11/02/2010
Anne Vanderlove
13:28 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : anne vanderlove poesie musique
10/02/2010
Printemps des Poètes
Pour sa 12ème édition, le Printemps des poètes propose le thème «Couleur femme».
Manifestation nationale créée en 1999, le Printemps des poètes permet durant toute une semaine de développer des milliers d'initiatives visant à promouvoir la poésie sous toutes ses formes. L'édition 2010 est l'occasion d'un éclairage particulier sur l'oeuvre d'Andrée Chedid.
Andrée Chedid
Poète et romancière Française
neé au Caire le 20 mars 1920
"Toi
Qui que tu sois
Je te suis bien plus proche qu'étranger
(derniers vers du poème TOI-MOI" Andrée Chedid
Brève invitée
Ma lande mon enfant ma bruyère
Ma réelle mon flocon mon genêt,
Je te regarde demain t’emporte
Où je ne saurais aller.
Ma bleue mon avril ma filante
Ma vie s'éloigne à reculons,
A toi les oiseaux et la lampe
A toi les torches et le vent.
Mon cygne mon amande ma vermeille
A toi l'impossible que j'aimais
A toi la vie, sel et soleil,
A toi, brève invitée.
Andrée Chedid ("Seul le visage", 1960 - repris dans
"Textes pour un poème - 1949-1970 " - éditions Flammarion, 1987)
«Vivre en poésie, ce n'est pas renoncer ; c'est se garder à la lisière de l'apparent et du réel, sachant qu'on ne pourra jamais réconcilier, ni circonscrire.»
[ Andrée Chedid ] - Terre et poésie
"Je veux garder les yeux ouverts sur les souffrances, le malheur, la cruauté du monde; mais aussi sur la lumière, sur la beauté, sur tout ce qui nous aide à nous dépasser, à mieux vivre, à parier sur l'avenir"
A. Chedid, 1998
L'oeuvre d'andrée Chedid est une éternelle quête d'une humanité, un questionnement ardent sur la condition humaine entrevue à travers les heurts de civilisations du monde méditerranéen. Tous ses livres sont habités d'une foi profonde en l'homme, d'un espoir que l'on rencontre, par ailleurs, dans ses nouvelles ('Le Corps et le Temps', 1979) et dans son théâtre ('Bérénice d'Egypte', 1968). Aujourd'hui elle occupe une place de choix parmi les auteurs français contemporains.
Romancière, nouvelliste, dramaturge et surtout poète, ses nombreux ouvrages en prose ou en vers lui ont valu d'importants prix littéraires, dont le Goncourt de la nouvelle, le Prix Louise Labé et le Prix Goncourt de poésie en 2003.
j'ai aimé
le message
Dans un pays en guerre, une jeune femme, MARIE, est blessée par une balle. Malgré la douleur, elle ne pense qu'à une
chose: rejoindre steph, qui habite de l'autre coté de la ville.
Entre eux , il y a un pont.
Sensible au tragique et à l'absurdité de l'existence, ANDREE CHEDID nous raconte une belle histoire d'amour dans un
pays ou "chacun retrouve des raisons de haïr, de châtier, de massacrer."
10:04 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : printemps des poetes, andrée chedid
09/02/2010
Paisibles
Tranquilles ,au soleil
Retour d'une rando , l'étang de la Frêche, dans les Pyrénées
10:06 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : randos lac fe la frêche pyrénées
08/02/2010
Les Gets en fête
Des joueurs d'orgues, des chanteurs de rue, des boites à musique, des orgues de barbarie, ( j'adore) c'était dans le petit village des Gets ",aux portes du soleil " fête de la musique mécanique
Les Gets c'est aussi çà
Dans sa période “Poinçonneur des lilas”, Serge Gainsbourg se frottait à la chanson réaliste. Et bien sûr, l’accordéon était une source d’inspiration.
06:00 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : les gets en fête, musique, balade
07/02/2010
poème
Je n’ai rien
Que trois feuilles d’or et qu’un bâton
De hêtre;je n’ai rien
Qu’un peu de terre à mes talons,
Que l’odeur du soir en mes cheveux,
Que le reflet de la mer en mes yeux;
Car j’ai marché par les chemins
De la forêt et de la grève
Et j’ai coupé la branche au hêtre,
Et cueilli en passant à l’automne qui dort
Le bouquet des trois feuilles d’or.
Henri De Régnier
06:00 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : poesie le bouquet des trois feuilles d'or .henri de régnier
05/02/2010
Photos
Au coeur des alpes, un vieux village, Beaufort
Sur sa route, un lac, Le Cornet de Roseland
10:11 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : randos dans le beaufortain
04/02/2010
Mort du comédien et metteur en scène Georges Wilson
PARIS — Le comédien et metteur en scène Georges Wilson, disciple de Jean Vilar et père de l'acteur Lambert Wilson, est décédé mercredi à l'âge de 88 ans, ...
Le théatre Français est en deuil
"Mon père, jusqu'à ses dernières heures, n'a fait que parler de théâtre et dans ses derniers cauchemars, ou dans ses derniers rêves, il était dans le théâtre", a souligné Lambert Wilson sur France Culture, évoquant un "engagement de toute une vie" et "l'instinct d'acteur extraordinaire" de Georges Wilson."
