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17/05/2008

Les Orgueilleux


Les orgueilleux                    
envoyé par lachambeaudieGerard philippe se lançe dans un tourbillon de danse sauvage pour une bouteille de tequila

16/05/2008

MES FILMS

INTERVIEW DE DAVID LYNCH


"D’une manière générale, il y a dans vos films une dimension de terreur, de panique, et ils mettent souvent en exergue le côté sombre de l’humanité…"

"Tous les arts sont le reflet de notre monde, et nous vivons dans un monde duel, changeant, habité par la peur, la négativité, les tourments, où des personnes luttent et ressentent des émotions. Les histoires portent tout cela, et le cinéma, qui est l’art le plus puissant dans la possibilité d’expression qu’il offre, est le reflet de notre monde. Dans ce monde où il y a beaucoup de négativité, les arts ont de quoi faire. Mais ce monde porte aussi beaucoup de beaux sentiments. Mes histoires portent ces sentiments.e6148dfc1415086ae54a8d683043686f.jpg

 Et le cinéma est un langage à part entière qui peut dire tant de choses… Tous les arts sont des supports profonds, mais le cinéma est le plus magique."
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15:14 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : films

15/05/2008

Ouverture à Cannes: la réalité rattrape le rêve de paillettes

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L'entrée en matière du 61e édition du Festival de Cannes, n'aura pas été que glamour et paillettes puisque la journée aura été marquée, à la fois, par la noirceur du film d'ouverture et par l'engagement politique de son président, Sean Penn, égal à lui-même.

La cérémonie d'ouverture a été marquée par la présentation d'Edouard Baer, maître de cérémonie, très en forme, qui lui a donné un ton poétique.

C'est plus tôt dans la journée, lors de la conférence de presse du jury que son président, l'acteur-réalisateur américain
Sean Penn, à prouver qu'il serait égal à lui même, c'est à dire politiquement engagé. Il a d'entrée de jeu mis à mal le président George W. Bush, dont il a qualifié la politique de stupide.

Evoquant son rôle de président du jury, il a souligné que les films seraient, comme toujours, jugés sur leur qualité artistique, mais pas seulement...

En effet
Sean Penn a d'entrée de jeu posé sa patte sur ce festival en déclarant que la Palme d'or devra revenir à un réalisateur conscient du monde dans lequel il vit.

On sent d'ores et déjà la force de la présence de Sean Penn sur ce festival. Il semble vouloir calmer les ardeurs des fondus de star système et les habituels débordements glamour sur tapis rouge en rappelant la réalité du monde tel qu'il est aujourd'hui.

Aujourd'hui les films présentés en compétition seront
Waltz with Bashir, de l'Israélien Ari Folman

 et Leonera, de l'Argentin Pablo Trapero.

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Surpris de n'avoir plus aucun souvenir de la première guerre du Liban, Ari part à la rencontre de ses anciens camarades de guerre maintenant éparpillés dans le monde entier. Au fil des rencontres, sa mémoire est parasitée par des images surréalistes.
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De Pablo Trapero
Avec Elli Medeiros, Martina Gusman

Une femme incarcérée tente d'élever son enfant, né en prison.

13:10 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : cannes

14/05/2008

AUTOUR DE PORTO VECCHIO

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A partir du petit village de conca
départ du GR 20
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1530138388.jpgpassé la barre rocheuse,vue magnifique, le GR20 continu jusqu'au col de Bavela
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147038816.jpgSENTIER à travers la forêt vers le refuge d'y PALINI , magnifique forêt de l'Ospedale
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376261866.jpginterminble escalier, taillé à même la falaise, qui va jusqu'à la mer
la haut, enfermée dans ses remparts et perchée sur une falaise de  calcaire blanc: Bonifacio
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25610137.jpgau pied de vielle ville, le port de porto vecchio
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13:51 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : randos

13/05/2008

LES MURS ONT LA PAROLE

L'une des caractéristiques des événements de mai-juin 1968 fut l'extraordinaire liberté d'expression qui régna
durant quelques semaines.
Parmi les manifestations de cette liberté, les graffitis sur les murs furent certainement parmi les plus créatives

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450702293.jpgTOUT VIBRE, TOUT BOUGE
LES AFFICHES, formidables pièces à conviction, collées la nuit ,pour mieux éveiller les consciences.....

13:08 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : mai 68

11/05/2008

texte de la pétition lancée par SOS Racisme

Voici le texte de la pétition lancée par SOS Racisme à l'occasion de la journée pour la mémoire de l'esclavage, samedi 10 mai, ainsi que les noms des premiers signataires.486191223.jpg

LES PLUS HAUTS
représentants de la République Française étaient présents à Fort-de-France pour célébrer un citoyen d'exception en la personne d'Aimé Césaire. Mais assister à des obsèques ne suffit pas à honorer l’œuvre d’un homme.

