22/06/2010
Voilà c'est fini....
La saga des bleus est terminée, la page est tournée....
23:29 Publié dans Foot mondial 2010 | Lien permanent | Commentaires (2)
Une chanson
09:40 Publié dans chansons | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : chanson, les innocents, l'autre finistère
21/06/2010
1910-2010 Les cols et leurs légendes
Les champions se souviennent....
Ce matin avec Sud -ouest, j'ai trouvé cet album, les plus belles heures du tour de France, des exploits, des drames, des interviews...
Cent ans de Tour de France dans les Pyrénées
Il y a cent ans, les coureurs du Tour partaient à l'assaut des Pyrénées. Dans un hors-série riche en récits, témoignages et photos d'archives, « Sud Ouest » raconte cette épopée.
Tous les amateurs de cyclisme connaissent son nom. Octave Lapize fut le premier coureur du Tour à gravir un col de haute montagne. C'était en 1910, et ce col de l'impossible s'appelait le Tourmalet. La route était un chemin caillouteux, les vélos ignoraient le dérailleur. Le valeureux coureur termina l'ascension à pied, en lançant aux organisateurs : « Vous êtes tous des assassins. » Les Pyrénées étaient domptées.
Cette histoire entre le Tour de France et les Pyrénées, « Sud Ouest » la raconte dans un hors-série de 148 pages, « 100 ans de Tour dans les Pyrénées », au travers de ces lieux les plus mythiques, mais aussi en faisant parler ceux qui y ont souffert, gagné ou perdu. Une histoire de larmes de tristesse et de joie.
Villes historiques
Du col d'Envalira où Jacques Anquetil connut une de ses plus grosses défaillances en 1964, à Bayonne et « ses petits mais redoutables cols basques », « 100 ans de Tour dans les Pyrénées » est un double voyage : dans le temps, qui nous livre une histoire écrite dans la douleur par des hommes d'exception, et dans le massif lui-même.
Si les grands sommets comme ceux qui composent « le cercle de la mort », c'est-à-dire Peyresourde, Aspin, Tourmalet et Aubisque, ont largement contribué à nourrir les histoires de ce « centenaire », l'album consacre une large part aux cols « plus récents » comme Hautacam, Saint-Lary-Pla-d'Adet, Marie-Blanque, sans oublier les Ariégeois de Beille et Bonascre aux pourcentages élevés. Inséparables du Tour de France, Pau, Luchon et, à un degré moindre Bayonne, illustrent, par les aventures qui s'y sont déroulées, cette grande histoire.
Pour étayer cet album richement illustré, « Sud Ouest » a rencontré les grands champions des quarante dernières années. Raymond Poulidor, Eddy Merckx, Bernard Hinault, Miguel Indurain et Richard Virenque évoquent « leurs » Pyrénées, tandis que d'autres coureurs, témoins de cette épopée, apportent leur éclairage sur tel ou tel fait marquant.
Palmarès et records du Tour, présentation de l'édition 2010, et portraits de coureurs pyrénéens complètent cet ouvrage préfacé par Jean-Marie Leblanc, journaliste, ancien directeur du Tour de France.
14:38 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (6)
20/06/2010
Des photos
En partant des Gorges du Verdon, (ballade 2009)
Moustiers Sainte Marie, petit village au pied des rochers
Tout là haut
, la chapelle, notre Dame de Beauvoir, autrefois appelée notre Dame d'Entreroches
262 marches
, le chemin de croix grimpe à travers la colline
Arrivée !
un sentier redescend vers le village de Moustier Sainte Marie
22:52 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : moustiers sainte marie, chapelle
Et le sourire
Et un sourire
La nuit n'est jamais complète
IIl y a toujours, puisque je le dis
puisque je l'affirme
au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler, faim à satisfaire
un coeur généreux
Une main tendue, une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie, la vie à se partager
Paul Eluard
22:52 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, paul eluard
Les témoins de la mariée
le nouveau roman de Didier Van Cauwelaert
Une jeune chinoise, une guerrière de l'amour.....
" Nous étions ses meilleurs amis : il nous avait demandé d'être ses témoins.
Cinq jours avant le mariage, il meurt dans un accident de voiture. Ce matin, à l'aéroport, nous attendons sa fiancée. Elle arrive de Shanghai, elle n'est au courant de rien et nous, tout ce que nous savons d'elle, c'est son prénom et le numéro de son vol. Comment lui dire la vérité ? Nous nous apprêtions à briser son rêve ; c'est elle qui, en moins de vingt-quatre heures, va bouleverser nos vies. Mais cette jeune Chinoise est-elle la femme idéale ou bien la pire des manipulatrices ? " Avec son humour implacable, l'auteur d'Un aller simple et de L'Education d'une, fée nous entraîne, entre suspense et sensualité, dans un grand roman d'amitié où le machiavélisme amoureux agit comme un révélateur."
Le 29 juillet 1960, Didier van Cauwelaert (prononcer "vann covelart" à la française) voit le jour dans le Sud de la France, à Nice la douce... Là-bas, il grandit en rêvant d'écriture.
en 1982, son roman - le premier - Vingt ans et des poussières
Festival du livre de Nice
Petite info, plutôt insolite!