«Le rencontrer a été décisif. J’avais trouvé la foi. Je l’ai suivi dans son couvent. Aujourd’hui je n’ai pas envie de le trahir». C’est ainsi que Georges Wilson, mort mercredi à l’âge de 88 ans, rendait hommage en 1996 à Jean Vilar, son mentor.
Il a été à la fois son successeur (1963-1972) au Théâtre national populaire (TNP) à Paris, son héritier intellectuel pour sa conception du théâtre et l’un des derniers témoins de l’aventure initiale du festival d’Avignon.
Au fil de plus de soixante ans de carrière, ce vétéran de la scène française a joué les classiques comme les contemporains, passant avec un égal bonheur du tragique au comique.
De grande taille et de forte stature, l’oeil malin et le nez taillé à coups de serpe, le comédien avait mis son physique, sa voix âpre et tendre, ainsi que son autorité au service de ses personnages, leur donnant une force, qui n’excluait pas une très grande sensibilité. (Liberation)
Ce soir, nombeux hommages à" ce fidèle" de jean Villar
Un souvenir, Georges Wilson dans le Diable et le Bon dieu, de Jean-Paul Sartre vu au TNP, en 70, magnifique
Et souvenir aussi, des " trois petites notes de musique"de georges Delarue du très beau film, une si longue absence, d'Henri Coli (1960)
08:31 Publié dans TRISTESSE | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : mort d'un comédien georges wilson
trois petites notes de musique
08:30 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique film une si longue absence
02/02/2010
"le poète est vivant"
Les gens s'écriaient : 'Le poète est vivant !'" Telle est l'image que retient Dany Laferrière du terrible tremblement de terre qu'il a vécu en Haïti.
Romancier récompensé à l'automne 2009 par le prix Médicis pour L'Enigme du retour (Grasset), Dany Laferrière faisait partie des écrivains invités au festival Etonnants Voyageurs en Haïti, qui devait avoir lieu à Port-au-Prince du 14 au 21 janvier. Après plusieurs jours passés dans la capitale haïtienne, de retour à Montréal, où il réside depuis de longues années, il nous a accordé, vendredi 15 janvier, un entretien.
Un extrait
C'est pour témoigner de cette énergie que vous êtes rentré ?
En effet, mais pas seulement. Lorsque l'ambassade du Canada m'a proposé d'embarquer vendredi, j'ai accepté car je craignais que cette catastrophe ne provoque un discours très stéréotypé. Il faut cesser d'employer ce terme de malédiction. C'est un mot insultant qui sous-entend qu'Haïti a fait quelque chose de mal et qu'il le paye.
C'est un mot qui ne veut rien dire scientifiquement. On a subi des cyclones, pour des raisons précises, il n'y a pas eu de tremblement de terre d'une telle magnitude depuis deux cents ans. Si c'était une malédiction, alors il faudrait dire aussi que la Californie ou le Japon sont maudits. Passe encore que des télévangélistes américains prétendent que les Haïtiens ont passé un pacte avec le diable, mais pas les médias… Ils feraient mieux de parler de cette énergie incroyable que j'ai vue, de ces hommes et de ces femmes qui, avec courage et dignité, s'entraident. Bien que la ville soit en partie détruite et que l'Etat soit décapité, les gens restent, travaillent et vivent. Alors de grâce, cessez d'employer le terme de malédiction, Haïti n'a rien fait, ne paye rien, c'est une catastrophe qui pourrait arriver n'importe où.
Il y a une autre expression qu'il faudrait cesser d'employer à tort et à travers, c'est celle de pillage. Quand les gens, au péril de leur vie, vont dans les décombres chercher de quoi boire et se nourrir avant que des grues ne viennent tout raser, cela ne s'apparente pas à du pillage mais à de la survie. Il y aura sans doute du pillage plus tard, car toute ville de deux millions d'habitants possède son quota de bandits, mais jusqu'ici ce que j'ai vu ce ne sont que des gens qui font ce qu'ils peuvent pour survivre.
Propos recueillis par Christine Rousseau Le Monde
L'enigme du retour, sublime roman
"Tout me ramène à l'enfance, ce pays sans père"
Images de l'enfance, lignes belles et poignantes
Un petit bijou de poésie "Quelque chose bouge là-haut
Une petite fille en train
De grimper la montagne
Avec un saut d'eau sur la tête
Ici on vit d'injustice et d'eau fraîche"
"Quand tout tombe, il reste la culture. Et la culture, c'est la seule chose que Haïti a produite. Ça va rester. Ce n'est pas une catastrophe qui va empêcher Haïti d'avancer sur le chemin de la culture. Et ce qui sauve cette ville, c'est le peuple. C'est lui qui fait la vie dans la rue, qui crée cette vie. Il ne faut pas se laisser submerger par l'événement", a affirmé Dany Laferrière.
19:49 Publié dans SOLIDARITE | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : haitÏ dany lafarrière
C'était un après-midi
Un coin de ciel bleu, un rayon de soleil
Balade
Il étaient là,
au bord du chemin, à nous attendre....
Un beau ciel bleu,
mais toujours l'hiver....
06:02 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : balade canejan janvier 2010