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02/11/2014

l'Automne au coin du bois....

 

 

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                                         "Elles valsent au bras

                                Du vent qui les emportent

                                On dit qu'elles sont mortes

                               Mais personne n'y croit...."

 

 

automne 2014,balades

 

 

 

 

 

 

 

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l'automne au coin du bois.....(Maurice carême)

 

                                                                

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                                             Balades d'automne, des sentiers.... derrière chez moi....

                                                              

16:50 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : automne 2014, balades

01/11/2014

Coups de coeur pour ces petites cabanes...

On les trouve dans les Pyrénées et cet été, randos dans le Queyras....

 

 

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La cabane de l'Ourtiga, sentier du GR 10 , en partant du petit village de Germ

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Là, nous partons du village de Portet

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La même, un jour d'orage......

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des cabanes de bergers

Campsaure , départ l'Hospice de France

 

des cabanes de bergers

La cabane dans la prairie..... sur le sentier du col d'Esquery, départ , les Granges d'Asteau

Et cet été, dans le Queyras , le sentier du col Lacroix

des cabanes de bergers

des cabanes de bergers

"Je n'ai rien , qu'un peu de terre à mes talons

Que l'odeur du soir en mes cheveux....

car j'ai marché par les chemins....."

Henri de Régnier

des cabanes de bergers

31/10/2014

La fable du monde

superv.gifLa pluie et les tyrans
 
 
Je vois tomber la pluie
Dont les flaques font luire
Notre grave planète,
La pluie qui tombe nette
Comme du temps d’
Homère
Et du temps de Villon
Sur l’
enfant et sa mère
Et le dos des moutons,
La pluie qui se répète
Mais ne
peut attendrir
La dureté de tête
Ni le cœur des tyrans
Ni les favoriser
D'un juste étonnement,
Une petite pluie
Qui tombe sur l'Europe
Mettant tous les vivants
Dans la même enveloppe
Malgré l’infanterie
Qui charge ses fusils
Et malgré les journa
ux
Qui nous font des signaux,
Une petite pluie
Qui mouille les drapeaux.
 
Jules Supervielle
Montevideo ,Uruguay,1884 - Paris 1960
 
 

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Photo de de Sebastião Salgado

 

26/10/2014

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille....


 "Sur notre banc ami, tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.....

 

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 "Nous nous ressouviendrons de mille choses, même
De petits riens exquis dont nous radoterons.
Un rayon descendra, d'une caresse douce.....

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Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux noirs seront des cheveux blancs....
 

Les vieux bancs , ils sont là , sur nos sentiers , nos chemins, près de l'étang , au bord du lac , le long de l'eau bourde.....

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Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille....

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Quelques mots de Rosemonde Gérard " l'éternelle chanson"

Quand sur notre vieux banc tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.....

Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,
Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants...."

lorsque tu seras vieux et que je serai vieille...

 

21/10/2014

Entre tendresse et solitude

Saul Leiter    "Le flâneur d'un monde flottant"

                                    1923-2013

 

 

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Un monde mélancolique.....Un monde de douceur et de poésie....

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"Pour comprendre l’univers si particulier du photographe américain Saul Leiter, il faut aimer les reflets des vies dans les flaques du temps, les buées qui montent parfois des gens, toutes les histoires d’un jour que l’on pourrait imaginer à partir de ses photos."

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" Je n'ai pas une philosophie. J'ai un appareil photo. Je regarde dans la caméra et je prends des photos. Mes photographies sont la moindre parcelle de ce que je vois et qui pourrait être photographiée. Elles sont des fragments de possibilités infinies."saul 6.jpg

 

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Être inconnu m’a toujours paru une position confortable.


Saul Leiter est un être discret qui aura toujours refusé la notoriété, la reconnaissance. Il vivait marchant dans les rues sous la pluie, sous la neige, sous les rêves des gens, et observait jusqu’à ce que quelque chose monte de la surface des êtres.

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ll dit aussi, en quelques phrases, ses blessures : un père, ­rabbin à Pittsburgh, qui n'accepta jamais que son fils embrasse la carrière d'artiste. « Enfant, j'ai été habitué à consacrer mes journées à l'étude. Levé à 5 heures du matin, je m'effondrais au lit le soir. J'ai découvert l'art à la bibliothèque, dans les livres, Picasso, Bonnard, mais aussi les estampes japonaises, les textiles péruviens, l'expressionnisme allemand. Tout m'apparaissait brusquement. »

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On dira seulement qu’il est né en 1923 à Pittsburgh, Pennsylvanie. Son père rabbin voulut en faire également un rabbin et jusqu’en 1946 il suit des cours de théologie talmudique. « Mon père et mon grand-père étaient des rabbins. J'ai étudié la théologie et quand je revenais de chez mon grand-père, je pouvais répondre à des questions pointues ». Il oubliera tout cela. N’étant pas devenu rabbin, il rêva de devenir un humble Dieu de l’image.

