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03/01/2009

Années 50 suite

C'est "Fanfan La Tulipefanfan.jpg " de Christian- jaque , 1952,  un classique du cinema Français, une des grandes reussites du film d'aventure

Gerard Philippe, l'idole d'une génération( la mienne) 1922 1959

Un fougueux  coureur de jupons( fanfan la Tulipe), plein de charme , court s'engager dans l'armée du roi, pour échaper à un mariage forcé

Des personnages hauts en couleur

Il rencontre Adeline, une belle bohemienne...Gina Lollobrigida, son premier film franco Italien

IL y a Fanfan La Tulipe, Gerard Philippe, un des acteurs europeens le plus aimé, le plus romantique, le plus séducteur....fanfan9.jpget le vilain et rusé sergent Fier à Bras( Noël Roquevert)
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" cette satire, j'espère qu'elle est valable aussi pour toute guerre en général. Il est, en effet, urgent de ridiculiser l'idée de la guerre et ses promoteurs.  Et je crois assez explicite la tendance du film: pacifique ( Christian Jaque)
Dès le départ, Fanfan la Tulipe tourne en dérision la noblesse et les militaires
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Fanfan, heros d'une chanson populaire du 18° siecle est soldat par amour
Il n'est soumis à personne , plein de fougue, Fanfan ferraille sans hésiter pour se mettre au service de la liberté.
Gerard Philippe un Fanfan idéal
Les dialogues sont signés Henri Jeanson
Festival de Cannes 1952: meilleur réalisateur Christian Jaque
Festival de Berlin 1952: Ours d'Argent Christian Jaque
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"A travers ses films, ses choix d'une culture populaire et ses engagements politiques, Gérard Philipe "Ange foudroyé", "prince de la scène et de l'écran", "héros romantique", "légende d'un demi-siècle", a représenté les espoirs, et les rébellions des jeunes gens du début de ces années 50. En accord avec ses choix de militant pacifiste, sa filmographie ne compte aucun sujet prônant la violence gratuite. Et si l'on excepte l'épée de Fanfan la Tulipe, on ne le verra jamais l'arme à la main. Au cinéma comme au théâtre, il recherche la synthèse entre culture classique et culture de masse. et on le verra se prêter à une publicité de la librairie Gibert dévorant un livre à pleines dents pour inciter à la lecture."
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02/01/2009

Dans les rues de ma jeunesse

« On s'aime »  aurait pu s'appeler « le cœur des hommes 3 ».Il est né d'une amitié entre trois hommes, Marc Lavoine (aux mélodies), Marc Esposito (aux textes) et Gérard.


On y retrouve la nostalgie, l'humour, toutes les influences musicales (rock, chanson française, musiques orientales) de Gérard Darmon
marc8.jpgArtis: Gérard Darmon
marc.jpgParol: Marc Esposito  Dans les rues de ma jeunesse

"Les filles, c’étaient des princesses
Les voitures, c’étaient des DS
Sagan faisait "Bonjour tristesse"


                 Marc ESPOSITO c'est

marc2.jpgetmarc3.jpg 
  • Le coeur des hommes( en 2002 )
  • Cendrillon( en 2009 )


Musiq: Marc Lavoine marc6.jpg                 "   Dans les journaux de mon enfance
Y avait Buck John et Blek le Roc
Tintin et l’capitaine Haddock
Et les héros du Tour de France "

Dans les rues de mon enfance
Y avait des Bardot en vichy
Des pattes d'éléphant, des Johnny
Des blousons noirs et des dandysmarc11.jpg

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31/12/2008

2009

MEILLEURS VOEUX

à tous et toutes    des bisous

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30/12/2008

TOMBE DU CIEL

higelin.jpgCE MATIN, quelques notes....d'un baladin, d' un poète....

 d'un chanteur-comédien ,  troubadour,  rocker, bluesman,  un  artiste de scène impressionnant, fantasque et attachant

 

 

"Tombés d'en haut comme les petites gouttes d'eau
Que j'entends tomber dehors par la f'nêtre
Quand je m'endors le cour en fête
Poseur de girouettes
du haut du clocher donne à ma voix
La direction par où le vent fredonne ma chanson....

 

 

 

13:01 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : higelin musique

29/12/2008

Anthony PERKINS

ant3.jpgAnthony Perkins est un acteur et un chanteur américain, né le 4 avril 1932 à New York et mort le 12 septembre 1992 à Hollywood, Californie, USA. Il est mondialement connu pour son interprétation de Norman Bates, le personnage principal du film Psychose d'Alfred Hitchcock

Son père, Osgood Perkins, est un comédien de théâtre d'une certaine notoriété à Broadway. On peut également le retrouver à l'affiche de Scarface (1932) d'Howard Hawks, film dans lequel il interprète le pathétique gangster Johnny Lovo. Le jeune Tony perd son père en 1937 ; dès la fin de son adolescence, il suit ses traces, se retrouvant à Broadway où il entame une carrière théâtrale qu'il poursuivra bien après ses débuts au cinéma.[réf. nécessaire] Son expérience théâtrale du début des années 1950 se soldant par un bilan mitigé, les succès alternant avec les échecs, il débute au cinéma dès 1954 dans The Actress de George Cukor, aux côtés de Jean Simmons (il joue son fiancé), Spencer Tracy et Teresa Wright.

