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28/01/2011

La place de l"église

A Cogolin

vilage,cogolin,balade

Avec la question d'Alsa

"Petite anecdote voir devinette :
Depuis près de 40 ans, tous les jours nous (mon épouse et moi) prenons dans nos mains un produit ramené de Cogolin. C'est quoi ?"

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Une balade

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09:08 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : vilage, cogolin, balade

26/01/2011

Le village

Le café des Arts

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Balade printemps 2009....

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Des photos

Un vieux port,  un village aux petites ruelles... il y a aussi un clocher jaune et ocre....un village devenu un mythe...

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25/01/2011

Martine orpheline

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Martine , notre petite héroïne des années 50 est en deuil.

Mort de Marcel Marlier.

On a presque toutes au fond d'un carton, "des Martines" première aventure, Martine à la ferme, puis à la mer, à la montagne....histoires toutes simples et pleines de tendresse.image 6.jpgimages3.jpg

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Marcel Marlier a dessiné et illustré Martine jusqu'en 2010

Fin d'une époque

Au fond du carton, il y a aussi

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Et ce " le roman de renart" une date, "Noël 51 " offert par ma grande soeur ( hier, 80 ans) et un petit mot

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En lisant cette drôle d'histoire, je devais apprendre, mentir, c'est pas beau....

24/01/2011

Un village

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Sare , pour Françoise qui ne connaît pas ce petit coin du Pays Basque ....

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Des balades, un printemps...

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Un automne ,  Granadako-Zubia dit " pont romain " 

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14:28 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : un village, sare, balades

23/01/2011

2 . l'homme qui plantait des arbres

Second volet de "L"Homme qui plantait des arbres" de Jean Giono narré par Philippe Noiret .


2 L'Homme plantait des arbres -Giono

22/01/2011

l'homme qui plantait des arbres

Louis- paul nous a parlé de ce très beau texte, un hymne à la nature  ! Giono dira, "pour faire aimer à planter des arbres ..."

giono.jpgGiono a écrit cette histoire - traduite dans toutes les langues, depuis - à la demande d'une revue qui lui proposa ce thème : « Quel est le personnage le plus extraordinaire que vous ayez rencontré?

Au cours de ses promenades en haute Provence , J.Giono a rencontré un personnage, un berger solitaire qui plantait des milliers d'arbres....

 


   "  C'était un beau jour de juin avec grand soleil, mais sur ces terres sans abri et hautes dans le ciel, le vent soufflait avec une brutalité insupportable. Ses grondements dans les carcasses des maisons étaient ceux d'un fauve dérangé dans son repas."

Arrivé à l'endroit où il désirait aller, il se mit à planter sa tringle de fer dans la terre. Il faisait ainsi un trou dans lequel il mettait un gland, puis il rebouchait le trou. Il plantait des chênes. Je lui demandai si la terre lui appartenait. Il me répondit que non. Savait-il à qui elle était ? Il ne savait pas. Il supposait que c'était une terre communale, ou peut-être, était-elle propriété de gens qui ne s'en souciaient pas ? Lui ne se souciait pas de connaître les propriétaires. Il planta ainsi cent glands avec un soin extrême."

 


1 L'Homme plantait des arbres -Giono

" Si l'homme qui plantait des chênes est le produit de l'imagination de l'auteur, il y a eu effectivement dans cette région un énorme effort de reboisement surtout depuis 1880. Cent mille hectares ont été reboisés avant la première guerre mondiale, surtout en pin noir d'Autriche et en mélèze d'Europe, ce sont aujourd'hui de belles forêts qui ont effectivement transformé le paysage et le régime des eaux.

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"Semeur dans le désert"

Un témoignage inédit de Moncef Marzouki : «Même dans le désert, il faut semer»

image 7.jpgComme beaucoup de celles et ceux qui suivent de longue date l'actualité tunisienne, j'avoue que j'ai été surpris par la puissance de la révolte populaire qui a conduit à la fuite sans gloire de Ben Ali. Échangeant à ce sujet avec une amie journaliste qui vit à Londres, Naima Bouteldja, celle-ci m'a signalé ses superbes photos de la manifestation du 15 janvier dernier à Paris, accompagnées des propos du docteur Moncef Marzouki, l'une des grandes figures de l'opposition en exil, qu'elle avait recueillis en mai 2010 à Paris, dans le cadre d'une recherche pour l'université d'Exeter sur les mouvements islamistes en Afrique du Nord.

Interloquée par son énergie, elle lui avait demandé ce qui lui permettait de rester si positif alors que le tableau de la situation politique en Tunisie qu'il dressait apparaissait si sombre...

