17/09/2014
Un soir....
Une bonne table et balade...
balade dans les dunes....
petit tour jusqu'au Moulleau ....Notre Dame des passes
Et, depuis toujours...sur le chemin du retour.....arrêt aux cornet d'amour....( devenu Sorbet d'Amour )
Glaces , crêpes, gaufres....
16:26 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : balade, le pyla
15/09/2014
Du bleu
Et le bruit de l'eau....
8 Jours.....du soleil , la forêt , la dune ,la plage.....
Ce n'est pas moi !
Balade du soir....
09:02 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : quelques jours au pyla
04/09/2014
Samedi
Et pour quelques jours....
Nous serons là , au pied de la dune...
Des bisous , à bientôt
08:52 Publié dans Ballade | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : le pyla
31/08/2014
Dans les ruelles de Saint - Emilion
En plein coeur du pays Libournais, Saint -Emilion, petite cité médièvale, entre la Dordogne et l'Isle
Des ruelles, des collines , des petites places , des remparts, des églises....
De la vigne...
Et
le merlot , le cabernet franc, le cabernet sauvignon, 3 cépages bien connus pour le "précieux nectar"
" Un soir , l'âme du vin chantait dans les bouteilles " ( Charles Baudelaire)
21:44 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : un après midi, st emilion
29/08/2014
La vie n'a pas d'âge...
La vie n’a pas d’âge
La vraie jeunesse ne s’use pas.
On a beau l’appeler souvenir,
On a beau dire qu’elle disparaît,
On a beau dire et vouloir dire que tout s’en va,
Tout ce qui est vrai reste là.
Quand la vérité est laide,
C’est une bien fâcheuse histoire.
Quand la vérité est belle, rien ne ternit son miroir.
Les gens très âgés remontent en enfance
Et leur cœur bat là où il n’y a pas d’autrefois.
Un poème de Jacques Prévert
La photo , un soir ,sur le bassin d'Arcachon....
23:59 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : la vie n'a pas d'âge...
12/08/2014
ô capitaine ! mon capitaine !
Scène tirer du film "le cercle des poètes disparus"
"C'est sa performance dans le «Good Morning, Vietnam», de Barry Levinson, avec Forest Whitaker, où il campait un animateur de radio totalement atypique, qui lui valut sa première nomination à l'Oscar du meilleur acteur en 1988. Il récidivera à deux reprises. Avec « Le Cercle des poètes disparus» de Peter Weir (1990), un gros succès critique et commercial, puis «Fisher King» de Terry Gilliam ( 1992).
Pourtant, il lui faudra attendre « Will Hunting» de Gus Van Sant (1997), avec Matt Damon et Ben Affleck, pour décrocher la fameuse statuette en or du meilleur acteur dans un second rôle. Robin Williams acquiert alors le statut de star." ( source Le Parisien)
Merci monsieur Keating, au revoir Monsieur
là , l’animateur radio déjanté dans Good Morning Vietnam qui lui a valu un Oscar du meilleur acteur en 1988.
Adoré aussi !
11:43 Publié dans TRISTESSE | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : merci monsieur keating, au revoir monsieur
11/08/2014
Le four à pain
De hautes herbes pour arriver jusqu'à lui
Montée jusqu'au hameau de Pra roubaud
sentier fleuri....
Et pluie et orage, abri à l'oratoire.....
"Le 3 août 2012, le hameau de Pra Roubaud a connu un grand rassemblement (près de 150 personnes) pour l’inauguration des travaux de rénovation du four à pain sauvé de la ruine, et la fête du pain avec la remise en service du four. "
Retour avec un beau soleil , un sentier dans une forêt de pins et de mélèzes......
12:03 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : le four à pain, abries
05/08/2014
J'ai aimé
"Une double histoire d'amour et de trahison, dans l'Italie de l'après-guerre, entre Américains et Italiens, incarnant respectivement le puritanisme et la passion. Tout commence un jour de printemps, à Rome quand Mario, scénariste, rencontre Harry, un ami perdu de vue, et lui conseille d'écrire un sujet de film.