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Commence alors pour Perkins une période variablement gratifiante et enrichissante : les années 1950 lui offrent surtout des rôles de jeunes premiers nerveux tantôt idiots, exaspérants, égoïstes, profondément naïfs ou encore inexpérimentés. Il tournera, au cours de cette même décennie, pour des réalisateurs de talent, la référence restant son incarnation de Joseph dans Barrage contre le Pacifique de René Clément d'après le roman de Marguerite Duras en 1958.[réf. nécessaire] Ensuite, il joue avec d'autres réalisateurs estimables mais souvent dans des films mineurs comme les westerns Jicop le proscrit d'Henry Levin et Du sang dans le désert d'Anthony Mann en 1957 à l'exception de La Loi du Seigneur de William Wyler, Palme d'or au Festival de Cannes en 1957 dans lequel il tourne aux côtés de Gary Cooper et Dorothy McGuire. En 1959, il partage l'affiche du Dernier Rivage film de science-fiction ambitieux de Stanley Kramer avec Fred Astaire, Gregory Peck et Ava Gardner. Parallèlement à sa carrière d'acteur, vers le milieu des années 1950, Anthony Perkins commence à enregister ses premiers disques sur lesquels on découvre une belle voix de crooner de charme. Il grave ainsi plusieurs microsillons tendance jazzy et enregistre également quelques 45 tours en français, notamment sa version d’Il n'y a plus d'après de Guy Béart (1961).

La carrière de Perkins va basculer en 1960, et sa notoriété devenir internationale : Alfred Hitchcock lui confie le rôle de Norman Bates dans son seul film « d'horreur », tourné en noir et blanc, avec également Janet Leigh, Vera Miles, John Gavin et Martin Balsam : Psychose (1960). L'interprétation de Perkins fascine, le film est un triomphe.[réf. nécessaire] Bien que tourné avec un budget plutôt limité, c'est le film d'Hitchcock qui fera le plus de recettes

L'année suivante, il joue dans le film d'Anatole Litvak, Aimez-vous Brahms ? (qui lui vaudra un oscar) et Phaedra de Jules Dassin où il incarne Hippolyte face à Mélina Mercouri-Phèdre. En 1962, Perkins est choisi par Orson Welles pour jouer Joseph K. dans son adaptation du Procès de Kafka : ce sera son deuxième et dernier grand rôle. Si le choix de Perkins est critiqué à la sortie du film, son interprétation est reconnue aujourd'hui comme juste, sensible et intelligente.Le Procès sera l'un des films de la période européenne de Perkins, au cours de laquelle il tournera aussi avec Claude Chabrol dans Le Scandale (1967) et La Décade prodigieuse, où Perkins retrouve Welles qui fait l'acteur.

anthony.jpgÀ partir de 1985, l'acteur doit vivre avec le Sida ; il fait preuve de courage et d'une totale discrétion au sujet de sa maladie, si bien que certains de ses proches n'en apprendront l'existence que peu de temps avant sa mort. La maladie l'emporte le 12 septembre 1992. L'urne contenant ses cendres se trouve actuellement au cimetière d'Hollywood. Sa veuve (Berry Berenson) était à bord de l'un des deux Boeings qui se sont écrasés contre le World Trade Center, le 11 septembre 2001.[1]

Une série d'entretiens qu'il accorde à un journaliste quelques mois avant sa mort révèle un Perkins méconnaissable : vieilli, affaibli et surtout d'une grande maturité. Anthony Perkins, tout au long de sa carrière, ne se sera vu proposer que peu de rôles à la hauteur de son talent et n'a pas su, ou pu, se débarrasser de Norman Bates, rôle qui lui colla à la peau et qui a pu donner l'impression qu'il n'était pas capable de faire autre chose.

