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28/01/2010

Z

Je viens de revoir

Réquisitoire contre la dictature des colonels dans les années 60, en Grècez.jpg


40 ans après le film de Costa Gavras

Z en 1969, le film que le public applaudissait après les séances

35 ans après la chute du régime des colonels grecs, le 24 juillet 1974


L’ histoire de l’assassinat en 1963 du député socialiste Gregoris Lambrakis

Yves Montand, le députéz10.jpg

 

Jean- Louis trintignant,le petit juge intègre

,15.jpg Irène Papas, helène,12.jpg

 

 

 

 

 

 

 

le reporter, Jacques Perrin

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"C'est lors d'un séjour en Grèce que Costa-Gavras découvre le livre de Vassilis Vassilikos, « Z », retraçant l'assassinat du leader de la gauche, organisé par la police et camouflé en banal accident. Dès son retour, il en écrit le scénario en collaboration avec Jorge Semprún. Ne trouvant pas le financement, il en parle à Eric Schlumberger et Jacques Perrin, qu'il connaissait depuis le film Compartiment tueurs. Pour monter le film, Eric Schlumberger et Jacques Perrin assurent une partie du financement et utilisent leurs contacts, en particulier en accepta de jouer en participation.

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La musique de ce film a été composée par le compositeur grec Mikis Theodorakis. En réponse à Costa-Gavras, qui lui fit demander durant sa détention pendant la dictature des colonels, d'écrire la musique de son film, il lui fit passer ce mot : « Prends ce que tu veux dans mon œuvre. »

Le film a été récompensé par le « Prix du Jury » à Cannes,  et celui du meilleur montage,"

  • Oscar du meilleur film en langue étrangère pour le compte de l'Algérie
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"Quand le film sortit en salle il y a quarante ans, il y avait trois dictatures dans l’ Europe du sud, celle de Franco en Espagne, celle de Salazar au Portugal, celle des colonels grecs. 1974 et 1975 furent les années de la victoire historique de la démocratie dans les trois pays. Ce fut aussi la possibilité ouverte à l’élargissement de la Communauté Economique Européenne à ces trois pays, un grand moment de la construction de l’ Europe et du développement des économies et des sociétés de ces grands pays d’ Europe du sud.

Christos Antoniou Sartzetakis, le personnage joué par Jean Louis Trintignant, le petit juge d’instruction courageux et tenace, devint l’un des présidents de la République de la Grèce démocratique en 1985.

Z, en grec "Il est vivant" était inscrit sur les murs par les résistants au régime des colonels.

La musique de Theodorakis, les interprétations de la chanteuse Maria Farandouri rappellent tous ces combats aujourd’hui vivants.  " par Patrice Berger, " les évènement

 

Z, premier volet de la trilogie politique de Costa Gavras, avant l'Aveu 1970images.jpg et l'état de siège 1973images4.jpg

2009 Eden à l'Ouest,costa 3.jpg une histoire d'errance et d'immigration

 

 

images17.jpgIls sont tous là, Charles denner, Bernard Fresson, Jean Bouise, marcel Bozzufi, Rénalto Salvatori, José Arthur, Georges Géret, Pierre Dux.....

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17/12/2009

Caravans

QUINN.jpgPour Alsa

Pierre a proposé ce titre


16/12/2009

Pancho villa

pancho.jpgJohnny Depp  sera Pancho Villa dans le prochain film de Kusturica

 

17 ans après Arizona Dream (Prix spécial du jury à Berlin), les deux artistes croisent de nouveau leur chemin.

AFP) – Il y a 5 jours

MADRID — L'acteur américain Johnny Depp va interpréter le rôle de Pancho Villa dans un film sur le révolutionnaire mexicain que va commencer à tourner début 2010 le réalisateur serbe Emir Kusturica, a indiqué ce dernier au quotidien espagnol El Mundo.

Le film, qui comptera également dans sa distribution l'actrice mexicaine Salma Hayek, va être tourné au Mexique, mais aussi en bonne partie en Espagne, près de Grenade, a précisé mercredi le journal.

Basé sur un livre de James Carlos Blake, "Les amis de Pancho Villa", le film va raconter l'histoire du bandit et général mexicain "à travers les yeux de ses amis et de la femme qu'il aimait", selon Kusturica.

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Pour la petite histoire, le réalisateur Raoul Walsh ( L’Enfer est à lui , La Charge fantastique …) fut chargé d’aller filmer Villa lorsque celui-ci prit la tête du pays. Le film, mélange de fiction et de documentaire, The Life of General Villa, fut perdu. Seules quelques photos subsistent.

