01/12/2008
SOL EN SI
Dans le cadre de cette journée, l'association SolEnSi et les laboratoires
Merck Sharp & Dohme-Chibret se sont associé pour mettre en place un site
de sensibilisation au SIDA : SOL EN SI (cliquez ici )
Le site a non seulement pour but de faire de la sensibilisation, grâce à
la vidéo présente sur le site, mais aussi de soutenir l'action de
SolEnSi. Pour ça, MSD donne 5euros à SolEnSi à chaque fois que quelqu'un
visionne la vidéo.
Le but de ce site est double, et pour que le don soit le plus élevé il
faut que le plus de personnes possible regardent la vidéo.
en espérant que toi aussi tu participeras à l'opération et
relaieras cette initiative autour de toi.
13:14 Publié dans SOLIDARITE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : solidarite sida
BOHEMIAN RHAPSODY
Fredie Mercury
Depuis l'époque de la sortie de Bohemian Rhapsody, nombreux sont ceux qui se perdent en conjectures quant à la signification réelle des paroles. Certains pensent qu'elles décrivent les moments précédant une exécution, citant L'Étranger d'Albert Camus comme une possible source d'inspiration. On évoque également le mythe de Faust et son célèbre pacte avec le diable Enfin, il en est pour dire que les paroles ont simplement été écrites pour coller au mieux avec la musique. C'est cette dernière théorie qu'Everett soutient, car Mercury lui aurait dit des paroles de sa Rhapsody qu'elles ne sont que « du pur non-sens qui rime».
09:31 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : musique nostalgie fredie mercury
30/11/2008
Journée mondiale de lutte contre le Sida le 1er décembre 2008.
Depuis l'identification du VIH, le SIDA a fait plus de 20 millions de victimes et continue ses ravages au rythme de 3 millions de nouvelles contaminations par an.
69 % des personnes vivant avec le VIH/SIDA dans les pays en développement qui ont besoin d’un traitement anti-rétroviral ne peuvent toujours pas en bénéficier.
- La recherche n'a jamais été aussi pauvre... Sidaction étant la seule association de lutte contre le sida à financer la recherche.
- 10% des nouvelles découvertes de séropositivité en France concernent les 15-24 ans.
dans le cadre de cette journée, les objectifs principaux étant, selon l'association Sidaction, "de mobiliser, sensibiliser, informer sur le VIH et de susciter un moment de solidarité envers tous les malades du Sida".
50 % des personnes vivant avec le VIH/sida perdent leur emploi dans les six mois suivants l’annonce de leur séropositivité sur le lieu de travail en France
" Plus que jamais, la lutte contre le sida est un combat politique. Car seule une réelle volonté politique permettra de relancer la prévention en France, de soutenir la recherche qui manque cruellement de moyens, de venir en aide aux malades qui demeurent exclus et vivent dans des situations de grande précarité, de maintenir, voire d’augmenter la participation des pays occidentaux au Fonds mondial pour ne pas laisser mourir des millions d’enfants, de parents du sida dans les pays en développement. »
15:02 Publié dans SOLIDARITE | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : solidarite politique
27/11/2008
CHRISTIAN FECHNER
Nombre de ses productions ont été de grands succès populaires : "Papy fait de la résistance" (1983) de Jean-Marie Poiré, "Marche à l'ombre" (1984) de Michel Blanc, "Chouchou" de Merzak Allouache (2003) et surtout "Les Bronzés 3" (2006) de Patrice Leconte et ses 10,3 millions de spectateurs.
Christian Fechner avait lancé ou conforté de nombreuses carrières, celle de Claude Zidi, de Patrice Leconte ("La fille sur le pont") Pierre Richard ("La moutarde me monte au nez"), Louis de Funès ("L'aile ou la cuisse") et Jean-Paul Belmondo ("L'animal).
Il a aussi produit "Camille Claudel" de Bruno Nuytten (1988) ou "Les Amants du Pont-Neuf" de Leos Carax (1991), qui fut un retentissant échec commercial, prenant à défaut son flair légendaire.
Le président du Festival de Cannes, Gilles Jacob, a salué "l'un des grands producteurs de l'après-guerre, un prestidigitateur de grand talent, qui avait constitué l'une des plus belles collections d'affiches du cinéma français".
"C'était un homme pudique, très discret et bienveillant".
"Il a fait tourner les plus grands du rire", a dit le réalisateur Jean-Pierre Mocky.
