06/08/2013
J'ai vu et aimé
De Diane Kuris
avec Mélanie Thierry, Sylvie Testud, Denis Podalydès, Benoît Magimel, Nicolas Duvauchelle ,Clotilde Hesme.
Une photo jaunie , et de vieux souvenirs enfouis....
Fin des années 40 à Lyon
"C'est la vie de mes parents réinventée. Un jour, une photo m'a sauté aux yeux avec mon oncle, Jean. La date 1947 était inscrite derrière la photo. Là j'ai commencé à avoir de sérieux doutes sur l'identité de mon père", décrit Diane Kurys qui s'est inspirée de cette histoire dans le film Pour une femme."
"En partant de photographies personnelles, Diane Kurys ressuscite la France d'après-guerre et recrée l'appartement familial ainsi que l'ancien magasin de son père. Et malgré les atrocités qu'a connues la France durant la Seconde Guerre mondiale, le film respire la joie et la bonne humeur.
"Avec tout ce qu'ils ont pu voir ou vivre on pourrait y mettre une mélancolie, mais Diane voulait un film lumineux car les personnages ont soif de vivre", justifie Mélanie Thierry." (extraits BFMTV)
Benoît Magimel , Mélanie Thierry, Nicolas Duvauchelle, un beau trio amoureux
Un joli film
16:11 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : cinéma, " pour une femme"
15/05/2013
Palme d'or 1960
film d'Henri Colpi, palme d'or à Cannes en 1960 "Une aussi longue absence" scénario de Marguerite Duras, chanson "Trois petites notes de musique" paroles de Henri Colpi, musique de Georges Delerue avec Alida Valli et Georges Wilson.
Très belle histoire , un immense chef d'oeuvre
Portrait d'une femme seule (Alida Valli) qui croit reconnaître dans un clochard amnésique (Georges Wilson) son mari porté disparu en Allemagne, ce drame décroche le Prix Louis-Delluc en 1960, et la Palme d'Or au Festival de Cannes l'année suivante (ex aequo avec Viridiana de Buñuel) ( source ALLOCINE)
10:31 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : cinéma, palme d'or, 1960
08/11/2012
Costa Gavras présente "Le capital"
SALONIQUE (Grèce) (AFP) - En présentant au 53e festival de Salonique (Grèce) son dernier film "Le capital", une charge contre la folie financière, le cinéaste engagé Costa Gavras déplore "l'appauvrissement" subi par la Grèce, son pays natal.
- Réalisé par :
Costa-Gavras
- Avec :
Gad Elmaleh,Natacha Régnier,Hippolyte Girardot
Date de sortie :
La résistible ascension d'un valet de banque dans le monde féroce du Capital.
16:39 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : cinéma, costa gavras, le capital
06/06/2011
Une balade , un film...
Un film , à voir avant 2012 !
Réalisé par Xavier Durringer
Avec Denis Podalydès, Florence Pernel, Bernard Le Coq...
6 mai 2007, second tour de l'élection présidentielle...
5 années qui défilent , ce n'est pas un film politique , juste une folle course à l'Elysée, l'histoire d'un homme qui veut gagner le pouvoir...
Et maintenant , la balade des "boites aux lettres"....
mercredi , François Hollande à Bordeaux et le soir, à Canejan
13:03 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : balade, cinema
24/02/2011
La Rumeur
Réalisé par : | William Wyler
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Avec : |
Audrey Hepburn, Shirley MacLaine, James Garner, Miriam Hopkins, Fay Bainter, Karen Balkin, Veronica Cartwright, Mimi Gibson, Debbie Moldow, Diane Mountford...
Date de sortie 1962
" La rumeur se souffle à l'oreille, s'avoue le regard ailleurs, mais on aura bien du mal à contempler son reflet, droit dans les yeux. Le désir, sali par la médisance et le tapage, est d'autant plus incommunicable. Une vilaine rumeur peut-elle détruire ce qui est beau ?, demande alors la bande annonce. La destruction est pourtant déjà là, avec cette histoire d'amour tue et enfermée dans son placard, étouffée par les bonnes moeurs. L'issue ici, vu le thème et l'époque, paraît alors presque téléphonée, silence enfin fait après le bruissement incessant, colporté par une gamine jouant comme une possédée et apportant au film, aussi poignant qu'angoissant, une lumière quasi-gothique. "
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00:01 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : cinema, la rumeur, 1962, de william wyler
13/12/2010
Jean Rochefort gardera sa moustache ....