C'est ainsi qu'il devient le témoin indirect de cette intrigue, aux méandres tortueux, centrée autour de mystérieuses lettres envoyées de Capri. Publié en 1954, Les Lettres de Capri consacre Mario Soldati, qui s'affirme alors comme l'un des plus grands écrivains italiens du siècle.
Ce chef-d'œuvre reçut le prestigieux prix Strega (le Goncourt italien). Si la structure de l'intrigue est complexe, le montage rigoureux comme celui d'un film, l'écriture est d'une limpidité déroutante - Pasolini parle de sa "légèreté absolue". Malgré le côté dramatique du sujet, l'auteur s'amuse à analyser les jeux subtils de l'esprit humain. Il y a en lui le sourire omniscient du scientifique, l'ironie légère du joueur qui a gagné et perdu beaucoup d'argent, la séduction de celui qui aime la vie."
Extrait : "Quiconque s'est un jour retrouvé - et qui ne s'est pas retrouvé ? - face à l'infidélité d'une femme qu'il croyait fidèle, même s'il ne l'aimait pas fidèlement, sait qu'aux tortures de la jalousie, plus ou moins douloureuses selon les cas, se mêle une autre peine : la conscience de s'être trompé sur le compte d'une personne avec qui l'on a vécu, nuit et jour, pendant de longues années, la stupeur et l'humiliation de découvrir en un instant qu'elle est complètement différente de ce que l'on pensait, comme si l'on assistait, dans les courts instants de cette révélation, à une métamorphose cruelle qui s'accomplit sous nos yeux. Les traits mêmes de son visage, si familiers jusqu'à la seconde d'avant, son regard, ses mouvements, les formes de son corps, ses mains nerveuses, ses gestes, sa façon de marcher deviennent brusquement étrangers, nouveaux, mystérieux ; nous ne les connaissons pas, ils ne nous appartiennent plus.
Nous nous disons : elle a souri à des joies que nous n'avons pas partagées : ses yeux ont contemplé - mais avec quelle expression ? nous l'ignorons - un autre homme ; ses mains ont caressé un autre corps, en vibrant d'une tendresse qui nous est inconnue et qui diffère de celle avec laquelle elles caressaient notre propre corps, car il s'agissait justement d'un autre corps, d'une autre réalité. Et au moment où nous ressentons tout cela, un moment déchirant, nous nous mettons, inconsciemment ou non, à éprouver pour cette femme un tout nouveau désir, tantôt étouffé sous notre vanité et nos préjugés, tantôt libre et irrésistible
. Nous voulons aussitôt posséder la mystérieuse compagne de notre vie à travers cette nouvelle nature qui nous semble sa seule véritable nature : nous voulons la connaître sur le champs, jusqu'au bout, ainsi qu'elle nous apparaît, vaincre par un acte sexuel désespéré l'absurdité qui nous blesse."
J'ai découvert la très belle écriture de Mario Soldati
Mario Soldati, né le 17 novembre 1906 à Turin et mort le 19 juin 1999 à Tellaro, frazione de Lerici, est un écrivain, réalisateur et scénariste italien.
09:59 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : les lettres de capri mario soldati
04/08/2014
Un col...un lac...
Toujours dans le massif du Queyras , le col de l'Izoard
Crêtes rocheuses , paysage lunaire, grandiose, impressionnant !
La rando part de la Casse deserte
Un sentier dans une forêt de mélèzes et de pins , puis les alpages....
Encore une montée....
et le lac va apparaitre.....
Tout rond
Beau soleil , mais toujours un petit vent mordant.....
15:13 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rando au col de l'izoard
30/07/2014
" Un jour pousse l'autre"
Un soir , dans le village , un film
Instants de vie , très émouvant
" "dans un petit village situé entre la Matheysine et l’Oisans, dans les Alpes françaises, Charles et Edouard vivent ensemble depuis toujours. Ces deux frères, paysans montagnards, célibataires, partagent un quotidien hors du temps, en contact et en accord avec la nature et les animaux. Leur complicité dans cet autre monde est si forte qu’ils s’interrogent : si l’un devait disparaître, qu’adviendrait-il de l’autre ? Et de la ferme ? morceaux d’humanité que nous offrent ces deux frères."
Film de Bernard boyer
09:19 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : film, " un jour pousse l'autre"