22/07/2022
coup de coeur de l'été
"L’été s’achève à Plaka, un village sur la côte nord de la Crète. Alexis, une jeune Anglaise diplômée d’archéologie, a choisi de s’y rendre parce que c’est là que sa mère est née et a vécu jusqu’à ses dix-huit ans. Une terrible découverte attend Alexis qui ignore tout de l’histoire de sa famille : de 1903 à 1957, Spinalonga, l’île qui fait face à Plaka et ressemble tant à un animal alangui allongé sur le dos, était une colonie de lépreux... et son arrière-grand-mère y aurait péri. Quels mystères effrayants recèle cette île..."
Bouleversant plaidoyer contre l'exclusion,"L'île des oubliés" est le premier roman de l'écrivaine britannique Victoria Hislop,
j'ai commencé par son dernier "
" Ceux qu'on aime"
Cet été, quelques balades, les Pyrénées....
13:47 Publié dans COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (6)
20/03/2018
le photographe aux semelles de vent....
"Monté sur une bicyclette, un jeune garçon déguisé en ange descend une ruelle sous le regard d’une habitante à peine surprise. L’image est à la fois poétique et amusante. Elle saisit sur le vif une scène qui a attiré l’attention de Josef Koudelka en Italie. L’enfant photographié semble issu d’une procession de fête religieuse. Tout au long des voyages qu’il réalise, l’artiste capture des visages, des paysages et des vues citadines. Ses clichés sont marqués par l’esthétique noir et blanc qui participe à la dramatisation des sujets représentés.
Au sein d’un cadrage restreint, Josef Koudelka fait cohabiter l’homme et la nature en un dialogue muet. Les clichés de l’artiste figent pour l’éternité des visages dont le regard hagard illustre une certaine inquiétante étrangeté. Énigmatiques, les photographies témoignent par ailleurs d’une maîtrise hors pair du cadrage et de la composition."
"Il fait sienne cette maxime de son alter ego Milan Kundera :
Celui qui veut se souvenir ne doit pas rester au même endroit et attendre que les souvenirs viennent tout seuls jusqu'à lui ! Les souvenirs se sont dispersés dans le vaste monde et il faut voyager pour les retrouver et les faire sortir de leur abri ! (Le livre du rire et de l'oubli).( Esprit nomade )
il fuit, il glisse dans le temps et hors du temps, il voyage au travers de l’humanité, toujours en route vers les visages.
Texte de Czeslaw Milosz.
En 1970, après avoir été reporter lors de l’invasion soviétique, Josef Koudelka renonce à sa nationalité tchèque, devient apatride et entame un long voyage : celui de l’exil. Traversant les frontières de l’Europe, en homme libre, il photographie ce qu’il voit : les lieux, les objets, les âmes. Ces images de vie dégagent une profondeur et une force invraisemblables. À la fois nomade et visionnaire, Koudelka dépeint un monde où le tragique investit le quotidien.
La sélection d’images que nous propose Exils nous emmène dans un voyage qui nous en dit autant sur l’être que sur l’ailleurs et qui trouve aujourd’hui une particulière acuité, au moment où l’Europe est secouée de crises.
Ce livre est édité pour la première fois en 1988. En 2015, paraît une nouvelle édition, revue et augmentée.
« Et les tanks sont arrivés » sera le titre d’une exposition Invasion 1968 des photos de Josef Koudelka.
« Je ne sais pas trop pourquoi j’ai commencé, pour la beauté sans doute. Mais je sais pourquoi je n’ai pas pu arrêter, pour la musique. »
"Atypique, sauvage, solitaire, il va là où le vent le pousse, souriant et insaisissable....."Depuis longtemps, coup de coeur pour ces photos, pour cet homme toujours nomade, toujours ailleurs...
Quelques extraits 'd'esprits Nomades"
11:46 Publié dans COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : josef koudelka
04/01/2016
C'était.....il y a quelques années....