Un roman sur votre mobile
Par Baptiste Touverey
"C’est une première en France. A l’occasion du Festival du livre de Nice (du 12 au 14 juin), les usagers des transports en commun de cette ville pourront télécharger gratuitement, sur leur téléphone portable, un roman feuilleton inédit de Didier van Cauwelaert."
15:09 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : roman, les témoins de la mariée, didier van cauwelaert
18/06/2010
Pas encore vu
Un film
Critique - Les Mains en l'air de Romain Goupil
Politique, solidarité, enfance, Romain Goupil n'a rien perdu de ses idéaux depuis son premier film, Mourir à trente ans. Avec Les Mains en l'air, le cinéaste nous propose un cinéma en liberté, qui exalte les valeurs de l'enfance.
Le 22 mars 2067, une vieille dame nommée Milana se souvient avec tendresse de son enfance. En 2009, cette petite fille d'origine tchétchène formait une bande avec ses copains de classe. Le jour où Yussef se fait expulser, Milana comprend qu'elle risque de subir le même sort. S'organise alors une solidarité autour de cette petite fille. Les enfants fuguent pour se réfugier dans un abri de fortune. Seuls contre tous (les adultes surtout), ils n'imaginent pas l'ampleur médiatique qu'a pris cette fuite en avant...
Film intimiste et politique
Près de 30 ans après son premier film Mourir à trente ans, une évocation du mouvement trotskyste, Romain Goupil n'a rien perdu de ses idéaux. C'est dans l'enfance que le cinéaste est allé réveiller la flamme de la solidarité. Car chez Goupil, c'est par le groupe que les problèmes se résolvent. Ses précédents films l'ont prouvé ( A mort la mort !, Une Pure coïncidence). Pourtant, on sent une certaine distance chez le cinéaste, visiblement assagi. Décidé à porter sa caméra à hauteur humaine, ce qui l'intéresse ici est le parcours initiatique de cette petite Milana, plus que l'exaltation de la bande. Film intimiste et politique, Les Mains en l'air dresse en filigrane le portrait d'un modèle familial idéal, dans lequel la place du père reste à négocier. On se souvient du regard tendre de Romain Goupil porté sur la mère avec Maman en 1990. Ici, la mère, incarnée par Valéria Bruni-Tedeschi est la seule personne que le cinéaste semble sauver dans ce monde d'adultes constitués de flics, de lâches et d'une gauche bien-pensante...
Espoir toujours
« Je ne sais plus qui était le président de la République », déclare Milana en évoquant son enfance dans les années 2000. Joli pied de nez à Nicolas Sarkozy (beau-frère de son actrice qui plus est). C'est par petites touches, savamment dosées et ironiques à souhait, que le second degré de Romain Goupil s'avère percutant. Au-delà de sa dimension politique, intime et familiale, ce film intervient comme le reflet d'une époque où des valeurs se perdent et la société se désorganise. Mais loin d'offrir un discours cynique de simple réac, Goupil espère encore. A son sentiment d'impuissance face aux effets de la politique de reconduite à la frontière, le cinéaste a choisi l'art comme réponse. Un acte majeur.
Par Laure Croiset
14:44 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : film, romain goupil
Une chanson
10:33 Publié dans chansons | Lien permanent | Commentaires (5)
17/06/2010
Ce soir à Polokwane
Il fait froid à Polokwane, -3, un stade situé au molieu de nulle part, à l'écart de la ville
L'heure est grave, les bleus ce soir
"il ya aura onze joueurs qui joueront et onze joueurs qui ne joueront pas"
" nous ne sommes plus que 22, Carrasso est forfait et l'herbe y sera verte avec des lignes blanches au même endroit que d'habitude
Ce sra une rencontre entre 2 équipes qui ont la même envie, gagner le match" ( conférence de presse, Raymond Domenech)
Jeudi, l'equipe de France affrontera le Mexique, tenu en échec par l'Afrique du sud (1-1)
LEXPRESS.fr/Jean-François Soléri (photo)
Aguirre fera "La Colère de Dieu" si ses hommes font une mauvaise prestation face à la France
Ville située à 1230m
Le Stade Peter Mokaba, en référence au célèbre combattant de l'Apartheid en Afrique du Sud
Membre puis président de divers partis de jeunes contre l'apartheid, il dissout ces formations en 1990 pour créér l'« ANC Youth League ». Au début des années 90, il devient célèbre nationalement pour ses chants et slogans anti-Afrikaners dont le célèbre chant « Kill the boer, kill the farmer »
Ce stade possède désormais une capacité de 41 733 places. Polokwane est une ville où le football est préféré au rugby du fait en particulier du fort taux de population noire (environ 94%). On peut notamment citer les clubs de football suivants : Black Leopards, Dynamos, Winners Park.
Et pour parler foot, chez Yves Alsa et Pierre
13:55 Publié dans Foot mondial 2010 | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : mondial 2010, polokwane
La leçon de Flamand
13:34 Publié dans humour | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : dessin, cabu