Aujourd'hui plus que jamais, il faut continuer le combat qui était le sien : un combat contre les préjugés, contre le racisme et pour le vivre ensemble. Aimé Césaire s'était, dans cette optique, récemment exprimé sur les risques liés à un enseignement partiel de l'Histoire de France. Et de fait, en négligeant l'enseignement de l'histoire de la colonisation et de l'esclavage, on conduit un grand nombre de nos concitoyens à se sentir exclus d’une Histoire nationale partagée et on crée le terreau favorable à la « concurrence des mémoires » attisée et exploitée par tel ou tel démagogue.

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Mais surtout, ces lacunes dans l’enseignement de l’Histoire sont dommageables pour le temps présent. Car, en effet, si l’on veut qu’une place bien plus importante soit faite dans les programmes scolaires au traitement historique de la colonisation et de l'esclavage, de ses causes, de ses acteurs et de son fonctionnement, ça n’est pas pour le plaisir de la rétrospective. C’est bien plutôt dans le souci de mieux comprendre le présent et d’éviter la répétition de mécanismes qui ont conduit hier à des crimes perpétrés en toute bonne conscience. Etudier ces pages de notre Histoire, c’est donner les clefs d'analyse aux jeunes générations pour qu'elles puissent comprendre les dangers de ces systèmes de pensée fondées sur des visions essentialistes de l’être humain et sur l’exploitation de ce dernier.25679442.jpg

Etudier ce passé, c’est également permettre de détruire des visions historiquement datées qui, encore aujourd’hui, expliquent les images dégradées et stéréotypées de certaines parties de la population frappées de ce fait par le fléau des discriminations.

Il ne faut cependant pas procéder par injonction morale, ce qui risquerait de jeter un voile de suspicion sur une potentielle exploitation de faits historiques. Il faut au contraire faire de l'Histoire, permettre à l'enfant de développer sa conscience citoyenne par une connaissance rigoureuse des faits. Il est aussi temps de sortir du faux débat autour de la repentance. Les sociétés que l'on étudie, leurs actions appartiennent au passé. Il n'y a pas d'un coté les descendants des faibles et des opprimés et de l'autre les descendants d’oppresseurs qui seraient frappés d’une honte héréditaire : nous sommes tous les enfants de l'Histoire.

C'est pourquoi, nous, signataires de cette pétition, appelons le Ministre de l'Education nationale, le Haut Conseil de l'éducation et le Conseil supérieur de l'Education à donner enfin une place digne de ce nom dans les programmes scolaires à l'enseignement de l'histoire de la colonisation et de celle de l'esclavage, parties intégrantes de l'Histoire de France.
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20:40 Publié dans SOLIDARITE | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : politique

10/05/2008

LA MARQUE DU TEMPLE

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Le jour de la Saint-Jean-Baptiste, à huit jours des calendes de juillet, en l'an de disgrâce 1348, la Bête immonde à la face hideuse nous avait saisi la main. Le Mal noir rôdait autour de nous depuis trois ans, entraînant dans son sillage criminels et innocents. La pestilence ravagea la baronnie, la comté de Pierregord et les royaumes les plus lointains de l'occident à l'orient. Du Sud au Nord. En moins d'un an. Un feu sur trois disparut à tout jamais. Simple écuyer du baron de Beynac, je franchis les quelques lieues qui nous séparaient de sa seigneurie de Commarque pour rejoindre enfin, par des voies souterraines, ma douce mie Isabeau de Guirande et poursuivre mon enquête criminelle.....

(Bertrand Bouchet de Born, Chevalier bachelier

Roman et balade en périgord au chateau de Commarque.     Epouvantables massacres, répression, trahisons, mensonges, félonies, barbarie....

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La Marque du Temple est le second roman de la trilogie " Le Chevalier noir et la Dame blanche ". L'enquête sur le plus grand crime commis contre l'humanité au XVIe siècle, pendant la guerre de Cent Ans, débouche sur la découverte du fabuleux trésor des Cathares, caché par les plus hauts dignitaires de l'Ordre du Temple avant sa dissolution en 1312.

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A propos de l'auteur :

Hugues de Queyssac est un enfant du Périgord. Ancien élève des Pères jésuites aux collèges Saint-Joseph de Sarlat, puis davignon.

Le chateau de Commarque se situe au bout d'un petit sentier à travers bois, difficile d'accès ,on lui donna le nom de "forteresse oubliée" très jolie balade

748037959.jpg en Perigord, tout près de Sarlat, les Eyzies et Beynac
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15:38 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (5)

09/05/2008

Lili, une histoire sans fin ou la vie ordinaire des "sans-papiers" en France

C’est un livre pour enfants et bien plus. On y apprend beaucoup de choses : "Quand il s’agit de raconter une histoire (vraie) d’injustice et de solidarité aux plus jeunes, on va à l’essentiel"

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mais on ne simplifie pas à outrance : les enfants ont droit au difficile. Ainsi, cette procédure judiciaire, qui permet aux expulseurs de dire qu’on est dans un État de droit, le fait est qu’elle laisse passer quelques “sans-papiers” au travers de ses filets. Beaucoup d’adultes ne connaissent pas ces méandres - je les ignorais totalement il y a trois ans : les voilà expliqués en deux temps trois couleurs.

