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27/10/2011

Pétition : non à la taxe sur la santé qui dégrade l'accès aux soins des Français !

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Pétition : non à la taxe sur la santé qui dégrade l'accès aux soins des Français !

 

      Signez la pétition : voici le lien de la mutualité !

26/10/2011

" Il suffit de passer le pont...."

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J'aime les petits ponts de bois....là, on est à Val d'Isère , on marche vers Tignes

et là , vers le refuge des Fours

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En arrivant au vieux village de Bonneval

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Toujours à Val d'Isère

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un été,  Le Beaufortain et Moustier st Marie, un printemps....

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Au col de l'Iseran , en juillet, sous la neige...

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cet été, à Valloire

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et ce dernier pont ,  la  montée au refuge du lac d'oô

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Là , c'est presque  "chez nous"....

24/10/2011

Un poème

 

images.jpgMendiant6.pngLE MENDIANT

 

Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.
Je cognai sur ma vitre ; il s’arrêta devant
Ma porte, que j’ouvris d’une façon civile.
Les ânes revenaient du marché de la ville,
Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.
C’était le vieux qui vit dans une niche au bas
De la montée, et rêve, attendant, solitaire.
Un rayon du ciel triste, un liard de la terre.
Tendant les mains pour l’homme et les joignant pour Dieu.
Je lui criai : — Venez vous réchauffer un peu.
Comment vous nommez-vous ? — Il me dit : — Je me nomme
Le pauvre. — Je lui pris la main : — Entrez, brave homme. —
Et je lui fis donner une jatte de lait.
Le vieillard grelottait de froid ; il me parlait.
Et je lui répondais, pensif et sans l’entendre.
— Vos habits sont mouillés, dis-je, il faut les étendre
Devant la cheminée. — Il s’approcha du feu.
Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
Étalé largement sur la chaude fournaise.
Piqué de mille trous par la lueur de braise,
Couvrait l’âtre, et semblait un ciel noir étoilé.
Et, pendant qu’il séchait ce haillon désolé
D’où ruisselait la pluie et l’eau des fondrières,
Je songeais que cet homme était plein de prières.
Et je regardais, sourd à ce que nous disions.
Sa bure où je voyais des constellations.

Décembre 1854.

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14:17 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : victor hugo, le mendiant

Rien de nouveau....

 

Lutte contre la mendicité

Plaque d'interdiction de la mendicité

Dès le XVIe siècle des ordonnances ont tenté de régir la mendicité [4]. Des structures ont été créées pour accueillir les mendiants, et les réinsérer, comme les dépôts de mendicité des grandes villes françaises au XVIIIe siècle et au siècle suivant

  • 1556, parution en France de l’ordonnance de Moulins, la première qui s’occupa sérieusement de l’extinction de la mendicité.
  • 1561, une ordonnance de Charles IX de France avait édicté contre les mendiants la peine des galères.
  • 1584, l’ordonnance du comte Frédéric édicte que les étrangers mendiant à Montbéliard seront conduits hors de la ville par les gens de police (dit chasse-pauvres ou tue-chiens) et emprisonnés en cas de récidive. Les pauvres de la ville devaient être assistés par la Chambre de charité et les passants par les distributeurs des deniers des pauvres. Les habitants des villages sont tenus de fournir aux besoins de leurs pauvres, sans que ceux-ci aient la faculté d’aller mendier leur pain au dehors.
  • 1591, la bourgade des Chaudes Aigues voyant doubler sa population de musiciens misèreux, édite le procès du 13 Novembre stipulant la non-régularité des pauvres. Ceux-ci seront conduit par le tue-fourbe en direction du moulin pour qu'ils se jetent dans la fosse aux huitres.
  • La ville de Grenoble avait un fonctionnaire, le chasse-gueux ou chasse-coquins, dont l’unique mission était de parcourir les rues de la ville et de renvoyer les mendiants [5].
  • 18 janvier 1606, un arrêt du Parlement de Paris décida que les mendiants seraient fouettés en place publique par les valets du bourreau ; de plus on leur mit une marque au fer rouge particulière (la lettre M) sur les joues, l’épaule ou le front (supprimé par le code pénal de 1791 à 1802), et, en vertu d’une ordonnance de 1602, on leur rasa la tête.
  • 1656, création à Paris de l' Hôpital général, qui prétend abolir la mendicité par le renfermement des pauvres[6]. Insitution ruineuse et véritable Etat dans l'Etat, l'Hôpital général ne résoudra rien.
  • 5 juillet 1808, Napoléon Ier signa le décret organique sur l’extinction de la mendicité en France, décret qui n’a jamais reçu qu’une extinction partielle ou insuffisante.
  • En mars 2003, la loi française sur la sécurité intérieure a modifié les droits concernant la mendicité. Wikipédia

    la mendicité

14:10 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : la mendicité

23/10/2011

Une balade

Cet après midi , un beau soleil , de jolies  couleurs...

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notre chemin de retour et "notre" banc...

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21:37 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : balade à canéjan

21/10/2011

" les mendiants" de Marseille

Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre appellent à mendier devant la mairie de Marseille

La Fondation Abbé Pierre et l'association Emmaüs France appellent à mendier devant l'Hôtel de ville de Marseille pour dénoncer un arrêté anti-mendicité pris par la mairie lundi dernier.