J'adore cette photo ! Arcachon , les trois frères, au milieu, mon papa ,Honoré ,
Noël, mon parrain, et Felix
En 1954, mon frère était en permission, nous partons à la piscine.....
Quelques années plus tard, avec mon papa, le 30 juillet 66, à Sarlat...
Avec ma maman, son anniversaire, 80 ans
Dernière photo de mon papa
" Je me souviens, c'était un matin, l'été,
La fenêtre était entrouverte, je m'approchais,
J'apercevais mon père au fond du jardin.
l était immobile, il regardait
Où, quoi, je ne savais, au-dehors de tout..."
Vieilles photos...quelques mots Yves Bonnefoy
14:13 Publié dans COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : vieilles photos
20/11/2015
‘Mes chaussures étaient gelées...."
Histoire d'une photo
C’était en décembre 2013. Au camp de réfugiés de Kawergosk, à trente kilomètres d’Erbil, la capitale du Kurdistan irakien, l’hiver était rude, l’air humide et le sol boueux. Au moins dix mille habitants peuplaient cet océan de tentes bleues et blanches, sorti de terre quatre mois plus tôt. Mi-août 2013, ces Kurdes syriens avaient fui les barbaries du régime de Bachar al-Assad, de l’Etat islamique ou d’al-Qaïda.
Pour raconter ce refuge de l’urgence, ARTE Reportage envoya quatre artistes français et allemand en mission : le cinéaste Pierre Schoeller, le photographe Reza, le dessinateur Reinhard Kleist et l’écrivain Laurent Gaudé. Plus que les œuvres réalisées par ces derniers, une image avait, à l’époque, marqué les esprits : un cliché pris par une jeune réfugiée, âgée de 11 ans à l’époque. Maya Rostam, c’est son doux nom, participait, avec d’autres enfants, à l’atelier photographique initié par Reza lors de son passage à Kawergosk.
“Au second jour de l’atelier, Maya n’est pas là”, raconte Reza. “Je m’inquiète, me renseigne. Personne ne connaît sa tente. Je reste confiant. Le cours a commencé. Maya apparaît, s’avance timidement, gênée, terriblement gênée. Je l’interroge sur son retard. Elle ne dit mot et baisse la tête. Je suis accaparé par d’autres élèves, mais je répète la question : ‘Pourquoi es-tu en retard ?’ Sans un mot, elle tend son appareil vers moi et me montre cette photographie. Elle ajoute d’une voix presque inaudible : ‘Mes chaussures étaient gelées. J’ai dû attendre pour les mettre.’ Je n’ai jamais été autant bouleversé devant la force symbolique d’une image.”
Un extrait "l'atelier photo des enfants de Kawergosk" ARTE
20:31 Publié dans COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : reza, histoire d'une photo
25/05/2015
Festival de Cannes 2015
Les trois héros français de la soirée à Cannes : Emmanuelle Bercot, Jacques Audiard et Vincent Lindon (de gauche à droite)
jury présidé par les frères Coen
Jacques Audiard remporte la Palme d'or pour son film Dheepan !
"Dheepan", film d'amour et de violence de Jacques Audiard, sur le parcours en France de réfugiés sri-lankais,
Jacques Audiard avait déjà été récompensé à plusieurs reprises à Cannes, par le Prix du scénario pour "Un Héros très discret" en 1996 et le Grand prix en 2009 pour "Un Prophète".
Vincent Lindon reçoit le prix d'interprétation masculine pour son rôle dans La loi du marché de Stéphane Brizé.
"La loi du marché" de Stéphane Brizé, film cinglant sur la brutalité du monde du travail, dans lequel il interprète un chômeur de longue durée qui se bat pour retrouver un emploi.
La voix brisée par l'émotion, l'acteur, qui a été ovationné par la salle, a chaleureusement remercié le réalisateur et dédié son prix "aux citoyens laissés pour compte", estimant que ce prix était "un acte politique".
Michel Franco remporte le Prix du scénario pour son film Chronic.