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La réponse de Moncef Marzouki, que je reproduis ci-après, est à mes yeux admirable. Elle est une clé qui permet de comprendre comment l'obstination et le courage des amis tunisiens engagés de si longue date dans la lutte pour les droits de l'homme, totalement minoritaires, ont joué un rôle décisif dans l'embrasement de décembre en Tunisie : ce sont leurs « graines semées dans le désert » qui ont soudain germé lors d'une « pluie » inattendue, celle de l'implosion des contradictions internes d'une dictature pourrie de l'intérieur par la corruption et le mépris du peuple.

Ce témoignage inédit de l'opposant Moncef Marzouki a une portée universelle. Il est un formidable encouragement à toutes celles et tous ceux qui, partout dans le monde, se battent depuis des années contre l'oppression. Et dans l'indifférence générale des médias dominants, si spontanément accommodants avec tous les « garants de l'ordre ». Des militants comme lui, ils sont beaucoup plus nombreux que l'on croit. Et leur combat n'est pas vain, contrairement au sentiment de découragement que peut trop souvent induire l'échec apparent de ceux qui luttent contre les dictatures apparemment inamovibles, car soutenues par les « puissants du monde ».

Je pense bien sûr d'abord à celles qui ont vérifié avant l'heure l'« axiome de Marzouki » : les mères, puis les grands-mères, de la place de Mai en Argentine, qui se sont mobilisées dans l'indifférence générale pendant près de trois décennies avant de voir fleurir les graines qu'elles avaient semées dans le désert - ce n'est qu'à partir des années 2000 qu'elles ont pu obtenir enfin le jugement des généraux criminels qui avaient enlevé et assassiné leurs enfants et petits-enfants.

Je pense aussi aux mères de « disparus » algériens, victimes dans les années 1990 de la terrible « machine de mort » déchaînée contre leur peuple par les généraux d'Alger, et qui continuent aujourd'hui à se battre pour la vérité et la justice.

C'est pourquoi, au-delà de l'émotion que nous avons été nombreux à éprouver le 15 janvier à l'annonce de la fuite de Ben Ali, au-delà de l'énervement amusé qu'a suscité chez moi le soudain enthousiasme démocratique de médias qui avaient soigneusement boycotté les divers livres dénonçant le régime tunisien publiés à La Découverte depuis une quinzaine d'années, il m'a paru essentiel de restituer ici les paroles de Marzouki (fruit d'une « rétrotraduction » de Naima, qui avait immédiatement traduit en anglais, sa langue de travail, son interview - qu'il nous excuse par avance des approximations qui peuvent en résulter).

Moncef Marzouki, mai 2010.-

« J'ai deux techniques pour rester positif psychologiquement. La première, c'est que je me dis que le temps géologique n'est pas le temps des civilisations, que le temps des civilisations n'est pas celui des régimes politiques et que le temps des régimes n'est pas celui des hommes. Il faut l'accepter. Si je m'engage dans le projet de transformer la Tunisie, vieille de quinze siècles, je ne vais pas la transformer en vingt ans. Je dois donc accepter les échéances de long terme. Et à partir de là, je ne me décourage pas, parce que mon horizon, ce n'est pas les six prochains mois ou la prochaine élection présidentielle : c'est celui des cent prochaines années - que je ne verrai pas, c'est évident.

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« Et l'autre technique vient du fait que je suis un homme du Sud. Je viens du désert et j'ai vu mon grand-père semer dans le désert. Je ne sais pas si vous savez ce que c'est que de semer dans le désert. C'est semer sur une terre aride et ensuite vous attendez. Et si la pluie tombe, vous faites la récolte. Je ne sais pas si vous avez déjà vu le désert après la pluie, c'est comme la Bretagne ! Un jour, vous marchez sur une terre complètement brûlée, ensuite il pleut à peine et ce qui s'en suit, vous vous demandez comment cela a pu se produire : vous avez des fleurs, de la verdure... Tout simplement parce que les graines étaient déjà là... Cette image m'a vraiment marqué quand j'étais enfant. Et, par conséquent, il faut semer ! Même dans le désert, il faut semer !

« Et c'est de cette façon que je vois mon travail. Je sème et s'il pleut demain, c'est bien, sinon au moins les graines sont là, car que va-t-il se passer si je ne sème pas ? Sur quoi la pluie va-t-elle tomber ? Qu'est-ce qui va pousser : des pierres ? C'est l'attitude que j'adopte : semeur dans le désert... »

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21/01/2011

Des photos

 

Un printemps à Sare

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10:45 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : randos, balades, sare

19/01/2011

ayo

13:45 Publié dans chansons | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : ayo, i'mgonna dance, clip