26/01/2009
Martin circus ""Je m'éclate au Sénégal".
16:01 Publié dans Nostalgie | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : gerard blanc
25/01/2009
GERARD BLANC
A 61 ans, le chanteur et guitariste Gérard Blanc est mort subitement d'une hémorragie dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 janvier, a annoncé son épouse. Gérard Blanc, qui avait eu une crise cardiaque en octobre 2008, s'était fait connaître avec le groupe mythique Martin Circus dans les années 1970. Il avait rejoint deux des membres fondateurs en 1969 et avait signé avec eux une des plus célèbres chansons du Martin Circus, "Je m'éclate au Sénégal".
Dans les années 1980, il avait retrouvé le sommet des hits avec sa chanson "Une autre histoire". Il enregistrait encore, samedi, dans le cadre de la préparation de son nouvel album
Le chanteur à la moustache, qui avait fait un malaise cardiaque en octobre 2008, devait rejoindre la tournée "Age tendre et tête de bois" au printemps prochain, avec d'autres artistes yéyé et stars de la variété des années 70, comme Sheila et Richard Anthony.
Groupe pop emblématique des années 1970, Martin Circus était le "concurrent" du "Big Bazar" de Michel Fugain.
Le guitariste, fan de Ray Charles et de Chuck Berry dans sa jeunesse, a d'abord été membre du groupe Windings, qui deviendra "Les Balthazar". Il rejoint Martin Circus en 1969.
"Une autre histoire", succès de 1987
19:31 Publié dans TRISTESSE | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : gerard blanc
CE MATIN
"conséquences dramatiques" sur les forêts du Sud-Ouest. D'après le Syndicat des sylviculteurs du Sud-Ouest, par endroits, 60% des forêts du sud de la Gironde et des Landes ont été dévastés
"En 1999, 240.000 hectares de forêts avaient été sérieusement endommagés. Dix ans après, cette tempête est donc "un nouveau coup dur pour une filière déjà en crise", a expliqué Eric Dumontet, secrétaire général adjoint du Syndicat des sylviculteurs du Sud-Ouest. Or cette activité forestière est particulièrement importante. Dans les régions Aquitaine, Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, les massifs boisés représentent plus de 25% du territoire. Au-delà de l’activité économique, c’est tout un éco-système qui pourrait être affecté, rappelle la fédération France Nature Environnement."
17:47 Publié dans TEMPËTE | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : tempËte 2009
24/01/2009
CESAR 2009
7 longs métrages concourent au César du Meilleur film : "Entre les murs"
, "Un conte de Noël", "Le Premier jour du reste de ta vie"
, "Mesrine, "Paris", "Séraphine"
et "Il y a longtemps que je t'aime".
Le monde du cinéma français saluera-t-il une dernière fois Guillaume Depardieu en lui octroyant le César 2009 du meilleur acteur ? Son nom figure parmi les cinq nominés pour son rôle dans "Versailles" de Pierre Schoeller. Un rôle particulièrement difficile où, marginal vivant dans les bois, dans une cabane près du château de Versailles, il se retrouve du jour au lendemain avec un enfant de cinq ans qu'une jeune inconnue a abandonné.
En 1995, il avait obtenu le César du meilleur espoir pour son rôle dans "Les Apprentis" de Pierre Salvadori.
les grands absents de la 34e cérémonie des César, qui se tiendra le 27 février prochain : Georges Cravenne, le créateur de la cérémonie, qui s'est éteint le 10 janvier dernier, Claude Berri, le "Parrain" du cinéma français, décédé deux jours plus tard.
Vincent Cassel, qui incarne à l'écran le célèbre truand est nommé dans la catégorie meilleur acteur et Jean-François Richet est nommé dans la catégorie meilleur réalisateur.
"Séraphine" obtient par ailleurs neuf nominations dont "meilleur film, meilleure actrice pour Yolande Moreau, qui interprète la domestique de Senlis devenue peintre, et meilleur réalisateur pour Martin Provost.
34ème cérémonie des César présidée par Charlotte Gainsbourg et animée par Antoine de Caunes.