La Palme d'or du court-métrage a été attribuée à Waves'98 du Libannais Ely Dagher.
Sandrine Bonnaire et Agnès Varda sur le tournage de Sans toit ni loi
Jane Birkin rend un hommage à la réalisatrice française Agnès Varda et lui remet une Palme d'honneur. Standing ovation du public dans la salle. "Je la dédie à tous les cinéastes inventifs et courageux, qui ne sont pas en lumière et qui continuent."
Cléo de 5 à 7 (1961
Sans toit ni loi (1985)
L'actrice Emmanuelle Bercot, 47 ans, a reçu de son côté le prix d'interprétation féminine pour "Mon roi" de Maïwenn,
Vincent Cassel, Maiwenn et Emmanuelle Bercot - Photocall du film "Mon Roi" lors du 68e Festival International du Film de Cannes, le 17 mai 2015.
ex-aequo avec l'actrice américaine Rooney Mara dans "Carol" de l'Américain Todd Haynes, romance entre deux femmes dans les années 50 avec Cate Blanchett et Rooney Mara
.
Le Grand prix a été décerné par le jury présidé par les frères Coen à "Son of Saul" ("Le fils de Saul") du Hongrois Laszlo Nemes, film choc sur la Shoah.
Le prix du Jury a été attribué au Grec Yorgos Lanthimos pour "The Lobster", fable grinçante et dérangeante sur la solitude, le couple et l'amour.
Le prix de la mise en scène est revenu au cinéaste taïwanais Hou Hsiao-Hsien pour "The Assassin", histoire d'une justicière dans la Chine du IXe siècle, à l'esthétique ciselée.
Extraits Sud Ouest.fr avec AFP
15:50 Publié dans COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : festival de cannes 2015
15/01/2015
"Le Serment" de Peter Kosminsky
Vu sur Arte , il y a quelque jours, magnifique film , bouleversant
"À travers un double regard – celui d’une jeune Londonienne qui se rend pour la première fois en Israël et celui de son grand-père, soldat britannique dans la Palestine des années 1940 – Peter Kosminsky (Warriors, Les années Tony Blair) retrace l’histoire du conflit israélo-palestinien de 1945 à nos jours.
Eliza, la meilleure amie d’Erin, a la double nationalité israélienne et britannique mais vit au Royaume- Uni. Elle se rend en Israël pour effectuer son service militaire et invite Erin à venir y passer l’été. Erin s’attend à un été festif en compagnie de jeunes et beaux Israéliens, mais quelques jours avant le grand départ elle tombe par hasard sur le journal intime de son grand-père malade. Elle en commence la lecture dans l’avion qui la mène en Israël et découvre la vie de son grand-père alors qu’il était soldat en Palestine dans les années 1940.
Elle apprend que son grand-père a été un témoin direct des atrocités perpétrées pendant l’Holocauste et des violences qui ont éclaté lors de la proclamation de l’État d’Israël.
Erin réalise bientôt qu'il n’était pas beaucoup plus âgé qu’elle à l’époque des faits. Bouleversée par son récit, elle décide de refaire son parcours sur les terres israéliennes d’aujourd’hui.
Une odyssée qui va se révéler aussi exaltante que mouvementée. Erin sera bien malgré elle confrontée au quotidien difficile et tragique des Juifs et des Palestiniens sur ce territoire instable. Elle va également découvrir de quelle façon déroutante s’est achevé le service de son grand-père au Moyen- Orient, puis comprendre et aimer profondément cet homme qu’elle considérait naïvement jusque-là comme un vieil homme déphasé.
Pour écrire "Le Serment", Peter Kosminsky et son équipe ont mené des recherches approfondies pendant sept ans. Bien que cette histoire soit purement fictive, elle est basée sur les témoignages de nombreux soldats britanniques, d’Israéliens et de Palestiniens qui racontent la période du mandat britannique en Palestine et le quotidien de ceux qui vivent aujourd’hui sur ces terres."
