03/01/2009
Années 50 suite
C'est "Fanfan La Tulipe " de Christian- jaque , 1952, un classique du cinema Français, une des grandes reussites du film d'aventure
Gerard Philippe, l'idole d'une génération( la mienne) 1922 1959
Un fougueux coureur de jupons( fanfan la Tulipe), plein de charme , court s'engager dans l'armée du roi, pour échaper à un mariage forcé
Des personnages hauts en couleur
Il rencontre Adeline, une belle bohemienne...Gina Lollobrigida, son premier film franco Italien
19:52 Publié dans mes films | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : fanfan la tulipe (1952) de christian-jaque
02/01/2009
Dans les rues de ma jeunesse
« On s'aime » aurait pu s'appeler « le cœur des hommes 3 ».Il est né d'une amitié entre trois hommes, Marc Lavoine (aux mélodies), Marc Esposito (aux textes) et Gérard.
On y retrouve la nostalgie, l'humour, toutes les influences musicales (rock, chanson française, musiques orientales) de Gérard Darmon
Artis: Gérard Darmon
Parol: Marc Esposito Dans les rues de ma jeunesse
"Les filles, c’étaient des princesses
Les voitures, c’étaient des DS
Sagan faisait "Bonjour tristesse"
Marc ESPOSITO c'est
- Le coeur des hommes( en 2002 )
- Cendrillon( en 2009 )
Musiq: Marc Lavoine " Dans les journaux de mon enfance
Y avait Buck John et Blek le Roc
Tintin et l’capitaine Haddock
Et les héros du Tour de France "
Dans les rues de mon enfance
Y avait des Bardot en vichy
Des pattes d'éléphant, des Johnny
Des blousons noirs et des dandys
11:32 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : gérard darmon - dans les rues de ma jeunesse (2008
31/12/2008
2009
MEILLEURS VOEUX
à tous et toutes des bisous
23:55 Publié dans Heureuse Année | Lien permanent | Commentaires (10)
30/12/2008
TOMBE DU CIEL
CE MATIN, quelques notes....d'un baladin, d' un poète....
d'un chanteur-comédien , troubadour, rocker, bluesman, un artiste de scène impressionnant, fantasque et attachant
"Tombés d'en haut comme les petites gouttes d'eau
Que j'entends tomber dehors par la f'nêtre
Quand je m'endors le cour en fête
Poseur de girouettes
du haut du clocher donne à ma voix
La direction par où le vent fredonne ma chanson....
13:01 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : higelin musique
29/12/2008
Anthony PERKINS
Anthony Perkins est un acteur et un chanteur américain, né le 4 avril 1932 à New York et mort le 12 septembre 1992 à Hollywood, Californie, USA. Il est mondialement connu pour son interprétation de Norman Bates, le personnage principal du film Psychose d'Alfred Hitchcock
Son père, Osgood Perkins, est un comédien de théâtre d'une certaine notoriété à Broadway. On peut également le retrouver à l'affiche de Scarface (1932) d'Howard Hawks, film dans lequel il interprète le pathétique gangster Johnny Lovo. Le jeune Tony perd son père en 1937 ; dès la fin de son adolescence, il suit ses traces, se retrouvant à Broadway où il entame une carrière théâtrale qu'il poursuivra bien après ses débuts au cinéma.[réf. nécessaire] Son expérience théâtrale du début des années 1950 se soldant par un bilan mitigé, les succès alternant avec les échecs, il débute au cinéma dès 1954 dans The Actress de George Cukor, aux côtés de Jean Simmons (il joue son fiancé), Spencer Tracy et Teresa Wright.
Commence alors pour Perkins une période variablement gratifiante et enrichissante : les années 1950 lui offrent surtout des rôles de jeunes premiers nerveux tantôt idiots, exaspérants, égoïstes, profondément naïfs ou encore inexpérimentés. Il tournera, au cours de cette même décennie, pour des réalisateurs de talent, la référence restant son incarnation de Joseph dans Barrage contre le Pacifique de René Clément d'après le roman de Marguerite Duras en 1958.[réf. nécessaire] Ensuite, il joue avec d'autres réalisateurs estimables mais souvent dans des films mineurs comme les westerns Jicop le proscrit d'Henry Levin et Du sang dans le désert d'Anthony Mann en 1957 à l'exception de La Loi du Seigneur de William Wyler, Palme d'or au Festival de Cannes en 1957 dans lequel il tourne aux côtés de Gary Cooper et Dorothy McGuire. En 1959, il partage l'affiche du Dernier Rivage film de science-fiction ambitieux de Stanley Kramer avec Fred Astaire, Gregory Peck et Ava Gardner. Parallèlement à sa carrière d'acteur, vers le milieu des années 1950, Anthony Perkins commence à enregister ses premiers disques sur lesquels on découvre une belle voix de crooner de charme. Il grave ainsi plusieurs microsillons tendance jazzy et enregistre également quelques 45 tours en français, notamment sa version d’Il n'y a plus d'après de Guy Béart (1961).
