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29/08/2010

Bande originale de Ennio Morricone Enquète sur un citoyen au-dessus de tout soupçon

22/08/2010

L'argent de la Vieille

argent 6.jpgRevu  un soir....à voir et à revoir.....

argent.jpgUn film de Luigi Comencini, 1972

Avec Alberto Sordi, Silvana Mangano, Bette Davis....

Lo scopone scientifique, comédie brillante et féroce

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image 22.jpgChaque année, une contesse  milliardaire, convie Pépino et Antonio, Italiens pauvres d'un bidonville de Rome, à une partie de cartes, ou l'on joue avec son argent....

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luigi_comencini_1.jpgLuigi Comencini, cinéaste Italien, maitre de la comédie et du mélodrame

Son premier succès  " Pain Amour et Fantaisie"

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et" l'Incompris" "images14.jpg le Grand Embouteillage"...

"Comencini s'essaye au drame, genre qu'il n'abandonnera jamais vraiment, cultivant son ambiguïté. Perpétuellement entre rires et larmes, toujours du côté des faibles et des délaissés, proche des préoccupations de l'enfance, le réalisateur se forge alors une filmographie impressionnante jonchée de monuments d'histoire du cinéma italien, de 'La Belle de Rome' en 1955 au satirique grinçant de 'L' Argent de la vieille' en 1972, en passant par un épisode de 'Don Camillo', le mélodrame 'L' Incompris' en 1967, son 'Casanova, adolescence à Venise' en 1969 ou sa version très personnelle de 'Pinocchio' en 1972. Tantôt acerbe, tantôt potache, Comencini enchaîne alors les comédies avant d'espacer peu à peu ses projets. Plus rare, sur le déclin même, il signe néanmoins dans les années 80 quelques jolis films, tel que l'émouvant 'La Storia' en 1986 ou 'Joyeux Noël, bonne année' deux ans plus tard. Après un dernier passage derrière l'objectif en 1990 à l'occasion de 'Marcellino', le glorieux ancien préfère se retirer des plateaux. Alors que Luigi Comencini s'éteint à l'âge de 90 ans, le cinéma italien perd l'un de ses pères." ( Evene)
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03/08/2010

Hier soir, un film

 

Eden à l'ouest

 

GAVRAS.jpgL'odyssée d'un clandestin

 

film de Costa-Gavras

 

Elias, jeune clandestin, saute du bateau qui le transportait vers la France et atterrit dans un club de vacances, entre Grèce et Italie. Il se fond dans la foule des employés. Commence alors son long périple vers son but : Paris, ville lumière…

« Eden à l'ouest », réalisé par Costa Gavras,  a clôturé,  le Festival de Berlin. Dans ce film, le réalisateur défenseur des libertés et dénonciateur des oppressions, des totalitarismes et du racisme, fait, bien évidemment, référence à l'Odyssée d'Homère. « Mon personnage, dit-il, traverse, un peu comme Ulysse, la mer, puis les épreuves, puis les tempêtes. Il affronte les monstres modernes et bouscule les mythes de notre époque ».

Immigré lui-même à Paris en 1956, le cinéaste a voulu que son film, « le plus personnel qu'il ait réalisé », soit « un hommage à tous ceux, nos pères, nos grands-pères, qui, malgré les embûches sont venus en France ».

La longue route d'Elias va, on s'en doute, être marquée par d'énormes difficultés. Chassé par la police, sans le sou, il travaillera au noir, sera dupé par des gens sans foi ni loi, mais recevra aussi le soutien de cœurs généreux. Il faut dire qu'en racontant et en dénonçant, Costa- Gavras ne fait pas dans le léger. Les vacanciers du club de vacances sont prêts, ainsi, à chercher dans les buissons les sans papiers pour les livrer à la police. Et une belle quinqua allemande, tombe bien sûr en pamoison devant son corps d'Apollon.…

Interprété par Riccardo Scarmacio, acteur italien que l'on avait remarqué dans la fresque « Nos plus belles années » et dans « Romance criminale », « Eden à l'ouest » (clin d'œil à « A l'Est d'Eden ») est réalisé comme une fable, avec un cheminement par étapes, et est raconté à travers le personnage d'Elias qui, véritable marionnette plongée dans notre société égoïste et dont il ne connaît pas les us, joue dans ce film comme s'il tournait dans un muet. Elias ne parle pas notre langue et tout son jeu passe donc à travers son regard - étonné, apeuré, émerveillé ou déçu - ou par sa gestuelle appuyée, précise ou décousue.