L’acteur fantasque campera le personnage, héros de l’actualité, de Liliane Bettencourt. Sans se raser la moustache.
Selon une information du Parisien, le comédien et réalisateur Edouard Baer a annoncé, vendredi 12 novembre, qu'il allait bien réaliser un long-métrage autour de l'affaire Bettencourt et que Jean Rochefort y incarnerait le rôle de la milliardaire. Lui-même endossera le rôle du photographe François-Marie Banier. Edouard Baer a confirmé ce qui n'était à présent qu'une rumeur, lors de son passage au festival du film de Sarlat. Cette comédie décalée s'intitulerait pour le moment Frais des riches et son tournage débuterait en mars 2011.( Le monde cinema)
06:00 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : cinema
30/11/2010
Mario Monicelli
Le cinéaste Mario Monicelli est mort hier. Maître de la comédie italienne, Monicelli s'est distingué avec des films comme Le Pigeon, qui fut nommé à l'Oscar du meilleur film étranger, La Grande guerre, qui lui valut un Lion d'or à Venise, ou encore Mes Chers amis, avec Philippe Noiret. Il avait 95 ans.
Mario Monicelli est l'auteur d'une œuvre inclassable, ne se limitant jamais à un genre précis. Entre sujets originaux et adaptations littéraires, il collabore avec les plus grandes plumes, du duo Age et Scarpelli ( Pères et fils) ou encore Benvenuti et De Bernardi ( Mes Chers Amis), pour créer un style capable de faire le grand écart entre profondeur et éclats de rire.
Cinéaste iconoclaste à la filmographie riche, Mario Monicelli reste l'un des créateurs les plus essentiels du cinéma populaire italien.
Une série d'acteurs formaidables dans "Le Pigeon"
Le triomphe du Pigeon (1958) apporte la célébrité internationale à Monicelli. Ce titre séminal de la comédie à l’italienne, héritière du néo-réalisme dans son souci de filmer la réalité d’un pays, mais avec un cynisme et une férocité propres à la culture populaire de l’Italie, est un pastiche du Rififi pour les hommes de Jules Dassin, transposé dans le sous-prolétariat de Rome
Le film a la particularité de réunir plusieurs générations d’acteurs formidables. Le vétéran Totò, prince de la comédie napolitaine, y donne la réplique aux jeunes Mastroianni et Gassman qui ne sont pas encore des stars mais qui vont le devenir bientôt, et réapparaîtront régulièrement dans des comédies. La belle Claudia Cardinale y fait une de ses premières apparitions à l’écran.
Ce classique sera suivi un an plus tard par un des chefs-d’œuvre de Monicelli (et du cinéma italien), La Grande Guerre, écrit par le célèbre tandem Age-Scarpelli, produit par Dino De Laurentiis et interprété par Gassman et Tognazzi. Cette histoire de deux soldats sans qualités, embarqués sur le front italo-autrichien, mêle épisodes comiques et tragiques, et servira d’inspiration à Sergio Leone pour Le Bon, la brute, le truand.
Quelques lignes de
Toutlecine.com
et Mario Monicelli, monstre sacré de la comédie italienne - Les Inrocks
14:59 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : le cinéaste mario monicelli est mort hier, cinema
28/11/2010
Brel , un bel acteur
Quelques images....
Ses premiers pas au cinéma, 1968 , avec" les risques du métier", d'andré Cayate, premier rôle difficile.
Idéaliste, au côté de Lina Ventura , dans "l'Aventure c'est l'Aventure" 1971, comédie de Claude Lelouch
L'emmerdeur de Molinaro, mon oncle Benjamin (1969....
Il y a eu aussi son premier long métrage, "Franz," qu'il interprète avec Barbara
Interview de Georges Brassens, Jacques brel, Léo Férré
1978, Jacques Brel nous quittait
19:53 Publié dans Nostalgie | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : brel, cinéma
14/09/2010
Claude Chabrol
La nouvelle Vague Française 1960
Les nouveaux réalisateurs, Vadim, Chabrol, Godard
"La Nouvelle Vague du cinéma français demeure encore aujourd'hui un mythe. Sa force est d'avoir imposé un imaginaire, un univers de gestes, d'apparences, de corps, d'objets, de sujets à la liberté de ton exceptionnelle. Elle a largement contribué à bouleverser le paysage cinématographique français.