L'important, c'est de fabriquer des films avec le maximum de sincérité, disait le producteur, mort dans la nuit de mardi à mercredi.
17:39 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mort de christian fechner
24/11/2008
le Bois de Vincennes
Un sans-abri retrouvé mort dans le bois de Vincennes
Agé de cinquante ans, cet homme vivait depuis plusieurs mois sous un abri qu’il s’était confectionné dans le bois. Il était suivi par les services sociaux. Il était mort depuis plusieurs jours quand son corps a été découvert selon la préfecture de police. Ce décès ne serait donc pas lié à la brusque chute des températures. L’enquête a été confiée au commissariat du XIIe.
Selon le collectif "Les morts de la rue", "plus de 200 personnes" vivent actuellement dans le Bois de Vincennes. Et c’est le deuxième mort en quelques semaines. Le Collectif craint que le bois ne devienne un mouroir pour SDF et demande que des mesures soient prises
Le collectif "Les morts de la rue", déplore chaque année environ 250 décès dans la rue ou faisant suite à un passage dans la rue, avec une moyenne d'âge de 46 ans, selon son Président Christophe Louis
Depuis 2002, le collectif les Morts de la rue tient une morbide comptabilité, celle des sdf qui décèdent dehors ou aux urgences, voire dans un centre d’hébergement, finalement victimes des maladies et du manque de soins au long cours. L’association fédère une myriade d’adhérents, du Secours catholique à Emmaüs, de l’Armée du Salut au Recueil social de la RATP. Ces structures font un constat unanime : trop souvent, on meurt « dans » la rue ou l’on meurt « de » la rue. Bilan invisible, environ 300 décès annuels. L’âge moyen des victimes est de 48 ans. Celui de l’espérance de vie en France s’élève à 80 ans.
08:00 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : le collectif ""les morts de la rue"
23/11/2008
JOHNNY MAD DOG les enfants de la guerre
Film sur les enfants soldats, Johnny Mad Dog a été tourné au Liberia avec d'authentiques ex-combattants en culottes courtes. Un choc.
Ces anciens combattants ont aujourd'hui entre 15 et 18 ans. Comédiens dans Johnny Mad Dog, de Jean-Stéphane Sauvaire, ils jouent ce qu'ils ont fait en vrai au début des années 2000, quand ils se battaient pour le président du Liberia Charles Taylor ou pour le groupe Liberians United for Reconciliation and Democracy (LURD). Armés jusqu'aux dents, ils pillaient et massacraient comme d'autres enfants de leur âge s'amusent devant un jeu vidéo. On en conclut que leur naturel confondant à l'écran provient de cet inadmissible passif. Ce n'est pas tout à fait vrai. « Ils ont répété leur rôle quatre heures par jour pendant un an », explique Jean-Stéphane Sauvaire. Un travail de longue haleine, donc. Comme le dit Mathieu Kassovitz, coproducteur du film avec Benoît Jaubert, « il est plus facile de produire une comédie à 18 millions d'euros que Johnny Mad Dog, qui en coûte neuf fois moins [2,28 millions d'euros] mais demande beaucoup plus de temps et présente énormément de risques. »
Le livre éponyme d'Emmanuel Dongala (Johnny chien méchant, Le Serpent à plumes), dont est tiré le scénario, se déroule au Congo. Pour des raisons de sécurité, hélas confirmées par la situation actuelle de la région, Kassovitz, Jaubert et Sauvaire veulent tourner dans un autre Etat africain. En l'occurrence, le Liberia, où, durant les quatorze années de guerre civile, « on obligeait les gamins à prendre les armes, contrairement au Congo, où ils s'engageaient spontanément », précise Emmanuel Dongala. Un sujet aux airs connus pour Sauvaire, réalisateur de Carlitos Medellin, documentaire sur les enfants en lutte contre les Farc. « L'idée qu'on puisse enrôler des enfants pour faire la guerre est intolérable », lance cet ex-assistant de Cyril Collard et de Gaspar Noé.
La Fondation Johnny Mad Dog
http://www.tfmdistribution.com/johnnymaddog/
Sortie le 26 novembre.
22:46 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : les enfants soldats film
LA PHOTO DU JOUR
15:24 Publié dans Ballade | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : perigord noir ballade
22/11/2008
INACCEPTABLE
Inacceptable». C’est l’adjectif employé par le commissaire aux Droits de l’homme du Conseil de l’Europe pour décrire les conditions de vie dans les prisons françaises. Dans son rapport rendu public hier, Thomas Hammarberg dénonce la «surpopulation», la «promiscuité», la «vétusté des installations» et les mauvaises conditions d’hygiène. Pour lui, «le nombre élevé de suicides dans les prisons françaises est un symptôme» de ces «déficiences».
