16/11/2009
Défifoto
Le mot " Naissance"
Ce sera la naissance d'une source
On est toujours en Corse, au dessus de Porto- Vecchio, sur un sentier du GR 20
06:00 Publié dans defifoto | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : défifoto
14/11/2009
Superbagnères
Superbagnères est déjà sous la neige
Le même, en octobre,
petite pose , la montée du Céciré
14:28 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : randos superbagnères octobre 2009
13/11/2009
«Romy dans L'Enfer»,
« L'Enfer » : résurrection d'un film et du drame de Clouzot
Fascinant documentaire signé Serge Bromberg et Ruxandra Medrea, L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot questionne l’histoire mythique d’un tournage inachevé. Romy Schneider, envoûtante, en est le souffle.
_Par Juliette Reitzer
En 1964, Romy Schneider est déjà une vedette lorsque Henri-Georges Clouzot, le génial réalisateur du Corbeau,de Quai des Orfèvres et des Diaboliques, lui offre le rôle d’une épouse soupçonnée d’adultère par un mari fou de jalousie (Serge Reggiani). Fort d’un budget illimité accordé par la Columbia, fasciné par l’art cinétique, le metteur en scène souhaite emprunter des voies jamais encore explorées par le cinéma : miroirs déformants, jeux de projecteurs, illusions d’optique… Ces séquences hallucinantes sont destinées à immerger le spectateur dans la folie du personnage,à illustrer son obsession. Clouzot veut tout essayer, tout réinventer. Jusqu’à se perdre : après quatre mois d’essais et deux semaines de tournage, Serge Reggiani quitte le plateau, excédé.
Clouzot lui, continue de filmer Romy, sous les regards ébahis des trois équipes mobilisées pour le film, qui ne comprennent plus rien. Comme si fiction et réalité se confondaient, comme si le cinéaste se noyait dans l’histoire qu’il a écrite – « ces longs plans hypnotiques de Romy Schneider sont des images de fascination, sans doute celle que Romy inspirait à son metteur en scène », avance Serge Bromberg. La force de ce documentaire, qui compile images tournées par Clouzot, entretiens avec les techniciens de l’époque et passages du scénario original interprétés par Jacques Gamblin et Bérénice Bejo, est de ne jamais formuler de réponses péremptoires. Folie des grandeurs, passion créatrice, obsession pour son actrice ? Le mystère Clouzot reste entier. Mais Romy, infatigable, radieuse malgré les heures immobile devant la caméra, parfois nue, peinte en bleu, badigeonnée d’huile d’olive ou recouverte de paillettes, se livre toute entière. Femme sublime, elle fut peut-être fatale pour L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot.
Pas encore vu, Romy inoubliable
20:03 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : film l'enfer de clouzot romy scheider
11/11/2009
Le concert suite
Le concert
l'histoire
A l'époque de Brejnev, Andrei Filipov était le plus grand chef d'orchestre d'Union soviétique et dirigeait le célèbre Orchestre du Bolchoï. Mais après avoir refusé de se séparer de ses musiciens juifs, dont son meilleur ami Sacha, il a été licencié en pleine gloire. Trente ans plus tard, il travaille toujours au Bolchoï mais... comme homme de ménage. Un soir, alors qu'Andrei est resté très tard pour nettoyer le bureau du maître des lieux, il tombe sur un fax adressé à la direction du Bolchoï : il s'agit d'une invitation du Théâtre du Châtelet conviant l'orchestre officiel à venir jouer à Paris... Soudain, Andrei a une idée de folie : pourquoi ne pas réunir ses anciens copains musiciens, qui vivent aujourd'hui de petits boulots, et les emmener à Paris, en les faisant passer pour le Bolchoï ? L'occasion tant attendue de prendre enfin leur revanche..
Réalisé par Radu Mihaileanu
Avec Mélanie Laurent, Aleksei Guskov, Dimitry Nazarov
Biographie : Radu Mihaileanu
Né à Bucharest en Roumanie, et fils d'un journaliste juif déporté et sauvé, Radu Mihaileanu fuit à 22 ans le régime politique de son pays et s'installe en France. Diplômé de la Fémis, Radu Mihaileanu a débuté comme monteur, puis comme assistant réalisateur. Sous l'aile de Marco Ferreri il participe à la réalisation de I Love You en 1985 et Y'A Bon Les Blancs en 1987, notamment.