Nicole Clodi  La Dépêche

 

Un film qui nous touche, très beau, à voir

 

 


19/07/2010

Rue Barbare, un film

un film culte, un classique, 1983

Réalisé par : Gilles Béhat
Avec : Bernard Giraudeau, Christine Boisson, Jean-Pierre Kalfon, Michel Auclair, Bernard-Pierre Donnadieu, Corinne Dacla, Nathalie Courval, Jean-Pierre Sentier...

 

 

 

09/06/2010

La tête en friche

009.JPGUn soir, à Saint-Jean de Luz

 

 

 

 


La-Tete-En-Friche_.jpgLe très joli film de Jean Becker

Avec : Gérard Depardieu , Gisèle Casadesus , MAURANE

 

Un jour, Germain va rencontrer Margueritte et on tombe sous le charme de ce couple tendre et émouvant,ils sont touchants et souvent drôles

Délicieuse Gisèle casadesus, 95 ans...

 


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film3.jpg"Si sa tête est restée en "friche", c'est qu'on ne l'a pas cultivée. Un jour, il va rencontrer Margueritte qui va lui lire à haute voix des extraits de romans. Germain va découvrir la magie des livres, dont il se croyait exclu à jamais. Mais Margueritte perd la vue, et pour l'amour de cette petite grand-mère malicieuse et attentive, il ira jusqu'à se mettre à lire pour elle, à haute voix, lorsqu'elle ne pourra plus le faire"

 


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25/05/2010

J'ai aimé

cantona4.jpgHier soir , un film,    Looking for Eric Réalisé par Ken Loach


Avec Eric Cantona, Steve Evets, Stephanie Bishop

 

Emouvant et drôle, amitié, solidarité, humour

Une peinture réaliste

cantona 6.jpgUne histoire d'amour...

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Comédie sociale malicieuse et terriblement rythmée, ‘Looking for Eric’ s’infiltre chez les fans du King (le vrai). Elevé au rang d’icône par un postier de Manchester, juste entre Gandhi et Nelson Mandela, Cantona s’impose dès sa première apparition comme un psy-mentor-fumeur de chichon. Et quelle apparition ! Pas question pour Loach de penser et repenser le pourquoi du comment Cantona débarque dans la vie d’Eric Bishop, incarné par l’incroyable Steve Evets.

Son approche du fantastique est fidèle à son cinéma : sobre, efficace. Nul besoin de justifications. Loach fait du football un acte social. Il l’explore dans ce qu’il a de plus humain, de jouissif et même de thérapeutique, avec un enthousiasme communicatif, propice à convertir les plus réticents.

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Le réalisateur anglais ne filme pas la foule qui vibre mais transporte le spectateur dans les gradins, déroulant les plus beaux buts et la plus belle passe du joueur de Manchester. Et derrière cette éloge de la folie cantonesque, se révèle toute l’espièglerie, l’humour, la dérision du cinéaste. Le rire est franc, les émotions sincères. A chaque pensée du poète en short succède un tacle qui tourne le tout en dérision.

Derrière ce Cantona fantasmé, magnifié, puis réincarné, il y a la solitude des êtres, l’importance du clan, la fragilité des existences, le poids des souvenirs, la détresse sociale. Un long métrage gorgé d’énergie qui ne tourne pas le dos à l’engagement de Loach. Politique, ‘Looking for Eric’ dit l’importance d’être unis dans une lutte où l’autre n’est plus un concurrent mais un camarade. Qui aurait cru qu’un film sur le foot pouvait contenir tant de nuances et de richesses ?  (evene)


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eric 15.jpgCantona adore les proverbes "La plus noble vengeance, c'est de pardonner"


 


 


 


 

 

 


28/04/2010

j'ai oublié de te dire

film.jpgPas encore vu


Date de sortie cinéma :

28 avril 2010

Réalisé par
Laurent Vinas-Raymond
Avec Omar Sharif, Emilie Dequenne, Anne Canovas,

 

Synopsis : Lorsque Marie, jeune fille de 25 ans sans passé ni avenir, rencontre Jaume, un vieux monsieur, ancien champion cycliste devenu artiste peintre, c'est une grande amitié qui se lie. Grâce à lui, Marie va se découvrir une identité, qu'il est lui-même en train de perdre.

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Le projet

Le projet originel de Laurent Vinas-Raymond, qui a écrit et réalisé ce film, était de mettre à l’écran une relation d’amitié entre deux générations. Il a choisi le sujet de la peinture, et l’art de manière plus général, comme lien entre Jaume et Marie. Jaume est un peintre atteint de la maladie d’Alzheimer et Marie, une jeune fille en quête d’identité. L’une se cherche un avenir, l’autre se rend compte qu’il n’en a plus vraiment. Tout les oppose mais ils sont liés par l’art. Le film pose aussi la question de la vie et la mort en abordant le sujet de l’euthanasie.  (Allociné)

 

 

 

 

15/03/2010

Contre les idées noires

Un petit bijou ressort en salle  "  La vie est belle"  1947

capra.jpgFilm américain de Frank Capra

 

Longtemps boudé par une partie de la presse, Capra disait de son film " il n'était  fait ni pour les critiques blasés, ni pour les intellectuels fatigués, mais pour ceux qui se sentent las, abattus et découragés"

 

un peu pour nous

Drôle,  émouvant, magnifique interpretation de James Stewart

Film à voir et à revoir....