Et la solidarité, la voilà vivante : quelques personnes rassemblées, pas très nombreuses, et sous la pluie. Mais, comme les femmes de la Rosenstrasse dans le Berlin nazi, comme les Mères de la Place de Mai sous la dictature argentine, ces petits rassemblements font peur aux très grands, aux puissants. Et les petits ont besoin de savoir que ceux qui commandent d’en haut n’aiment pas le désordre d’en bas, et préfèrent quelquefois reculer. Et les rassemblements se font encore, plus tard, ailleurs, inlassablement.

Il ne faut pas un long commentaire à la belle concision que vous allez découvrir : il suffit de dire que, de ce combat où les enfants ont une grande part, il est bon que l’on parle avec des mots d’enfants. Avec des mots justes.

Jean-Pierre Fournier RESF

Marseille, mai 2007, une famille russe « sans-papiers » qui vient de se faire arrêter à Toulouse est

 

 transférée au centre de rétention administrative de Marseille. Il y a les parents et leur fille de 8 ans, Lili.

Le Réseau Éducation Sans Frontières appelle à la mobilisation devant le centre, boulevard des Peintures, pour empêcher leur expulsion.

Pour quelle raison a-t-on arrêté ces gens, pourquoi sont-ils en prison ?

C’est l’histoire d’une famille qui cherche un coin de terre pour vivre paisiblement mais qui se retrouve hors la loi parce qu’elle n’a pas l’autorisation officielle de rester sur le sol français.

 A LIRE ET FAIRE LIRE : Lili, une histoire sans fin, ou la vie ordinaire des sans-papiers en France, de Marie-Pierre Aiello

 

Mais qui sont ces « sans-papiers » qu’on embarque avec les mains menottées dans le dos ? Pourquoi les arrête-t-on ? Quel crime ont-ils commis ?

Sur trente-six grandes pages colorées mêlant aquarelle, pastel et collages, avec une approche simple, mais non simpliste, MpI Aiello expose aux jeunes lecteurs une vraie histoire d’injustice. Une histoire où des gens se retrouvent hors-la-loi parce qu’ils cherchent un petit coin de terre pour y vivre aussi paisiblement que possible. Une histoire où les expulseurs s’abritent derrière les méandres aveugles et kafkaïens de l’Etat de droit. Une histoire où la solidarité vibre. Malgré tout. Eh oui, il y a dans ce pays des gens qui ne veulent pas qu’on traite les sans-papiers comme des criminels.

 

13:27 Publié dans SOLIDARITE | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : politique

07/05/2008

LES GENETS

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Les genêts, doucement balancés par la brise,
Sur les vastes plateaux font une houle d'or ;
Et, tandis que le pâtre, à leur ombre s'endort,
Son troupeau va broutant cette fleur qui le grise...

Cette fleur toute d'or, de lumière, et de soie
En papillon, posée au bout des brins menus
Et dont les lourds parfums semblent être venus
De la plage lointaine où le soleil se noie...

Certes, j'aime les prés où chantent les grillons
Et la vigne pendue aux flancs de la colline
Et les champs de bleuets sur qui le blé s'incline
Comme sur des yeux bleus tombent des cheveux blonds...

Mais je préfère aux prés fleuris, aux grasses prairies
Aux coteaux où la vigne étend ses pampres verts,
Les sauvages sommets de genêts recouverts,
Qui font au vent d'été de si fauves haleines....


(Recueil : Fleurs de genêts ) François Fabié

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11:53 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (9)

06/05/2008

Sans la nommer

Georges Moustaki Le métèque est de retour, avec un nouvel album, « Solitaire »                                            qui sort aujourd’hui et une tournée de plus qui commence ce soir sur la scène de l’Olympia.              Intemporel citoyen du monde, Georges Moustaki continue de faire souffler un vent de liberté.

Quarante ans aprés Mai 1968         

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Je voudrais, sans la nommer,
Vous parler d'elle
Comme d'une bien-aimée,
D'une infidèle,
Une fille bien vivante
Qui se réveille
A des lendemains qui chantent
Sous le soleil.

{Refrain:}
C'est elle que l'on matraque,
Que l'on poursuit que l'on traque.
C'est elle qui se soulève,
Qui souffre et se met en grève.
C'est elle qu'on emprisonne,
Qu'on trahit qu'on abandonne,
Qui nous donne envie de vivre,
Qui donne envie de la suivre
Jusqu'au bout, jusqu'au bout.

Je voudrais, sans la nommer,
Lui rendre hommage,
Jolie fleur du mois de mai
Ou fruit sauvage,
Une plante bien plantée
Sur ses deux jambes
Et qui trame en liberté
Ou bon lui semble.

{Refrain}

Je voudrais, sans la nommer,
Vous parler d'elle.
Bien-aimée ou mal aimée,
Elle est fidèle
Et si vous voulez
Que je vous la présente,
On l'appelle
Révolution Permanente !




20:52 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : musique