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Il s’échappe donc, maudit par ses parents, à New York à 23 ans, en 1946. Il s’y installera durablement"

Quelques lignes de  
Gil Pressnitzer

 

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 «J’ai passé une grande partie de ma vie en étant ignoré. J’en étais très heureux. Etre ignoré est un grand privilège. C’est ainsi que j’ai appris à voir ce que d’autres ne voient pas et à réagir à des situations différemment. J'ai simplement regardé le monde, pas vraiment prêt à tout, mais en flânant. » Il n’a appartenu à aucune école, aucun mouvement. Il aura préféré boire son café et écouter de la musique, que faire sa promotion.

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Une seule galerie, la galerie new-yorkaise Howard Greenberg, croit en lui et depuis il est reconnu pour ce qu’il est : l’un des très grands maîtres de la photographie, un Marc Rothko de l’image.

 

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16/10/2014

Rayonnante

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UN ROMAN DE JACQUES AUDIBERT

Elle était née Claudine Lucie Pauline Huzé, le 12 janvier 1937, à Paris. Son adoubement cinématographique a lieu avec la Nouvelle vague. Sa première et brève apparition date du Signe du lion (1959), d'Eric Rohmer. On la retrouve chez Jean-Luc Godard au côté d'Anna Karina (Une femme est une femme, 1961). Mais son véritable Pygmalion se nomme François Truffaut.

C'est lui qui la remarque à la télévision, lui qui la torture dans un casting où il la pousse, vainement, à l'insulter, lui qui choisit enfin son nom de scène. Celui-ci est emprunté à un roman de Jacques Audiberti, intitulé Marie Dubois et paru en 1952. L'histoire d'un policier obsédé par les femmes mais qui, ne pouvant en posséder aucune, finit par tomber amoureux d'une morte qui les incarne toutes.

l'actrice marie dubois est morte

Ces motifs si truffaldiens (on croirait la rencontre de L'homme qui aimait les femmes et de La Chambre verte) annoncent en même temps, avec une intuition renversante, le destin de l'actrice. Sa douceur, sa malléabilité, sa gentillesse, sa discrétion, sa propension au registre dramatique de la souffrance. Après Tirez sur le pianiste (1960) et Jules et Jim (1962)

elle part vers d'autres horizons esthétiques, alternant les films grand public (Les grandes gueules, de Robert Enrico, 1964 ; La Grande vadrouille, de Gérard Oury, 1966) avec des films plus singuliers (Le voleur, de Louis Malle, 1966 ; Vincent, François Paul et les autres, de Claude Sautet, 1974 ; Mon oncle d'Amérique, d'Alain Resnais, 1980).l'actrice marie dubois est morte

l'actrice marie dubois est morte

Elle ne trouvera que rarement l'occasion de mettre son talent au premier plan, mais il sera néanmoins récompensé par un César de la meilleure actrice dans un second rôle, pour son incarnation surprenante de femme jalouse et machiavélique dans La Menace, d'Alain Corneau(1977)

 

l'actrice marie dubois est morte

l'actrice marie dubois est morte

 

l'actrice marie dubois est morte

l'actrice marie dubois est morte

 

Source, un extrait , le monde,  Par Jacques Mandelbaum

Photos trouvées sur le net

 

   François  Vincent Paul et les autres. ..       Un de mes films préférés....

 

 

l'actrice marie dubois est morte

 

                                    Elle était Lucie, la femme de François

 

 

 

 

 

 

 

 

15/10/2014

Des chemins...



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Chemins qui ne mènent nulle part 
 entre deux prés, 
 que l'on dirait avec art 
 de leur but détournés,

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 chemins qui souvent n'ont 
 devant eux rien d'autre en face 
 que le pur espace 
 et la saison.

Rainer Maria RILKE (1875-1926)

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Hier, le soleil était revenu....balade...

19:57 Publié dans Ballade | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : octobre, balades

05/10/2014

"Et l'été qui s'enfuit est un ami qui part...."

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Le jardin ce matin.....

Hier, "lire en poche...."

 

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DSC00933.JPG   retour avec deux polars de Donna Leon

Cet été j'avais bien aimé et

Dévoré le polar de Donna Leon    Suspense et musique à Venise....

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Petite balade aussi dans ce coin de bruyère....

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Photo de ce mois de septembre....8 jours sous le soleil...