Extraits Arte A voir
16:12 Publié dans COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : "le serment" de peter kosminsky
12/11/2014
Cet été
Coup de coeur de l'été
La rando du col d'Agnel , avec le lac Foreant, puis le lac Egorgeou....superbe !
Bien aimé aussi ce petit bout de plage au pied de la dune du Pyla
la balade du soir....
Aujourd'hui, nos chemins d'hiver....
"Je m’évade
Sous les coquilles rompues du soir
Avec mon sac d’étoiles dans ma poche.....
Je m'évade ( René Guy Cadou )
Ce sera pour un prochain été......
10:54 Publié dans COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : randos de l'été 2014
21/10/2014
Entre tendresse et solitude
Saul Leiter "Le flâneur d'un monde flottant"
1923-2013
Un monde mélancolique.....Un monde de douceur et de poésie....
"Pour comprendre l’univers si particulier du photographe américain Saul Leiter, il faut aimer les reflets des vies dans les flaques du temps, les buées qui montent parfois des gens, toutes les histoires d’un jour que l’on pourrait imaginer à partir de ses photos."
" Je n'ai pas une philosophie. J'ai un appareil photo. Je regarde dans la caméra et je prends des photos. Mes photographies sont la moindre parcelle de ce que je vois et qui pourrait être photographiée. Elles sont des fragments de possibilités infinies."
Être inconnu m’a toujours paru une position confortable.
Saul Leiter est un être discret qui aura toujours refusé la notoriété, la reconnaissance. Il vivait marchant dans les rues sous la pluie, sous la neige, sous les rêves des gens, et observait jusqu’à ce que quelque chose monte de la surface des êtres.
ll dit aussi, en quelques phrases, ses blessures : un père, rabbin à Pittsburgh, qui n'accepta jamais que son fils embrasse la carrière d'artiste. « Enfant, j'ai été habitué à consacrer mes journées à l'étude. Levé à 5 heures du matin, je m'effondrais au lit le soir. J'ai découvert l'art à la bibliothèque, dans les livres, Picasso, Bonnard, mais aussi les estampes japonaises, les textiles péruviens, l'expressionnisme allemand. Tout m'apparaissait brusquement. »
On dira seulement qu’il est né en 1923 à Pittsburgh, Pennsylvanie. Son père rabbin voulut en faire également un rabbin et jusqu’en 1946 il suit des cours de théologie talmudique. « Mon père et mon grand-père étaient des rabbins. J'ai étudié la théologie et quand je revenais de chez mon grand-père, je pouvais répondre à des questions pointues ». Il oubliera tout cela. N’étant pas devenu rabbin, il rêva de devenir un humble Dieu de l’image.
Il s’échappe donc, maudit par ses parents, à New York à 23 ans, en 1946. Il s’y installera durablement"
Quelques lignes de
Gil Pressnitzer
«J’ai passé une grande partie de ma vie en étant ignoré. J’en étais très heureux. Etre ignoré est un grand privilège. C’est ainsi que j’ai appris à voir ce que d’autres ne voient pas et à réagir à des situations différemment. J'ai simplement regardé le monde, pas vraiment prêt à tout, mais en flânant. » Il n’a appartenu à aucune école, aucun mouvement. Il aura préféré boire son café et écouter de la musique, que faire sa promotion.
Une seule galerie, la galerie new-yorkaise Howard Greenberg, croit en lui et depuis il est reconnu pour ce qu’il est : l’un des très grands maîtres de la photographie, un Marc Rothko de l’image.
21:29 Publié dans COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : saul leiter "le flâneur d'un monde flottant"
08/01/2014
Une femme , Jane Campion
La seule femme à avoir obtenu la Palme d'or pour "La leçon de piano" sera la première femme réalisatrice à présider le jury du Festival.