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10:51 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (9)

28/12/2008

Hitchcock 1960

psy7.jpgReel et surnaturel, mélange fascinant, petites surprises macabres et troublantes: Psychose
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Impossible d'oublier , le manoir des Bats, l'une des maisons les plus célèbres de l'histoire du cinéma
Inoubliable, la célèbre scène sous la douche
La salle de bain blanche de Bats Motel et une femme nue
et  Norman  Bats
un désaxé
Un chef d'oeuvre 
d'épouvante
Premier thriller de l'histoire du
cinéma
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En début d'après-midi d'un vendredi de décembre, Marion Crane et Sam Loomis se retrouvent à l'insu de leur entourage dans une chambre de l'Adam's Hotel.....
Marion, secrétaire,  supporte de plus en plus mal cet amour se limitant à des rencontres furtives.....
Ayant roulé plusieurs heures jusqu'après la tombée du jour, elle s’arrête sur le bas-côté pour passer la nuit dans son véhicule. Elle est réveillée par un policier qui contrôle ses papiers, lui rappelle qu'il est dangereux de dormir ainsi en bord de route et lui conseille à l'avenir de chercher un motel.
 Ayant repris la route, elle décide de faire halte dans un  motel,
 Marion est l'unique cliente du motel tenu par Norman Bates et sa mère......
Réalisé par : Alfred Hitchcock
Avec : Anthony Perkins, Janet Leigh, Vera Miles, John Gavin, Martin Balsam, John McIntire, Simon Oakland, Vaughn Taylor, Frank Albertson, Lurene Tuttle
La musique  fait monter l'angoisse......
Musique de Bernard Hermann

ANNEES 50

 

Des images en noir et blanctrain6.jpg

 

trois hommes traversent la ville à cheval pour se rendre à la gare.....et nous entendons la chanson leitmotiv du film ( si toi aussi tu m'abandonnes)

 

Un beau dimanche 1880 entre 10heure 34 et midi un quart Will Kane( Gary COOPER) vient de renoncer à ses fonctions de sherif de hadleyville petit village de l'ouest américain....

 

 

Il va connaître un grand moment de solitude....train8.jpg

Réalisé par Fred Zinnemann

train.jpgLe Train siffera trois fois

Avec Gary Cooper, Grace Kelly, Thomas Mitchell

Alors qu’il vient de se marier et va devoir rendre son étoile de shérif le soir même, Will Kane apprend l’imminent retour en ville de Frank Miller, un homme qu’il avait jadis arrêté et qui, condamné à la pendaison, avait juré de se venger. Miller doit arriver par le train de midi où trois de ses complices l’attendent. Malgré les supplications de sa femme, Kane décide de rester et tente de recruter des hommes. Mais, par lâcheté, intérêt, ou amitié pour le bandit, tous se dérobent. C’est donc seul qu’il devra livrer le combat.
C'est le premier grand rôle de Grace Kelly
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 Le titre original du film joue sur le double sens de l'expression high noon. Au sens propre, elle signifie plein midi, mais au sens figuré elle désigne l'heure de vérité. Après le film, to be high noon est devenu une expression, qui signifie « être complètement seul avec de gros problèmes ».

 

 La chanson du film a été interprêtée en France par John WilliamOscar de la meilleure musique pour Dimitri Tiomkin

Oscar du meilleur acteur pour Gary Cooper

Le film avait aussi été nommé dans les catégories Meilleure mise en scène, Meilleur film et Meilleur scénario

 Tourné en 1951, le fim est né alors que les tensions internationale grandissant entre les états Unis  et le bloc sovietique

le sénateur republicain Joseph Mccarthy avait lancé sa chasse aux sorcières.

Le film montre le visage de l'homme seul, marqué par la peur et les doutes ,Seul, il viendra à bout des quatre malfrats. À midi un quart, tout sera terminé. Sans un mot pour ses concitoyens accourus pour le féliciter, il jettera à terre son étoile de shérif

train.jpg

 

00:43 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : film des annees 50

26/12/2008

DEVANT LA PORTE DE L'USINE....

carte2.jpgDevant la porte de l'usine
le travailleur soudain s'arrête
le beau temps l'a tiré par la veste
et comme il se retourne
et regarde le soleil
tout rouge tout rond
souriant dans son ciel de plomb
il cligne de l'œil
familièrement
Dis donc camarade Soleil
tu ne trouves pas
que c'est plutôt con
de donner une journée pareille
à un patron ?

 

 

paroles

brel.jpgIl y en a qui ont le coeur si large qu'on y entre sans frapper


Il y en a qui ont le coeur si frêle qu'on le brise d'un doigt

porte.jpg

18:14 Publié dans chansons | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : jacques brel

25/12/2008

Le Renard et l'Enfant

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Pour ceux qui ont gardé une âme d'enfant

Une bouffée d'air pur, images superbes,  un conte sur la nature et l'homme

Un matin d’automne, au détour d’un chemin, une petite fille aperçoit un renard.Fascinée au point d’oublier toute peur, elle ose s’approcher. ...

C’est le début de la plus étonnante et de la plus fabuleuse des amitiés....

chacun fait découvrir son monde à l'autre

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Réalisé par : Luc Jacquet

Le réalisateur de" La Marche de l’Empereur"

  • Bertille Noël-Bruneau : La petite fille
  • Isabelle Carré : Narratrice et petite fille adulte
Le film a été tourné sur le Plateau de Retord (Ain), que le réalisateur connait bien pour y avoir passé son enfance, ainsi que dans les Abruzzes, en Italie
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