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Hollyoud 1945, fin de la guerre mondiale

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"En cette nuit de Noël 1945, montent de la petite ville de Bedford Falls des prières pour le salut de George Bailey qui est au bord du désespoir et du suicide. Les autorités célestes décident d'envoyer Clarence, un ange de seconde classe (il n'a pas encore obtenu ses ailes) pour s'occuper de lui. Mais il faut qu'il soit informé sur la vie de celui qu'il va secourir, et on lui la raconte.

 

capra5.jpgFrank Capra

Réalisateur américain

[Cinéma (réalisation)]
Né à Bisacquino, Italie le 18 mai 1897
Décédé à La Quinta, Californie le 03 septembre 1991

Fils de paysan italien, Frank Capra immigre aux Etats-Unis alors qu'il n'a que six ans. Après des études de chimie et son service militaire, il exerce plusieurs petits métiers puis s'exile en Californie où il travaille comme assistant-monteur

 

 


"En 1928, il signe un contrat d'exclusivité avec les studios Columbia qui lui donne "carte blanche". Cette collaboration engendrera 25 films qui permirent au petit studio de rivaliser avec les plus grands. En 1931, il s'associe pour la première fois au scénariste Robert Riskin sur La Blonde platine et La Ruee. Cette association marque le début de la prise de conscience sociale de Capra et de sa "griffe" : un héros idéaliste s'attaque seul au système. C'est alors qu'il enchaîne les succès avec Lady for a day (qui lui vaut l'Oscar du meilleur réalisateur), New York-Miami (qui est le premier film à remporter les cinq principaux Oscars : film, réalisateur, acteur, actrice et scénario original), Vous ne l'emporterez pas avec vous (Oscars du meilleur film et du meilleur réalisateur) et Mr. Smith au Senat. Après cette période d'intense succès, 1941 marque son engagement politique avec L'Homme de la rue et surtout avec une dizaine de films de propagande dont le plus célèbre reste Prelude to war. Son unique film commercial sorti pendant la guerre est Arsenic et Vieilles Dentelles." (allociné)

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08/03/2010

Liberté

liberte3.jpgPas  encore vu

Tony Gatlif nous plonge dans l'histoire terrible des déportations de Tziganes sous Pétain. Mais plus qu'une leçon de mémoire, le film invite à penser la liberté aujourd'hui.

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nouvelobs_logo.gif"Dans la France des années 1940, on les appelait bohémiens, parfois Manouches, plus rarement Tsiganes. Les historiens estiment aujourd'hui que sur les deux millions de Tsiganes qui vivaient en Europe avant la guerre, entre 250 000 et 500 000 ont été assassinés dans les camps de la mort nazis. « Liberté » raconte l'histoire d'une de ces familles, arrivée un jour dans un petit village de France, exposée à la méfiance d'une population qui ne comprend pas son mode de vie, si opposé au sien, mais aussi aidée par quelques Justes, l'institutrice et le maire. Pour les Tsiganes, alors, c'était la sédentarisation ou la mort, et c'est de ce choix impossible que se nourrit le film de Tony Gatlif, lui-même « déraciné de l'Algérie », ainsi qu'il se présente, et qui depuis des années filme les Roms, leur vie, leur musique, leur histoire. Récit maîtrisé, tendu, tenu, respectueux de ses personnages, reconstitution à la fois discrète et attentive, « Liberté » ne sollicite jamais une émotion qui advient naturellement, en toute dignité."

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Le cinéaste a commencé sa carrière dès les années soixante-dix et une grande majorité de ses films se concentrent sur l'univers des Tziganes dont il est le chantre. Latcho drom, Gadjo dilo, Exils ou encore Transylvania sont ses films les plus remarqués.

 

gadjo_dilo.jpgJ'avais adoré Gadjo  dilo

On danse...on pleure, on rit aussi


Gadjo Dilo - Bande annonce FR




04/02/2010

trois petites notes de musique


TROIS PETITES NOTES DE MUSIQUE


YVES MONTAND JULIETTE GRECO CORA VAUCAIRE GEORGES DELERUE HENRI COLPI UNE AUSSI LONGUE ABSENCE