26/11/2010
Stephan Eicher - Les Filles Du Limmatquai
09:42 Publié dans chansons | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : stephan eicher - les filles du limmatquai
Katiba
Un complot au sahara
Le nouveau roman de Jean- Christophe Rufin
Inspiré par l'assassinat de quatre touristes français en 2007
"L'aventure commence dans le désert mauritanien. Quatre touristes italiens sont fauchés par des rafales de mitraillette. Ils serviront de prétextes à une mini-guerre qui débute entre les institutions plus haut citées. Rufin raconte, décrypte, balaie. Procède par flashs, petites scènes, bouts de chapitres qui s'emboîtent peu à peu. Tandis qu'une katiba (un groupe armé mobile) s'ébroue dans le désert, dans une zone floue entre Sud-Algérie, Nord-Mali, Est-Mauritanie, qu'un dissident rassemble ses troupes, cherche un autre point d'où faire sa guerre et s'emparer de son rival, l'attention se porte vers Paris." (Gilles Pudlowski)
« Le mal est la seule passion à laquelle les hommes ne mettent point de limites »
Jean-Christophe Rufin
Aujourd'hui ambassadeur au Sénégal et en Gambie, Jean-Christophe Rufin continue d'écrire. Dans son "Katiba", il explore les motivations qui président à un attentat et "tisse la toile d'un thriller au goût de soufre". © JEAN-MICHEL TURPIN/FEDEPHOTO (était ambassadeur)
Biographie de Jean-Christophe Rufin
Docteur en médecine, Jean-Christophe Rufin a également fait Sciences po. Au début des années 1970, il se rend 'incognito' en Ethiopie, pays alors ravagé par la guerre, et rejoint les bataillons humanitaires. Ancien vice-président de Médecins sans frontières, directeur d'Action contre la faim, il a mené de nombreuses missions en Afrique et en Amérique latine. Ces séjours lui inspirent deux romans, tous deux récompensés par un prix Goncourt, le premier par celui du premier roman, et le second par le 'vrai' Goncourt : 'L' Abyssin' et 'Rouge Brésil'. Son militantisme de la première heure ne l'empêche pas de poser un regard critique sur la gestion de l'humanitaire et sur les travers de la démocratie en général. Pour preuve, il fait paraître plusieurs essais analysant finement notre système actuel, et un roman d'anticipation, 'Globalia' en 2004. Jean-Christophe Rufin y imagine un univers si politiquement correct, tellement démocratique, qu'il en devient tyrannique. Il revient très fort en 2007 avec 'Le Parfum d'Adam' dans lequel il s'attaque aux codes du thriller pour signer un roman d'espionnage planétaire.
Toujours impliqué dans l'humanitaire, Jean-Christophe Rufin est élu président d'honneur d'Action contre la faim après en avoir quitté la direction. Très attaché à l'Afrique, il est nommé ambassadeur de France au Sénégal le 3 août 2007 sur les conseils de Bernard Kouchner. Le prix Goncourt 2001 semble peu décidé à se reposer sur ses lauriers et, en 2008, il sort une autobiographie / confession attachante : 'Un léopard sur le garrot'. Quelques mois plus tard, il est élu à l'Académie française, prenant ainsi le fauteuil de l'écrivain Henri Troyat. ( évène)
Une fiction, un thriller captivant
00:22 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : roman, katiba, jean christophe rufin
25/11/2010
En 2010 le combat des femmes continue
Discrimination au quotidien
"Au-delà de ces faits divers dramatiques, c’est au quotidien que les jeunes filles affrontent les brimades du machisme ordinaire. Avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête : la perte de leur réputation. « Flirter, s’habiller de façon féminine même sans provocation, circuler dans des rues dont les bandes ont pris possession, aller au café ou déambuler avec des garçons sont autant d’interdits implicites qui pèsent sur la vie des jeunes filles », constate Dominique Poggi, sociologue, coauteur avec Christine Bulot de Droit de cité pour les femmes (éd. de l’Atelier). « Celles qui en auraient besoin ne vont même plus au planning familial, déplore Sihem Habchi, la présidente de Ni putes ni soumises. Parce que planning familial égale sexe ! » Et quand une mauvaise réputation s’installe, c’est pour longtemps. Considérées comme des filles faciles, celles qui ont « fauté » sont interpellées, sifflées, moquées, parfois molestées, voire violées.
Pour se protéger, les filles développent des stratégies. Presque toutes se dissimulent sous des joggings XXL et effectuent de longs détours pour éviter les bandes ; certaines se voilent, garantie de respect ; d’autres choisissent l’excellence à l’école afin de conquérir leur indépendance, plus tard ; toutes se déplacent en groupe et baissent les yeux.