Marrakech rend hommage à Emit Kusturica

4cb8e8a2d3b8cc4fe76e5f358e4df040.jpg"l est considéré comme l’enfant terrible du cinéma et le Festival international du film de Marrakech lui consacre une rétrospective. Né en 1954 à Sarajevo, Emir Kusturica cumule les casquettes de réalisateur, d’acteur et de musicien et est l’auteur de 8 longs métrages hautement récompensés à Cannes, Venise et Berlin. Pour lui, Marrakech constitue un tremplin pour les nouveaux talents."

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08:57 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (29) | Tags : film, johnny depp, kusturica

13/11/2009

«Romy dans L'Enfer»,

« L'Enfer » : résurrection d'un film et du drame de Clouzot

 

Fascinant documentaire signé Serge Bromberg et Ruxandra Medrea, L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot questionne l’histoire mythique d’un tournage inachevé. Romy Schneider, envoûtante, en est le souffle.

 

 

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_Par Juliette Reitzer


En 1964, Romy Schneider est déjà une vedette lorsque Henri-Georges Clouzot, le génial réalisateur du Corbeau,de Quai des Orfèvres et des Diaboliques, lui offre le rôle d’une épouse soupçonnée d’adultère par un mari fou de jalousie (Serge Reggiani). Fort d’un budget illimité accordé par la Columbia, fasciné par l’art cinétique, le metteur en scène souhaite emprunter des voies jamais encore explorées par le cinéma : miroirs déformants, jeux de projecteurs, illusions d’optique… Ces séquences hallucinantes sont destinées à immerger le spectateur dans la folie du personnage,à illustrer son obsession. Clouzot veut tout essayer, tout réinventer. Jusqu’à se perdre : après quatre mois d’essais et deux semaines de tournage, Serge Reggiani quitte le plateau, excédé.

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Clouzot lui, continue de filmer Romy, sous les regards ébahis des trois équipes mobilisées pour le film, qui ne comprennent plus rien. Comme si fiction et réalité se confondaient, comme si le cinéaste se noyait dans l’histoire qu’il a écrite – « ces longs plans hypnotiques de Romy Schneider sont des images de fascination, sans doute celle que Romy inspirait à son metteur en scène », avance Serge Bromberg. La force de ce documentaire, qui compile images tournées par Clouzot, entretiens avec les techniciens de l’époque et passages du scénario original interprétés par Jacques Gamblin et Bérénice Bejo, est de ne jamais formuler de réponses péremptoires. Folie des grandeurs, passion créatrice, obsession pour son actrice ? Le mystère Clouzot reste entier. Mais Romy, infatigable, radieuse malgré les heures immobile devant la caméra, parfois nue, peinte en bleu, badigeonnée d’huile d’olive ou recouverte de paillettes, se livre toute entière. Femme sublime, elle fut peut-être fatale pour L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot.

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Pas encore vuRomy inoubliable

11/11/2009

Le concert suite

Le concert

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A l'époque de Brejnev, Andrei Filipov était le plus grand chef d'orchestre d'Union soviétique et dirigeait le célèbre Orchestre du Bolchoï. Mais après avoir refusé de se séparer de ses musiciens juifs, dont son meilleur ami Sacha, il a été licencié en pleine gloire. Trente ans plus tard, il travaille toujours au Bolchoï mais... comme homme de ménage. Un soir, alors qu'Andrei est resté très tard pour nettoyer le bureau du maître des lieux, il tombe sur un fax adressé à la direction du Bolchoï : il s'agit d'une invitation du Théâtre du Châtelet conviant l'orchestre officiel à venir jouer à Paris... Soudain, Andrei a une idée de folie : pourquoi ne pas réunir ses anciens copains musiciens, qui vivent aujourd'hui de petits boulots, et les emmener à Paris, en les faisant passer pour le Bolchoï ? L'occasion tant attendue de prendre enfin leur revanche..

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Réalisé par Radu Mihaileanu
Avec Mélanie Laurent, Aleksei Guskov, Dimitry Nazarov

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film4.jpgBiographie : Radu Mihaileanu

Né à Bucharest en Roumanie, et fils d'un journaliste juif déporté et sauvé, Radu Mihaileanu fuit à 22 ans le régime politique de son pays et s'installe en France. Diplômé de la Fémis, Radu Mihaileanu a débuté comme monteur, puis comme assistant réalisateur. Sous l'aile de Marco Ferreri il participe à la réalisation de I Love You en 1985 et Y'A Bon Les Blancs en 1987, notamment.

Son premier film, Trahir,
Radu Mihaileanu le signe en 1992, comme réalisateur et scénariste.