Mais la plus grande réussite des jeunes cinéastes de cette époque est d'avoir su s'exporter au-delà des frontières de l'hexagone et même au-delà de l'Atlantique.
Pour beaucoup de jeunes cinéastes à travers le monde, la Nouvelle Vague symbolise une liberté nouvelle de tourner des sujets personnels et de les produire avec des coûts dérisoires. Ce mouvement spontané exerce encore aujourd'hui une influence sur le cinéma italien, polonais, hongrois, anglais, mais aussi japonais ou le cinéma indépendant américain. Des réalisateurs comme Bernardo Bertolucci, Alain Tanner ou Martin Scorsese, sont les fils légitimes de la Nouvelle Vague française." ( mémoire Rock 60 /70)
Le tout premier film de Claude Chabrol, le Beau Serge, 1959
Stéphane Audran sera l'une de ses interprètes fétiches (La Femme infidèle, Le Boucher, Juste avant la nuit). Stéphane Audran, qu'il épousa.
C'est aussi le réalisateur de Violette Nozière, de La Cérémonie ou encore de Merci pour le chocolat, avec Isabelle Huppert
Que la bête meure
Il y a aussi des polars avec Jean Poiret
L'ensemble de sa carrière (plus de 80 films pour le cinéma et la télévision) a été couronnée par le Prix René Clair de l'Académie française (2005) et le Grand prix 2010 des auteurs et compositeurs dramatiques.
Claude Chabrol est mort, dimanche matin 12 septembre, à l'âge de 80 ans
Nombreux sont les hommages et les témoignages
"Le cinéma Français pleure Claude Chabrol"
"L'élégance froide et impitoyable" (Le monde)...
Citations
quand Claude Chabrol parle de la Bourgeoisie ( Le Point)
"J'adore les bourgeois. De toutes les ethnies, la bourgeoisie est la plus marrante [...]. Ce qui me ravit, c'est qu'ils ont fait la révolution pour rien [...]. Je trouve cela très amusant. En plus, ils peuvent être très méchants. C'est épatant. Et ils sont encore plus drôles quand ils sont malades." (Mardi Cinéma, 1987)
"J'ai cherché à ce que la famille bourgeoise soit extrêmement sympathique, car plus elle est telle, plus l'inéluctable de la lutte est rendue atroce." (L'Humanité, 1995, à propos de son film La Cérémonie)
La bourgeoisie "n'est pas une obsession. Mais c'est la seule classe qui nous reste, qui nous dirige, la plus ridicule, la plus intéressante. On peut taper dessus... On a l'impression de taper dans le vide, mais pas complètement." (La Dépêche, 2003)
j'aimais l'homme
Merci monsieur Chabrol
23:32 Publié dans TRISTESSE | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : cinema, claude chabrol
31/08/2010
"L'Adieu aux larmes"
Joli titre ce matin, pour dire au revoir à Alain Corneau
On le disait " gai et enthousiaste" à l'opposé de ses héros solitaires de ses polars.
Il commence comme assistant de Costa Gavras, dans l'Aveu, après, on connait son univers noir, "Série noire", avec Patrick Dewaere et Marie Trintignant.
Ses premiers films, " Police Python 357, "la Menace" 1975 et en 1981, "Le Choix des Armes" avec Yves Montand
Du film noir, au roman historique, à la misique ancienne "tous les matins du monde" avec Guillaume Depardieu
"Tous les matins du monde" César du Meilleur film et du meilleur réalisateur, 1991
Il y a eu "Fort Saganne"1981
J'avais adoré "Nocturne Indien" 1989, avec Jean Hugues Anglade
Et," Stupeur et Tremblement"
, "les Mots bleus" superbe film, magnifique chanson et merveilleuse petite fille..adoré aussi
Son dernier film, "Crime d'Amour" est actuellement à l'affiche.
14:15 Publié dans Disparition | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : tristesse alain corneau, cinema