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16/02/2009

AU COEUR DES PORTES DU SOLEIL

Un coup de coeur, le Mont Caly, au dessus du village des Gets

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gets.jpgCet été là, pendant  3 jours, le village va vivre au son des orgues de barbarie. La musique mécanique envahit les rues et places du village où plus de trois cents musiciens venus de toute l'Europe prennent place.

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Dans les rues des Gets

 

14/02/2009

14 février

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Un an de plus....
luchon été 2008 103.jpg




06:00 Publié dans ANNIVERSAIRE | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : anniversaire

13/02/2009

CINEMA PARADISO

20 Septembre 1989

Réalisé par Giuseppe Tornatore

Alfredo vient de mourir. Pour Salvatore, cineaste en vogue, c'est tout un pan de son passé qui s'écroule. On l'appellait Toto a l'époque. Il partageait son temps libre entre l'office ou il était enfant de choeur et la salle de cinéma paroissiale, en particulier la cabine de projection où régnait Alfredo...

 

 

 

LE BAL

 

Le Bal


Ballando, Ballando
1983, France / Italie / Algérie, 119 min, Couleurs
Réalisation Ettore Scola
Scénario Ruggero Maccari, Jean-Claude Penchenat, Furio Scarpelli, Ettore Scola, d’après le spectacle du Théâtre du Campagnol
Photographie Ricardo Aronovich
Musique Vladimir Cosma
Interpretation Jean-Claude Penchenat, Jean-François Perrier, Geneviève Rey-Penchenat, Marc Berman

 


ہà travers un dancing des années 30 style arts déco, Ettore Scola passe en revue 50 ans d’histoire : le Front populaire, la guerre et l’Occupation, la Libération et le Plan Marshall, la guerre d’Algérie et Mai 68, jusqu’au début des années 80. Du guinguette au rock’n roll, passent les modes, reste le lieu, témoin de la solitude des gens qui n’ont pas besoin de parole. Et c’est sans parole, si ce ne sont celles de chansons de chaque période évoquée et de la gestuelle des corps dansant avec la vie, que le cinéaste dit l’histoire, « non pas l’histoire officielle qu’on ne voit pas, mais l’histoire individuelle… celle que vivent à petits gestes de petites gens ».






 


le bal
envoyé par magnanime77

 

14:18 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : ettore scola cinema

12/02/2009

UN SENTIER A ISOLA 2000

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Un cirque Alpin resté sauvage

Au bout de la vallée de Tinée, la station d'Isola 2000,   un sentier à flan de montagne  à travers une petite forêt de mélèzes
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On arrive  aux lacs de terre rouge


vue magnifique sur les montagnes Françaises et Italiennes.

 

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Toujours à Isola, sur un autre chemin....
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11/02/2009

BREL 1955

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Sur la place chauffée au soleil
Une fille s'est mise à danser
Elle tourne toujours pareille
Aux danseuses d'antiquités
Sur la ville il fait trop chaud
Hommes et femmes sont assoupis
Et regardent par le carreau
Cette fille qui danse à midi
....

 

 

 

 

13:06 Publié dans chansons | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : brel musique 1955

BREL

 

11:27 Publié dans chansons | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : brel musique

10/02/2009

Apres Klaus, Quentin est arrivé

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Tempête hivernale

bilan  accablant : 7000 M3 de pins maritimes tombés à Hostens...

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La liste est longue . Au total : 18 070 M3 de pins et 610 m3 de feuillus, en premier lieu des chênes.

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sur un chemin allant à l'océan,   petite maison de résinier

aujourd'hui, les landes, ce sont des pins abattus et des pins déchiquetés.

 

Ballades et photos des forêts des Abatilles, Hostens, Canejan, Carcan....

15:09 Publié dans TEMPËTE | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : tempête 2009

09/02/2009

Mort de l'Italienne au coeur du débat sur l'euthanasie

ELUANA.jpgEluana Englaro a devancé le gouvernement de Silvio Berlusconi. Cette femme de 38 ans, au coeur du débat sur le droit de mourir en Italie, a expiré lundi après 17 ans dans le coma, et alors que le Sénat examinait un projet de loi empêchant que l'on poursuive son euthanasie déjà engagée.