Sévérité. Le commissaire s’est rendu en France en mai 2008. Soit deux ans et demi après la visite de son prédécesseur Alvaro Gil Roblès, qui avait déclaré n’avoir jamais vu «pire» que les prisons françaises, «sauf en Moldavie». Les choses ne semblent pas s’être améliorées depuis. La politique sécuritaire menée par Nicolas Sarkozy et la série de lois répressives adoptées inquiètent le commissaire. Il regrette que ce «durcissement des peines» aggrave la surpopulation carcérale. Il s’alarme du «traitement des personnes souffrant de troubles mentaux», de plus en plus nombreuses en prison. La sévérité actuelle lui paraît d’autant plus inappropriée pour les mineurs. Cela ne résoudra pas le problème de la délinquance juvénile, insiste-t-il.
Il se montre également très critique envers la loi sur la rétention de sûreté, qui permet de maintenir enfermés des détenus après la fin de leur peine.
Le Commissaire dénonce aussi la politique d’immigration, et notamment le sort réservé aux enfants d’étrangers en situation irrégulière. Relevant qu’au centre de rétention administrative de Mayotte - antichambre avant l’expulsion -, ils sont mélangés aux adultes ou, au contraire, raccompagnés à la frontière sans leurs parents. Et qu’en métropole, «la présence d’enfants accompagnant leurs parents dans les centres de rétention s’est accrue». D’où un risque de «traumatisme irrémédiable». Hammarberg qualifie par ailleurs d’«intolérable» les interpellations d’enfants étrangers dans l’enceinte d’établissements scolaires. Et juge que la politique des «quotas de migrants irréguliers à éloigner soulève de sérieuses questions en matière de droits de l’homme». Il craint que cela ne «pousse les forces de l’ordre à procéder à de plus en plus d’interpellations avec des méthodes parfois contestables».
Précarité. Concernant les gens du voyage et les Roms, le commissaire s’inquiète des difficultés de scolarisation des enfants. Les premiers à cause des problèmes de stationnement des caravanes. Les seconds parce que leurs parents vivent dans une grande précarité et risquent à tout moment d’être expulsés sous couvert de pseudo-retours humanitaires
CATHERINE COROLLER et ONDINE MILLOT
19:34 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : droits de l’homme . l’ue juge sans concession l’univers carcéral
21/11/2008
Trop d'enfants pauvres en France
Jeudi est célébrée la Journée mondiale des droits de l'enfant. L'occasion de rappeler qu'en France, 2 millions de mineurs ont un niveau de vie insuffisant. Et 16 000 sont à la rue!
Les chiffres font froid dans le dos. Alors qu'est célébrée, le 20 novembre, la Journée mondiale des droits de l'enfant, près de 2 millions de garçons et de filles vivent dans la pauvreté en France. Elle touche même le quart de ceux dont les familles sont originaires de pays extérieurs à l'Union européenne.
Pis: selon les dernières estimations, 16 000 mineurs sont à la rue, où ils côtoient 70 000 adultes, SDF comme eux. Une violation flagrante de la Convention internationale des droits de l'enfant, adoptée le 20 novembre 1989 et ratifiée dix mois plus tard par la France, qui garantit aux plus jeunes un "niveau de vie suffisant".
Pourtant, la France fait (presque) figure de modèle, avec ses allocations familiales et sa prestation parent isolé (bientôt fondue dans le revenu social d'activité). "Globalement, la pauvreté recule dans notre pays depuis trois décennies, souligne le sociologue Serge Paugam, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de la précarité. Mais aujourd'hui, si elle frappe moins les personnes âgées, elle touche davantage les actifs valides, donc les enfants qui vivent dans ces foyers. Les prestations sociales ne suffisent plus à protéger les petits Français de la précarité." Surtout ceux des familles monoparentales dont les mères conjuguent souvent emploi à temps partiel et maigre salaire Par Anne Vidalie
09:26 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : politique journée mondiale des droits de l'enfant
La photo du jour
" Is ne rapportent rien et ne sont pas utiles
Ils n'ont que leur beauté...."
(j'aime d'un fol Amour) ( Theophile Gautier 1811-1872)
01:06 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : randos isere col de la bailleta