 

Et Va Vis et Deviens,film15.jpg Un film bouleversant qui a reçu le prix du public et le prix Europeen à Berlin



20:34 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : film le concert

Le concert

Un certain concerto de T chaïkovski

Andrëe rêve de le diriger.....

 

Un film plein d'humour, de tendresse et d'émotion

 

 

20:13 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : film le concert

29/09/2009

Adieu Poulet

Revu ce soir

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Thriller policier avec la rencontre  Patrick Dewaere et Lino Ventura

Alors que les élections législatives se préparent à Rouen, un colleur d'affiches est tué par les hommes de main d'un candidat....

Deux policiers face à la corruption politique dans une petite ville de provence

Scenario de Francis Veber er Pierre Granier- Deferre

 

On retrouve aussi Victor Lanoux en candidat du parti républicain unifié

 

A voir et à revoir pour ce duo d'acteurs magnifiques


08/08/2009

Z

z.jpg”Z et Costa-Gavras à Athènes, quarante ans après” le blog de Pierre Assouline

Merci à Louis-Paul pour ce lien

Ils sont vivants !

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Faut-il avoir été marqué par un film pour se réunir entre passionnés afin de le revoir pour la énième fois et communier ainsi dans son culte ? On dira que les cinéclubs, ou ce qu’il en reste, en ont l’habitude. Sauf que les quelques centaines de spectateurs privilégiés invités le soir du 1eravril dernier à l’Institut français d’Athènes avaient, eux, le doux sentiment de participer à un grand moment. De ceux qui ne s’étaient jamais produits et qui ne se reproduiront plus. L’ambassadeur de France Christophe Farnaud ayant formé le projet de célébrer les quarante ans de Z, il mit tout en œuvre pendant des mois pour le faire aboutir. La nouvelle se répandit, tout le monde répondit présent et chacun voulut en être. Ce qui aurait pu être une cérémonie pesante car protocolaire fut un instant de grâce dans une atmosphère toute de légèreté marquée par la joie des retrouvailles. Dans un auditorium bondé d’amis, d’intellectuels, de journalistes, de cinéphiles mais aussi d’ambassadeurs, de ministres et de secrétaires d’Etat, un casting rêvé fixa les photographes sur le premier rang où se tenaient cote à cote le compositeur Mikis Théodorakis, qui ne sort que deux fois par an tant il a de difficultés à se mouvoir, l’actrice Irène Papas qui incarnait à l’écran la veuve du député assassiné, le juge Sarzetakis légèrement moins connu en France que son double Jean-Louis Trintignant bien qu’il devint par la suite président de la République hellénique, ainsi que l’actuel président Karolos Papoulias. Tous venus écouter le récit de l’invention de Z,

tant le film que p1020067.1238778699.JPGle livre (traduit du grec par Pierre Comberousse, 384 pages, Folio) qui l’inspira, par leurs auteurs, dialoguant sur scène, le réalisateur Costa-Gavras et l’écrivain Vassilis Vassilikos. Une œuvre lourde à porter : « J’ai écrit une centaine de livres en tous genres depuis mais hors de Grèce, on me ramène toujours à Z ! se lamentait l’un tandis que l’autre avouait avec autant de malice : « Moi, ça ne me dérange pas qu’on m’en parle tout le temps… » citant de glorieux précédents (Citizen Kane avec Orson Welles, Le Parrain avec Coppola…). Le romancier ne se fit pas prier pour passer aux aveux, adressant un clin d’œil complice à l’ancien juge Sarzetakis lorsqu’il révéla que celui-ci lui avait passé tous les dossiers de l’instruction de l’affaire Lambrakis pour écrire son livre trois ans après : « Alors la forme s’est imposée car j’étais sous l’influence du De Sang-froid de Truman Capote, même si Z est un western politique doublé d’une histoire policière. Bêtement, je donnais le nom du coupable dès le début ! Ceux qui ont fait le film ont eu la bonne idée de tout renverser ». Leur autre bonne idée aura été de ne l’helléniser que par des clins d’œil (la bière « Fix », un mot grec lâché ici ou là…) et de nommer le plus souvent les personnages par leur fonction (le Colonel, le Général, l’Avocat, le Juge…) afin d’universaliser la dénonciation d’une démocratie corrompue et rongée par le prurit de la dictature. Sinon, par son mécanisme, le film co-écrit avec Jorge Semprun, est parfaitement fidèle au livre.