20:25 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : cinema cesar 2009
23/01/2009
WEEK-END
"C'est le week-end
Finie la semaine
Allons z'à la campagne....Kent
09:40 Publié dans Ballade | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : kent musique
22/01/2009
QUELQUES PRECISIONS
Chères amies, chers amis,
Je comprends que cette phrase ait pu surprendre ceux qui, à distance, n'avaient ni le son ni l'image : « Son ego est devenu totalement démesuré ! », se sont-il dit…
Alors, quelques précisions pour les rassurer.
Après une conférence de presse centrée sur le moment historique que nous vivions, moment auquel je participe au milieu du peuple américain, en toute humilité et sans protocole, c'est à une question amicalement provocatrice d'un des journalistes que j'ai répondu de façon humoristique ! Intention bien comprise par l'AFP, comme on peut le voir sur la vidéo de l'interview et comme en atteste la dépêche*.
Sur la campagne et l'utilisation d'Internet, c'est sans doute nous qui aurons à nous inspirer de Barack Obama, et peut-être même, ici ou là, à le « copier ».
La force de l'événement vécu ici et dans le monde m'a impressionnée… mais pas au point de perdre la lucidité !
Il y a bien d'autres événements majeurs à vivre… Comme, par exemple, cette interview très symbolique de Colin Powell sur CNN et je voudrais vous en dire quelques mots. Car elle est révélatrice du nouveau climat politique américain.
Dans cette interview, Colin Powell, ancien chef d'état-major interarmées et ancien secrétaire d'Etat de George W. Bush, a répondu sans détour sur la question de la perte de leadership moral des Etats-Unis, conséquence de la politique étrangère menée après 2001 (souvent contre l'avis de Colin Powell lui-même).
Il a reconnu dans une interview très forte, et avec beaucoup de calme que nombre de décisions de l'administration Bush avaient miné la position des Etats-Unis et décrédibilisé leur parole et leur influence dans le monde : l'invasion de l'Irak, les entraves aux droits de l'Homme à Guantanamo ou Abou Ghraib, les enlèvements secrets de personnes suspectées de terrorisme, leur internement secret et leurs tortures dans des prisons hors du territoire américain.
Il a salué la phrase du nouveau président Barack Obama selon laquelle « la sécurité de la nation ne pouvait pas être assurée aux dépends des libertés. »
Il a beaucoup insisté sur l'influence positive du trajet personnel de Barack Obama sur la jeunesse noire en particulier.
Dans un troisième temps, il a salué l'invitation lancée à John McCain de dîner avec les Obama la veille de l'investiture. Il a salué l'élégance du geste et de la réponse du challenger battu.
Colin Powell y a vu le signe de ce bipartisme dont l'Amérique et son président auront tant besoin pour vaincre la crise, intérieure et extérieure. D'ailleurs, les décisions que Barack Obama a prises dès aujourd'hui en sont le signe. D'une part, l'arrêt immédiat des interrogatoires musclés à Guantanamo. D'autre part, il a réuni les chefs d'état-major pour parler de l'Irak et de l'Afghanistan. Enfin, il a réuni ses conseils économiques pour continuer la mise au point, par le dialogue avec le Congrès, du plan de lutte contre la crise économique et financière.
J'observe que la crise est venue des Etats-Unis et de leur système de surendettement des ménages destiné à compenser les bas salaires.
Espérons que ce changement de politique américaine permettra l'émergence d'une gouvernance mondiale avec des règles où la finance sera au service de l'économie et l'économie au service de l'humain.
Cordialement,
19:43 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : segolene royal
PHOTO SOUVENIR
Mon frère en permission, nous partions à la piscine, année 55
14:53 Publié dans Souvenirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photo souvenir
20/01/2009
L'ère Obama commence
Barack Obama à la Maison-Blanche
Barack Obama prononce son premier discours de président le 20 janvier 2009 à Washington
"En ce jour, nous sommes réunis car nous avons préféré l'espoir à la peur, la volonté d'agir en commun au conflit et à la discorde....