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Les manifestants, devant la mairie de Marseille le 20 octobre 2011, demandent l'abrogation de l'arrêté anti-mendicité pris par la municipalité


Dans un communiqué diffusé mercredi, les deux organisations dénoncent une "guerre aux pauvres" et appellent à une "première séance de mendicité solidaire et collective", devant l'Hôtel de ville de Marseille, jeudi en fin de matinée.

 

"Le 17 octobre 2011, journée mondiale du refus de la misère, la Ville de Marseille décrète par arrêté municipal l'interdiction de la mendicité dans le centre-ville de Marseille, imitant les pires politiques municipales déjà en vigueur dans certaines villes", dénoncent les deux associations.

 

"C'est une véritable guerre aux pauvres qui est déclarée, comme elle l'est également à Nogent-sur-Marne qui a choisi de sanctionner les pauvres qui cherchent pitance dans les poubelles. Ces actes politiques indignes laissent augurer du pire à l'orée du débat public qui va précéder les élections de l'année 2012", ajoutent-elles.Les deux organisations annoncent qu'elles ont "décidé de se déclarer 'mendiants solidaires'" et "d'organiser des séances de mendicité devant l'Hôtel de ville de Marseille", dont la première aura lieu jeudi

Paris ( AP) Nouvel Obs

 

23:09 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (19)

20/10/2011

C'était cet été....

Des sentiers , des vieux villages , des chalets, des coins perdus...

 

randos autour de valloire,juillet 2011

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randos autour de valloire,juillet 2011

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19/10/2011

Mon Epoque

Continuons avec Cyril Mokaiesh ....

"Mon époque" est extrait du premier album de Cyril Mokaiesh, Du Rouge et des Passions, sorti en 2011.

Jean-Louis Murat, Vendre les prés

"Grand Lièvre", le nouvel album de Jean-Louis Murat

17/10/2011

Massacre du 17 octobre 1961

Une pensée pour Yves

Une sortie toute symbolique mais combien forte pour François Hollande. En ce lundi 17 octobre, sur le pont de Clichy, une rose à la main, le député de Corrèze est venu rendre hommage aux manifestants algériens qui, il y a exactement cinquante ans, étaient massacrés par les policiers français.

 

photo-affiche-nuit-noire-17-octobre-1961.jpgCette répression sanglante faisait suite à une manifestation organisée à Paris, en pleine guerre d’Algérie, par la fédération française du FLN, en faveur de l’indépendance de l’Algérie.

 

Des milliers de manifestants avaient été arrêtés et brutalisés par les forces de l'ordre. Des dizaines de manifestants Algériens étaient alors morts, noyés, dans la Seine.

 

"Il faut que la vérité soit dite. Sans repentance, ni mise en accusation particulière. Reconnaître ce qui c’est produit. Aujourd’hui, je le fais en tant que socialiste. Ensuite, ce sera sans doute à la République de le faire..." ( Paul Tian )

 

Il y a eu cet appel

"Le massacre de la manifestation pacifique du 17 octobre 1961 fait partie de notre histoire. En partenariat avec l'association Au nom de la mémoire, Mediapart lance, à l'aube du cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie, cet appel pour «une nouvelle fraternité franco-algérienne». La carte des manifestations prévues lundi 17 octobre 2011 dans toute la France est ici. Pour comprendre ou revisiter l'événement dramatique du 17 octobre 1961, Mediapart propose ici le documentaire de Mehdi Lallaoui, Le Silence du fleuve; là dix-sept contributions d'écrivains; enfin une étude des racines policières de cette répression raciste."

 

«Il y a cinquante ans, le préfet de Police de la Seine, Maurice Papon, avec l'accord du gouvernement, imposa un couvre-feu visant exclusivement tous les Français musulmans d'Algérie.
 
«Ce couvre-feu raciste entraîna une réaction pacifique des Algériens, sous la forme d'une manifestation dans les rues de Paris. Au soir du mardi 17 octobre 1961, ils furent près de trente mille, hommes, femmes et enfants, à défiler pacifiquement sur les grandes artères de la capitale pour revendiquer le droit à l'égalité et défendre l'indépendance de l'Algérie.
 
«La répression policière de cette protestation non violente est une des pages les plus sombres de notre histoire. Longtemps dissimulée à l'opinion et désormais établie par les historiens, elle fut féroce : onze mille arrestations, des dizaines d'assassinats, dont de nombreux manifestants noyés dans la Seine, tués par balles, frappés à mort.  
 
«Le temps est venu d'une reconnaissane officielle de cette tragédie dont la mémoire est aussi bien française qu'algérienne. Les victimes oubliées du 17 octobre 1961 travaillaient, habitaient et vivaient en France. Nous leur devons cette justice élémentaire, celle du souvenir.  
 
«Reconnaître les crimes du 17 octobre 1961, c'est aussi ouvrir les pages d'une histoire apaisée entre les deux rives de la Méditerranée. En 2012, l'Algérie fêtera cinquante ans d'une indépendance qui fut aussi une déchirure française. A l'orée de cette commémoration, seule la vérité est gage de réconciliation.  
 
«Ni vengeance, ni repentance, mais justice de la vérité et réconciliation des peuples: c'est ainsi que nous construirons une nouvelle fraternité franco-algérienne. »