17/10/2021
Sur des sentiers...
La beauté est le nom de quelque chose qui n'existe pas et que je donne aux choses en échange du plaisir qu'elles me donnent. Fernando Pessoa
Portraitiste , André Breton
Sur des sentiers à Val d'Isère
C'était à Val d'Isère, des randos, un été....Superbes randos....
13:37 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (7)
12/10/2021
C'était dimanche "Viens, marchons silencieux dans la forêt d’automne...."
"Viens, marchons silencieux dans la forêt d’automne,
Flamboyante, magique et touchante saison,
Quand le vent fait gémir les hautes frondaisons
Et voler les feuilles mortes qui tourbillonnent.
Le long des verts taillis formant comme une haie,
A l’abri des sous-bois, parcourons les sentiers
A travers les grands chênes et les pins forestiers,
Passons au pied des troncs de ces hautes futaies.
Parfois il règne au cœur de la forêt profonde
Un silence total; on n’entend aucun bruit
Sauf le battement d’ailes d’un oiseau qui fuit.
Bien que seul, on se sent entouré par un monde...."
Viens, marchons silencieux dans la forêt d’automne....
La grande allée, bientôt....
Quelques mots de Arnaud Jonquet
les photos, dimanche, petite marche...
13:58 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (6)
08/10/2021
l'inconnue de la seine
Guillaume Musso est de retour avec «l’Inconnue de la Seine»,
C’est un fait divers célèbre qui trottait dans la tête de Guillaume Musso depuis des années. L’histoire d’une femme retrouvée noyée dans la Seine à Paris à la fin du XIXe siècle et si belle qu’un masque mortuaire de son visage fut réalisé. Sauf que dans son dernier polar, celle qui est repêchée au pied du Pont-Neuf est bien vivante. Elle est juste amnésique…
La légende de l’Inconnue de la Seine, j'ai cherché son histoire, merci Google !
Des traits qui inspirent et fascinent
"À la fin du XIXe siècle, le corps d’une jeune fille est repêché dans la Seine. Lorsqu’on l’amène à la morgue, le médecin légiste trouve le visage de la noyée incroyablement beau. Fasciné par la jeune femme, il fait venir un artiste afin de réaliser un masque mortuaire du visage de la femme. Le moule est ensuite commercialisé par l’Atelier Lorenzi, entreprise parisienne fondée par le mouleur d’art italien Michele Lorenzi. Les traits de l’Inconnue de la Seine se répandent en France et en Europe.
Les arts décoratifs intègrent son visage dans les bâtisses de Paris, des masques sont réalisés, utilisés dans les soirées mondaines… Par la suite, sa beauté inspire de nombreux artistes. Le symbolisme entre la femme, l’eau et la mort rappelle notamment Ondine, et fascine les esprits tortueux. Richard Le Gallienne intègre l’Inconnue de la Seine dans son roman, L’adorateur de l’image. Nabokov, l’auteur de Lolita, lui consacre même un poème, et l’œuvre de Céline L’Église présente en couverture le masque de l’inconnue. Man Ray tente même avec un montage photo de lui redonner son regard."....
Quelques mots Culture Générale, Histoire, photo trouvée sur le net | |
" l'inconnue de la seine" un polar, une folle enquête...
"Par une nuit brumeuse de décembre, une jeune femme est repêchée dans la Seine au niveau du Pont-Neuf. Nue, amnésique, mais vivante.
Très agitée, elle est conduite à l’infirmerie de la préfecture de police de Paris… d’où elle s’échappe au bout de quelques heures.
Les analyses ADN et les photos révèlent son identité : il s’agit de la célèbre pianiste Milena Bergman. Mais c’est impossible, car Milena est morte dans un crash d’avion, il y a plus d’un an.
Raphaël, son ancien fiancé, et Roxane, une flic fragilisée par sa récente mise au placard, se prennent de passion pour cette enquête, bien décidés à éclaircir ce mystère..."(4ième de couverture)
Photo trouvée sur le net
13:45 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (3)
04/10/2021
Quelques sentiers, un automne...
"On voit tout le temps, en automne,
Quelque chose qui vous étonne,
C’est une branche, tout à coup,
Qui s’effeuille dans votre cou.
C’est un petit arbre tout rouge,
Un, d’une autre couleur encor,
Et puis, partout, ces feuilles d’or
Qui tombent sans que rien ne bouge...."
" Quelle joie chez les feuilles !
Elles valsent au bras
Du vent qui les emporte.
On dit qu’elles sont mortes,
Mais personne n’y croit.
L’automne, au coin du bois...."
Quelques mots de Lucie Delarue Mardrus et Maurice Carème, les photos, des sentiers, les Pyrénées, un automne
10:05 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (5)