Nous savons que notre héritage multiple est une force, pas une faiblesse. Nous sommes un pays de chrétiens et de musulmans, de juifs et d'hindous, et d'athées. Nous avons été formés par chaque langue et civilisation, venues de tous les coins de la Terre. Et parce que nous avons goûté à l'amertume d'une guerre de Sécession et de la ségrégation (raciale), et émergé de ce chapitre plus forts et plus unis, nous ne pouvons pas nous empêcher de croire que les vieilles haines vont un jour disparaître, que les frontières tribales vont se dissoudre, que pendant que le monde devient plus petit, notre humanité commune doit se révéler, et que les Etats-Unis doivent jouer leur rôle en donnant l'élan d'une nouvelle ère de paix.
C'est la bonté d'accueillir un inconnu lorsque cèdent les digues, le désintéressement d'ouvriers qui préfèrent travailler moins que de voir un ami perdre son emploi, qui nous permet de traverser nos heures les plus sombres...."
Martin Luther King III, le fils du célèbre pasteur, confie sa "fierté" et son "bonheur" d'assister à l'investiture du premier président noir des Etats-Unis
Présent lors du concert géant de dimanche soir, sur les marches du Lincoln Memorial, là où son père avait clamé qu'il avait "fait un rêve", Martin Luther King III explique sur CNN combien l'investiture de Barack Obama, le premier président noir des Etats-Unis, est historique à ses yeux. "Fier et heureux" d'y assister, ce mardi, il compare ce moment à l'arrivée de Nelson Mandela à la présidence de l'Afrique du Sud.
Il explique cependant qu'il reste beaucoup à faire pour que "le rêve de mon père soit réalisé totalement". "Un pas monumental a été fait contre le racisme, mais il reste des enjeux à relever, comme la pauvreté". Ou la mixité raciale entre Blancs et Noirs dans les écoles publiques américaines, un des acquis de la lutte pour les droits civiques, qui est en régression, selon un rapport annuel intitulé "Faire revivre l'objectif d'une société intégrée".
23:11 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (30) | Tags : investiture de barack obama
19/01/2009
Jean-Paul Belmondo est de retour au cinéma avec le film "Un homme et son chien"
"Le Magnifique" -- titre d'une de ses comédies à succès, en 1973 -- interprète cette fois-ci un vieil homme blessé par la vie, livré à la rue du jour au lendemain, avec un chien pour seul compagnon. Dans les notes de production, Jean-Paul Belmondo dédie ce retour au cinéma aux jeunes handicapés qu'il a croisés pendant sa convalescence.
"Un Homme et son chien", signé Francis Huster.
Un homme et son chien est le remake d'Umberto D., de Vittorio De Sica (1952), l'histoire d'un vieil officier qui se retrouve à la rue, aidé par quelques-uns, délaissé par beaucoup
20:38 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : cinema jean-paul belmondo
SEUL DANS LE NOIR
Un court récit de 180 pages qui met en scène August Brill, journaliste-écrivain-narrateur (double de l'auteur...), qui fait retour sur sa vie et imagine une nouvelle fiction pour échapper aux cauchemars qui l'assaillent.
On retrouve les obsessions du maître américain, la solitude, la culpabilité, l'histoire américaine, de plus en plus guerrière, la façon d'entremêler plusieurs niveaux de fiction, qui donne à ce roman des allures de conte, d'allégorie. Reste, dans un océan de noirceur -"espoir ou pas d'espoir ?"- une seule croyance : celle des vertus thérapeutiques du récit qui circule, et guérit parfois. D'où des phrases qui reviennent comme des mantras. Ainsi de celle-ci, qui résume l'univers austerien : "Et ce monde étrange continue de tourner". "Seul dans le noir" est la dernière fable de l'auteur de la trilogie new-yorkaise sur un monde qui va mal, mais nous voit encore vivants, à défaut d'être debout. Le héros narrateur, qui ressemble si fort à son créateur, est désormais en chaise roulante.
A l'époque, les cauchemars de Brill étaient ceux d'Auster et vice versa. Aujourd'hui, à la veille de l'intronisation de Barack Obama, l'écrivain à l'impression de se réveiller
"Barack Obama ,c'est tout de même l'une des meilleurs choses que les Americains aient jamais faites."
"“Seul dans le noir, je tourne et retourne le monde dans ma tête tout en m'efforçant de venir à bout d'une insomnie, une de plus, une nuit blanche de plus dans le grand désert américain...Ainsi commence le roman
08:26 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : paul auster