Poignante dans La Journée de la jupe, pour lequel elle avait reçu le cinquième César de sa carrière, la star combat aujourd’hui dans la vraie vie aux côtés de Ni putes, ni soumises
Très naturellement, Isabelle Adjani vient d’accepter de s’engager auprès du mouvement Ni putes, ni soumises. « Je ne pouvais pas garder les lèvres serrées, affirme-t-elle dans le dernier numéro d’Elle. Le fléau des violences faites aux femmes doit être un débat ouvert. » Dans l’hebdomadaire, elle concède que « les campagnes d’information permettent de briser le silence […] mais n’ont pas le pouvoir de transformer les comportements. » La star préconise plutôt de s’adresser directement aux agresseurs. « Les mentalités individuelles, la loi du silence, le manque de structures d’accueil des victimes… Il y a encore beaucoup de travail à faire en termes de mobilisation tant au niveau de la société que des politiques », note-t-elle encore. « Certaines femmes se murent dans le silence comme Antigone a choisi d’être emmurée vivante. Et cela, c’est une vraie tragédie. » Véritable anti-burqa, la jupe serait peut-être le dernier rempart de la résistance. Tout un symbole porté avec conviction et majesté par une star qui porte en elle la souffrance des femmes."
Loïc Torino-Gilles 25/11/10
"LA HONTE DOIT CHANGER DE CAMP"
Une campagne d'affichage autour du slogan "Viol, la honte doit changer de camp" a ainsi été lancée mercredi. Une pétition sur le site www.contreleviol.fr (également sur facebook et twitter) réclame notamment plus de moyens financiers pour lutter contre ce fléau et une enquête systématique à la suite des plaintes pour crimes ou délits contre la personne. Selon les associations Osez le féminisme !, Collectif féministe contre le viol et Mix-Cités, quelque 200 femmes sont violées chaque jour, soit 73 000 par an, dans huit cas sur dix par des hommes qu'elles connaissent et rarement condamnés. ( le monde)
10:11 Publié dans SOLIDARITE | Lien permanent | Commentaires (26) | Tags : en 2010 le combat des femmes continue
22/11/2010
Balade
Une photo pour Françoise, un coin de Canéjan au bord de l'eau Bourde
Petit bonjour en passant....
Demain, peut -être , quelques feuilles à ramasser, le jardin...
17:15 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : balade canejan novembre
21/11/2010
Georges Brassens l'Orage
Parlez-moi de la pluie et non pas du beau temps...
15:15 Publié dans chansons | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : brassens l'orage
Hier
11:18 Publié dans Ballade | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : balade, canéjan, novembre
20/11/2010
"avant que les arbres transis élancent leurs bras décharnés en direction du ciel "
C'est Simone qui l'a dit....
Les arbres se sont rabougris....
Et le petit papillon gris
A fait place à la feuille morte...( M Rollinat)
Balade à Canéjan, hiver 2009
17:50 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (45) | Tags : balade canejan decembre 2009
Novembre
09:14 Publié dans Ballade | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : balade, canejan, novembre
19/11/2010
Un poème
MAINTENANT J'AI GRANDI
Enfant
j'ai vécu drôlement
le fou rire tous les jours
le fou rire vraiment
et puis une tristesse tellement triste
quelquefois les deux en même temps
Alors je me croyais désespéré
Tout simplement je n'avais pas d'espoir
je n'avais rien d'autre que d'être vivant
j'étais intact
j'étais content
et j'étais triste
mais jamais je ne faisais semblant
Je connaissais le geste pour rester vivant
Secouer la tête
pour dire non
secouer la tête
pour ne pas laisser entrer les idées des gens
Secouer la tête pour dire non
et sourire pour dire oui
oui aux choses et aux êtres
aux êtres et aux choses à regarder à caresser
à aimer
à prendre ou à laisser
J'étais comme j'étais
sans mentalité
Et quand j'avais besoin d'idées
pour me tenir compagnie
je les appelais
Et elles venaient
et je disais oui à celles qui me plaisaient
les autres je les jetais
Maintenant j'ai grandi
les idées aussi
mais ce sont toujours de grandes idées
de belles idées
d'idéales idées
Et je leur ris toujours au nez
Mais elles m'attendent
pour se venger
et me manger
un jour où je serai très fatigué
Mais moi au coin d'un bois
je les attends aussi
et je leur tranche la gorge
je leur coupe l'appétit.
Jacques Prévert
13:14 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : j. prévert
18/11/2010
Envie de bleu
Le ciel est noir, il pleut....
Des notes bleues, le Pyla, ciboure, Audenge...balades
15:55 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : balades, le pyla, ciboure, audenge