La carrière de Perkins va basculer en 1960, et sa notoriété devenir internationale : Alfred Hitchcock lui confie le rôle de Norman Bates dans son seul film « d'horreur », tourné en noir et blanc, avec également Janet Leigh, Vera Miles, John Gavin et Martin Balsam : Psychose (1960). L'interprétation de Perkins fascine, le film est un triomphe.[réf. nécessaire] Bien que tourné avec un budget plutôt limité, c'est le film d'Hitchcock qui fera le plus de recettes
L'année suivante, il joue dans le film d'Anatole Litvak, Aimez-vous Brahms ? (qui lui vaudra un oscar) et Phaedra de Jules Dassin où il incarne Hippolyte face à Mélina Mercouri-Phèdre. En 1962, Perkins est choisi par Orson Welles pour jouer Joseph K. dans son adaptation du Procès de Kafka : ce sera son deuxième et dernier grand rôle. Si le choix de Perkins est critiqué à la sortie du film, son interprétation est reconnue aujourd'hui comme juste, sensible et intelligente.Le Procès sera l'un des films de la période européenne de Perkins, au cours de laquelle il tournera aussi avec Claude Chabrol dans Le Scandale (1967) et La Décade prodigieuse, où Perkins retrouve Welles qui fait l'acteur.
À partir de 1985, l'acteur doit vivre avec le Sida ; il fait preuve de courage et d'une totale discrétion au sujet de sa maladie, si bien que certains de ses proches n'en apprendront l'existence que peu de temps avant sa mort. La maladie l'emporte le 12 septembre 1992. L'urne contenant ses cendres se trouve actuellement au cimetière d'Hollywood. Sa veuve (Berry Berenson) était à bord de l'un des deux Boeings qui se sont écrasés contre le World Trade Center, le 11 septembre 2001.[1]
Une série d'entretiens qu'il accorde à un journaliste quelques mois avant sa mort révèle un Perkins méconnaissable : vieilli, affaibli et surtout d'une grande maturité. Anthony Perkins, tout au long de sa carrière, ne se sera vu proposer que peu de rôles à la hauteur de son talent et n'a pas su, ou pu, se débarrasser de Norman Bates, rôle qui lui colla à la peau et qui a pu donner l'impression qu'il n'était pas capable de faire autre chose.
10:51 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (9)
28/12/2008
Hitchcock 1960
Réalisé par : | Alfred Hitchcock |
Avec : | Anthony Perkins, Janet Leigh, Vera Miles, John Gavin, Martin Balsam, John McIntire, Simon Oakland, Vaughn Taylor, Frank Albertson, Lurene Tuttle La musique fait monter l'angoisse...... Musique de Bernard Hermann |
21:29 Publié dans mes films | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : hichcock 1960 psychose
ANNEES 50
Des images en noir et blanc
trois hommes traversent la ville à cheval pour se rendre à la gare.....et nous entendons la chanson leitmotiv du film ( si toi aussi tu m'abandonnes)
Un beau dimanche 1880 entre 10heure 34 et midi un quart Will Kane( Gary COOPER) vient de renoncer à ses fonctions de sherif de hadleyville petit village de l'ouest américain....
Il va connaître un grand moment de solitude....
Réalisé par Fred Zinnemann
Le Train siffera trois fois
Avec Gary Cooper, Grace Kelly, Thomas Mitchell
Le titre original du film joue sur le double sens de l'expression high noon. Au sens propre, elle signifie plein midi, mais au sens figuré elle désigne l'heure de vérité. Après le film, to be high noon est devenu une expression, qui signifie « être complètement seul avec de gros problèmes ».
La chanson du film a été interprêtée en France par John William, Oscar de la meilleure musique pour Dimitri Tiomkin
Oscar du meilleur acteur pour Gary Cooper
Le film avait aussi été nommé dans les catégories Meilleure mise en scène, Meilleur film et Meilleur scénario
Tourné en 1951, le fim est né alors que les tensions internationale grandissant entre les états Unis et le bloc sovietique
le sénateur republicain Joseph Mccarthy avait lancé sa chasse aux sorcières.
Le film montre le visage de l'homme seul, marqué par la peur et les doutes ,Seul, il viendra à bout des quatre malfrats. À midi un quart, tout sera terminé. Sans un mot pour ses concitoyens accourus pour le féliciter, il jettera à terre son étoile de shérif
00:43 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : film des annees 50
26/12/2008
DEVANT LA PORTE DE L'USINE....
Devant la porte de l'usine
le travailleur soudain s'arrête
le beau temps l'a tiré par la veste
et comme il se retourne
et regarde le soleil
tout rouge tout rond
souriant dans son ciel de plomb
il cligne de l'œil
familièrement
Dis donc camarade Soleil
tu ne trouves pas
que c'est plutôt con
de donner une journée pareille
à un patron ?
20:40 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : poesie jacques prevert
paroles
Il y en a qui ont le coeur si large qu'on y entre sans frapper
Il y en a qui ont le coeur si frêle qu'on le brise d'un doigt
18:14 Publié dans chansons | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : jacques brel
25/12/2008
Le Renard et l'Enfant
Pour ceux qui ont gardé une âme d'enfant
Une bouffée d'air pur, images superbes, un conte sur la nature et l'homme
Un matin d’automne, au détour d’un chemin, une petite fille aperçoit un renard.Fascinée au point d’oublier toute peur, elle ose s’approcher. ...
C’est le début de la plus étonnante et de la plus fabuleuse des amitiés....
chacun fait découvrir son monde à l'autre
Le réalisateur de" La Marche de l’Empereur"
- Bertille Noël-Bruneau : La petite fille
- Isabelle Carré : Narratrice et petite fille adulte
23:14 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : film luc jacquet le renard et l’enfant