ce film
"Paris la nuit, un décor théâtral,sublimé par les lumières chaudes des éclairages de la cité.
L'essence du film réside dans la force des images et celles des témoignages.."
Quelques lignes d'un billet de Dimitri Beck , (Polka cinéma)
Sortie le 22 janvier
20:51 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : film au bord du monde
Commentaires
Bonsoir Noëlle
Oui en effet Paris devient une ville dure et compliquée pour les gens de la rue. Il y a de plus en plus de personnes dehors la nuit, de plus en plus de pauvreté et le reflet de notre capitale n'est plus ce que l'on montre souvent, un décor de carte postale.
Nous en reparlerons.
Bon dimanche.
Bises.
Evelyne
Écrit par : evelyne b. | 10/11/2013
Des situations que l'on retrouve ici aussi, avec l'hiver qui approche c'est pas drôle!
Écrit par : Solange | 10/11/2013
Bonsoir Noëlle, Cet extrait est prenant, on se demande comment on peut survivre la nuit dans le froid comme cette femme qui parle. Triste Paris, et l'hiver arrive.
Bonne soirée et bises.
Écrit par : danae | 10/11/2013
C'est vite fait de se retrouver à la rue à Paris, où les loyers sont si élevés... Dès qu'on n'a plus de travail, on est souvent lâchés par ceux avec qui l'on vit. Une fois à la rue, on ne peut plus s'organiser, se laver régulièrement, on ne retrouve pas de boulot, donc pas de logement... etc... C'est le cercle vicieux. C'est pour cela qu'il faut aider les gens avant qu'ils ne tombent à la rue... Tout est terrible à la rue : le froid, le manque d'hygiène, mais aussi le regard (ou le non regard) des autres, de ceux qui pensent qu'ils ne se retrouveront jamais à la rue.
Écrit par : eva | 10/11/2013
ça serre le coeur
bisous suis de retour
Écrit par : mamita | 12/11/2013
J'ai un noeud dans la gorge... Ces situations là m'émeuvent toujours profondément. C'est l'absurdité la plus totale que de constater que finalement, le monde n'évolue pas tant que ça puisque nous ne savons pas donner au moins un toit à chacun d'entre nous sur cette planète ! Bisous Noëlle.
Écrit par : Cathy | 12/11/2013
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