Jane Campion représente un cas unique dans l'histoire du Festival de Cannes. Elle seule a obtenu deux Palmes d'or : la première en 1986 pour son court-métrage Peel, alors qu'elle était inconnue, et la seconde en 1993 pour La leçon de piano. Ce film lui a valu également l'Oscar du meilleur scénario, tandis que l'actrice Holly Hunter raflait le prix d'interprétation sur la Croisette et l'Oscar de la meilleure actrice
"Née en 1954 à Wellington, Jane Campion a réalisé une demi-douzaine de longs-métrages depuis Sweetie, son premier film (1989), à Bright Star (2009). Elle a également signé plusieurs courts-métrages, dont Peel (Palme d'or du court-métrage à Cannes en 1986) et, plus récemment, une mini-série pour la télévision, Top of the Lake. « Après Michèle Morgan, Jeanne Moreau, Françoise Sagan, Isabelle Adjani, Liv Ullmann et Isabelle Huppert en 2009, elle complète la liste prestigieuse des présidentes de jury »soulignent les organisateurs.
"Créée, écrite et réalisée par la cinéaste néo-zélandaise Jane Campion (La Leçon de piano), Top of the Lake n'est pas qu'une minisérie. C'est aussi un grand film de femmes, un hymne à la beauté, une terrible enquête policière. Qui plus est sans happy end."
« Elle fait partie de ces cinéastes qui incarnent à la perfection l'idée qu'on peut faire du cinéma en artiste et séduire un public planétaire. Et nous savons que son exigence personnelle sera aussi celle de son jury »(Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes)
Portraits de femmes
La cinéaste s'est fait connaitre par ses très beaux portraits de femmes marginales ou à forte personnalité aux prises avec les carcans de la société. Il y a Ada dans "La leçon de piano", Kay dans "Sweetie", son premier long métrage présenté en compétition sur la Croisette en 1989, Jane dans "Un ange à ma table" en 1990, sans parler de "Portrait of a Lady" avec Nicole Kidman (1996), "Holy Smoke" avec Kate Winslet en 1999 etc.
Source m. culture ,
Le Monde.fr avec Reuters | 07.01.2014
09:03 Publié dans cinema, COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : jane campion
13/11/2013
Munem Wasif Belonging, le vieux Dhaka 2013
"J’ai passé mon enfance à Cornilla, un petit quartier entouré d’une vie rurale et ancrée dans la tradition et un mode de vie d’un ancien temps. Ces années m’ont fait apprécier ce Vieux Dacca et me font me sentir chez moi parmi ces habitants pour qui les traditions sont plus importantes que la nouveauté.
Au travers de mes cadrages, mon vieux Dacca se révèle et fait émerger des vies invisibles ainsi que des questionnements plus torturants sur l’idée d’assimilation ou pire, d’effacement."
Le vieux Dacca,
j’ai redécouvert l’impulsion - propre aux petites villes - de s’accrocher à des choses plutôt que de les laisser filer.
"En grandissant dans la petite ville de Comilla, au Bangladesh, Munem Wasif rêvait de devenir pilote, joueur de cricket puis… photographe. Aucun de ces choix n’enchantaient vraiment son père. Plus tard, il partit pour la grande ville de Dhaka. Sa vie prit un tournant majeur pendant ses études à la Pathshala, où il développa une attention aux histoires et se dota par la photographie d’une voix qu’il utilisa pour raconter l’industrie déclinante et la douleur des travailleurs, les exclus et les contrées déchirées par les changements climatiques, et une ville empreinte d’un amour nostalgique : Dhaka."
Un beau travail en noir et blanc, visible jusqu’au 17 novembre au 51, rue Saint-Louis-en-l’Ile. Le livre est disponible en librairie et sur Internet.
Ce photographe documentaire bangladais a capturé la vie dans la capitale de son pays, Dakha, durant 8 ans. De ce travail est né une exposition et un livre.
Superbe ! source Photographie.com , Newsletter 7 novembre 2013
10:37 Publié dans COUP DE COEUR | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : munem wasif belonging, le vieux dhaka 2013