"Oui, elle nous a quittés", a déclaré son père, cité par l'agence de presse ANSA. "Je ne veux rien dire, je veux juste être seul", a ajouté Beppino Englaro, qui s'était battu pendant dix ans pour que la justice autorise, fin 2008, sa fille à mourir. M. Englaro affirmait que sa fille aurait voulu refuser son traitement, comme l'y autorise la loi italienne, qui interdit en revanche l'euthanasie.

Victime d'un accident de la route à l'âge de 20 ans, en 1992, Eluana Englaro était plongée dans un coma végétatif jugé irréversible par les médecins, et maintenue artificiellement en vie. Elle avait été transférée le 3 février à la clinique "La Quiete" d'Udine (nord-est de l'Italie), qui avait commencé à réduire son alimentation artificielle.

De son côté, le gouvernement de centre-droit de Silvio Berlusconi s'était engagé dans une course contre la montre, avec le soutien du Vatican, pour faire adopter en quelques jours une loi interdisant que l'on interrompe l'alimentation et l'hydratation artificielles des patients dont la vie en dépend.

Vendredi, le gouvernement a pris un décret en urgence pour empêcher qu'on laisse Eluana Englaro mourir, mais le président italien Giorgio Napolitano a refusé de le signer. L'affaire a déclenché une vive controverse en Italie, avec des manifestations quotidiennes devant la clinique d'Udine.

Les sénateurs ont observé une minute de silence lundi soir mais des responsables gouvernementaux ont réaffirmé leur intention de faire passer la loi anti-euthanasie au Parlement, où Silvio Berlusconi dispose d'une solide majorité. Le Sénat devait initialement voter mardi. AP

23:37 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (4)

"L'EDEN à l'Ouest"

GAVRAS.jpgL'odyssée d'un clandestin

 

le dernier film de Costa-Gavras

 

Elias, jeune clandestin, saute du bateau qui le transportait vers la France et atterrit dans un club de vacances, entre Grèce et Italie. Il se fond dans la foule des employés. Commence alors son long périple vers son but : Paris, ville lumière…

« Eden à l'ouest », réalisé par Costa Gavras, clôturera, dimanche prochain, le Festival de Berlin. Dans ce film, le réalisateur défenseur des libertés et dénonciateur des oppressions, des totalitarismes et du racisme, fait, bien évidemment, référence à l'Odyssée d'Homère. « Mon personnage, dit-il, traverse, un peu comme Ulysse, la mer, puis les épreuves, puis les tempêtes. Il affronte les monstres modernes et bouscule les mythes de notre époque ».

Immigré lui-même à Paris en 1956, le cinéaste a voulu que son film, « le plus personnel qu'il ait réalisé », soit « un hommage à tous ceux, nos pères, nos grands-pères, qui, malgré les embûches sont venus en France ».

La longue route d'Elias va, on s'en doute, être marquée par d'énormes difficultés. Chassé par la police, sans le sou, il travaillera au noir, sera dupé par des gens sans foi ni loi, mais recevra aussi le soutien de cœurs généreux. Il faut dire qu'en racontant et en dénonçant, Costa- Gavras ne fait pas dans le léger. Les vacanciers du club de vacances sont prêts, ainsi, à chercher dans les buissons les sans papiers pour les livrer à la police. Et une belle quinqua allemande, tombe bien sûr en pamoison devant son corps d'Apollon.…

Interprété par Riccardo Scarmacio, acteur italien que l'on avait remarqué dans la fresque « Nos plus belles années » et dans « Romance criminale », « Eden à l'ouest » (clin d'œil à « A l'Est d'Eden ») est réalisé comme une fable, avec un cheminement par étapes, et est raconté à travers le personnage d'Elias qui, véritable marionnette plongée dans notre société égoïste et dont il ne connaît pas les us, joue dans ce film comme s'il tournait dans un muet. Elias ne parle pas notre langue et tout son jeu passe donc à travers son regard - étonné, apeuré, émerveillé ou déçu - ou par sa gestuelle appuyée, précise ou décousue.


 

Sortie mercredi   Nicole Clodi

 

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Depuis Z, c'est un monument vivant du cinéma, Costa-Gavras. Une figure emblématique qui incarne tout ce que la Cinémathèque française entend défendre : le cinéma exigeant.

« C'est plus que jamais essentiel de savoir lire des images, aujourd'hui, parce que tout passe par des images ! A se demander si l'écrit n'est pas déjà condamné... »

 

Costa raconte surtout la façon dont il est accueilli chez nous. « Un miroir sur nos attitudes. Sombre ? Non, au contraire : un film solaire. »