Son premier film, Trahir, Radu Mihaileanu le signe en 1992, comme réalisateur et scénariste.
Et Va Vis et Deviens, Un film bouleversant qui a reçu le prix du public et le prix Europeen à Berlin
20:34 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : film le concert
Le concert
Un certain concerto de T chaïkovski
Andrëe rêve de le diriger.....
Un film plein d'humour, de tendresse et d'émotion
20:13 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : film le concert
03/11/2009
Identité Nationale
20:43 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (60) | Tags : identité uterria
Elle File
L'Eau Bourde
A travers la forêt.....
les parcs, les moulins
En suivant le chemin
de la Moulette....
13:39 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : balade à canejan octobre 2009
Obama ouvre le territoire américain aux séropositifs
Après 22 ans d'interdiction, les personnes séropositives pourront très prochainement entrer à nouveau aux Etats-Unis. Dès aujourd'hui, le gouvernement devrait prendre les dernières dispositions pour lever l'interdiction qui vivaient les personnes atteinte du virus du sida dès le début 2010.
C'est en effet en 1987, que l'administration Reagan avait édicté ce refus de territoire aux personnes porteuses du VIH, considérant le virus comme une menace pour le pays. Cette décision était "fondée sur la peur plutôt que sur les faits", a déploré vendredi l'actuel président américain, relevant que son pays, qui compte un million de personnes contaminées, ne pouvait prétendre "faire disparaître le stigmate que représente cette maladie, (en traitant) comme une menace ceux qui vivent avec et qui nous rendent visite".
Par ce geste, Barack Obama espère entraîner dans son sillage cette dizaine d'Etats (dont la Russie ou la Chine) qui refuse encore l'accès à leur sol aux personnes séropositives ou malades du sida. Principaux bailleurs de fonds pour la lutte contre la maladie à travers le monde, dont le nombre de séropositifs est estimé à 40 millions de personnes, les Etats-Unis sont, en raison de leur législation restrictive, privées de conférence internationale sur le sida depuis 1993. La levée de l'interdiction, qui encouragera le dépistage du virus, pourrait changer la donne. Saluée par les associations de lutte contre la maladie, elle est en tout cas "un pas qui sauvera des vies", veut croire le président américain
le JDD.fr
06:00 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : actualités sida
02/11/2009
Défifoto
Le mot " Brume"
Un matin de brume
C'était en arrivant au port de Marseille
Sur des sentiers des Pyrenées
Et là, le très joli petit village de Sare, dans le Pays Basque
06:00 Publié dans defifoto | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : defifoto octobre 2009
28/10/2009
La Beauté Du Diable
La Beauté du diable est un film fantastique franco-italien de René Clair sorti en 1950.
Alors que l'on fête le jubilé du professeur Faust, doyen de la faculté, Méphisto parvient à lui faire avouer que son existence fut plutôt vaine. Sans vendre tout de suite son âme, Faust accepte l'offre qui lui est faite de retrouver la jeunesse et d'endosser l'identité d'un étudiant, Henri. C'est sous ses traits qu'il rencontre la belle Marguerite chez des forains.
"Gérard Philipe, appartenait à une génération qui eut vingt ans sous la Seconde Guerre mondiale et que hantait le spectre d'un nouveau conflit généralisé, menaçant à travers la guerre froide, les guerres de Corée, d'Indochine et d'Algérie, l'épisode du canal de Suez. Il fut l'incarnation même des aspirations d'une jeunesse avide de clarté, d'idéal du bien, combattant pour un monde plus généreux.
Qu'il jouât l'Idiot ou des personnages plus maléfiques, il leur insufflait sa passion, sa fragilité, son élégance. Dès 1941, l'auditionnant avant qu'il ne débute, Marc Allégret notait "que ce jeune homme avait en lui de rares réserves de pureté." Vingt ans après, Anne Philipe récusait le mythe : "Pourquoi en faire un ange ?" disait - elle en 1961, "Gérard voulait être un homme."
10:28 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : gerard philippe michel simon cinema