Le roman comme le film ne pouvaient s’intituler autrement que Z qui signifie « il est vivant » en grec ancien. Les trois continuent de vivre quarante ans après : la grande figure de la gauche assassinée, le livre à sa gloire et sa popularisation par l’image. « Quand je pense que Montand rechignait au titre : il avait peur qu’on se moque sur le mode « Z comme Zorro » ou comme zéro… ». De la salle, Mikis Theodorakis intervint spontanément, comme s’il était au café avec ses amis, pour confirmer une anecdote évoquée par Costa Gavras :“Jacques Perrin était venu dans l’île où j’étais assigné à résidence, il m’a fait passé la demande : “Ecrivez-vous une musique pour le film !” Comme c’était impossible étant donné les conditions de ma vie quotidienne, je leur ai fait passer un paquet de cigarettes dans lequel j’avais écrit :”Vous pouvez prendre et arranger tout ce que vous voulez dans mon oeuvre“. Impossible de ne pas s’interroger également sur la résonance de Z dans un pays qui connut de violentes émeutes en décembre dernier.

Cette fois, c’est l’écrivain Vassilikos qui prit la parole :” Je suis fier de cette jeunesse-là, elle avait raison de se révolter. Mais en 1969, c’était plus facile de le faire : le camp des bons et le camp des méchants étaient clairement délimités. Aujourd’hui, on les trouve également dans les deux camps !” ce qui eut pour effet de déclencher les rires et les applaudissements d’une partie de la salle. Puis le noir se fit. Je pris place à la droite du réalisateur. Tour à tour ému et amusé, il me commenta le film en chuchotant à l’oreille. En fait, il ne l’a vu que quelques fois en quarante ans, le dernière il y a peu à New York où il est ressorti à l’occasion du 40ème anniversaire. Yves Montand ? « Bizarrement, le public l’associe à Z alors qu’il n’y apparaît que 12 minutes en deux heures. » Le discours pacifiste du député Lambrakis le soir de son assassinat ? : « Piqué au président Kennedy dans son discours le jour de son intronisation ». Le chirurgien anglais qui opère le député du cerveau ? : « Tiens, c’est Raoul Coutard, le directeur de la photo ! ». Les échauffourées entre manifestants pacifistes et fascistes ? “De vrais bagarres, ils ont accepté de ne pas faire semblant et c’était rude”. La représentation du Bolchoï ? : «Volée au Théâtre des Champs-Elysées par manque de moyens, en accord avec la direction, lors d’un vrai spectacle où on avait envoyé le procureur, François Périer… » Celui-ci tout comme Bernard Fresson, Pierre Dux, Renato Salvatori, Marcel Bozuffi, Georges Géret, Charles Denner, Yves Montand, Jean Bouise… : « Mon Dieu, tous morts désormais tous ces grands, même si le cinéma les garde vivants. Charles, il y mettait une passion, lui… ».z3.jpgz5.jpg La soirée s’acheva tard dans la nuit. Comme si les célébrants avaient du mal à se séparer jusque dans la rue Sina. Certains se promettaient même d’aller voir à nouveau le film dans l’une des trois salles qui viennent de le mettre à l’affiche. Au loin, on percevait déjà les échos répétés des sirènes de police. Rude retour au réel. Soudain, 2009 rattrapait 1969. Depuis minuit, la Grèce était paralysée par la grève générale.


22:32 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : z pierre assouline

14/05/2009

LE TEMPS DES GITANS


GITANS.jpgPrimé à Cannes

Le Temps des gitans a reçu le Prix de la mise en scène au Festival de Cannes 1989. Avec ce film, Emir Kusturica revenait sur la Croisette quatre ans après avoir obtenu la Palme d'Or pour Papa est en voyage d'affaires. Il recevra à nouveau la récompense suprême en 1995 pour Underground.


Kusturica et Dujmovic

Le Temps des gitans marque la seconde collaboration d'Emir Kusturica et du jeune Davor Dujmovic, trois ans après Papa est en voyage d'affaires. Les deux hommes se retrouveront en 1995 pour Underground, dernier long-métrage de Davor Dujmovic qui se donnera la mort en Slovénie en 1999.


Goran Bregovic à la baguette

La musique du Temps des gitans est composée par Goran Bregovic, qui entame pour l'occasion une riche collaboration avec Emir Kusturica. Les deux hommes se retrouveront pour Arizona Dream et Underground.

C'est en lisant un article traitant du trafic d'enfants orchestré par les gitans qu'Emir Kusturica eut l'idée de faire un film sur le sujet.

Perhan est un rom. Fils naturel d'un soldat et d'une tzigane,

La vie de famille s'organise autour d'un accordéon, d'un dindon et d'un oncle déluré.

 

gitan2.jpgDérision, tragedie, poésie, musique.... la marque de Kusturica

 




 

12/05/2009

César et Rosalie

Mes coups de coeur

Octobre 1972  Claude Sautet     Amour et Amitié

Une femme, Romy, amoureuse de deux hommes , Montand et Sami frey   magnifique