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"Comme le temps s'en va d'un pas précipité !

"Et l'été qui s'enfuit est un ami qui part...." Victor hugo

 

 

 

03/10/2014

Viva

                    "Les rois et les princes,

                    Les millionnaires et les présidents portent du coton,

                    Mais l'humble cueilleur de coton

                   Doit gagner à la sueur de son front chaque maudit centime

             En route pour les champs de coton, Le soleil monte , monte dans le ciel,

                               Mets ton sac au dos,

                           Resserre ta ceinture,

                            Ecoute, la roue tourne.

                               B. Traven

deville.jpgUne page de " Viva" le  nouveau roman de Patrik Deville

 

 

 

 

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Extrait

 "Tout commence et tout finit par le bruit que font ici les piqueurs de rouille. Capitaines et armateurs redoutent de laisser désœuvrés les marins à quai. Alors le pic et le pot de minium et le pinceau. Le paysage portuaire est celui d’un film de John Huston, Le Trésor de la Sierra Madre, grues et barges, mâts de charge et derricks, palmiers et crocodiles. Odeurs de pétrole et de cambouis, de coaltar et de goudron. Un crachin chaud qui mouille tout ça et ce soir la silhouette furtive d’un homme qui n’est pas Bogart mais Sandino. À bientôt trente ans il en paraît vingt, frêle et de petite taille. Sandino porte une combinaison de mécanicien, clef à molette dans la poche, vérifie qu’il n’est pas suivi, s’éloigne des docks vers le quartier des cantinas où se tient une réunion clandestine. Après avoir quitté son Nicaragua et longtemps bourlingué, le mécanicien de marine Sandino pose son sac et découvre l’anarcho-syndicalisme. Il est ouvrier à la Huasteca Petroleum de Tampico.....

 

Dans la brume de chaleur, un autre pétrolier norvégien, grande muraille rouge et noire, traverse le golfe du Mexique et approche du port de Tampico. À son bord, un autre révolutionnaire en exil entend les piqueurs de rouille et le cri des oiseaux marins....."

 

 

 Trotsky est un vaincu qui erre sur la planète.... ( p.12 )

 

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León Trotsky lee "The Militant". 1931

 

 

 

 

 

 

 Viva

 

Le 9 janvier 1937 ,Frida Kahlo accueille Trotsky, le proscrit , dans sa maison bleue.....

 

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1937   " La dictature samoziste est installée  au Nicaragua,le fascisme en Italie, le nazisme en Allemagne et le stalinisme en Russie.  C 'est la guerre d'Espagne, bientôt la déroute des républicains et la victoire du franquisme.

 

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"Frida Kahlo fixe les yeux très bleus du proscrit derrière les lunettes rondes et lui sourit.  Elle n'a pas 30 ans. Son mari Diego Rivera est célèbre dans le monde entier,mais celui- là  plus encore ...."

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"

"En brefs chapitres qui fourmillent d’anecdotes, de faits historiques et de rencontres ou de coïncidences, Patrick Deville peint la fresque de l’extraordinaire bouillonnement révolutionnaire dont le Mexique et quelques-unes de ses villes (la capitale, mais aussi Tampico ou Cuernavaca) seront le chaudron dans les années 1930.

Les deux figures majeures du roman sont Trotsky, qui poursuit là-bas sa longue fuite et y organise la riposte aux procès de Moscou tout en fondant la IVe Internationale, et Malcolm Lowry, qui ébranle l’univers littéraire avec son vertigineux Au-dessous du volcan. Le second admire le premier : une révolution politique et mondiale, ça impressionne. Mais Trotsky est lui aussi un grand écrivain, qui aurait pu transformer le monde des lettres si une mission plus vaste ne l’avait pas requis.

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On croise Frida Kahlo, Diego Rivera, Tina Modotti, l’énigmatique B. Traven aux innombrables identités, ou encore André Breton et Antonin Artaud en quête des Tarahumaras. Une sorte de formidable danse macabre où le génie conduit chacun à son tombeau. C’est tellement mieux que de renoncer à ses rêves."

( extrait de la 4eme de couverture)

Photos trouvées sur le Net


 

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"depuis Pura Vida, en 2004, j’aime bien décrire mes livres comme des «romans d’aventure sans fiction». Car, à part dans la forme ou la langue, je n’invente rien. ( Patrick Deville )
 
 
 
 
 

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A Tampico, le 8 janvier 1937, Léon Trotski et sa femme (à gauche) sont accueillis par Frida Kahlo (au centre) et le marxiste américain Max Schachtman.

 

© Bettmann/CORBIS

Des chemins tortueux, des passions , des luttes , de grands procès, des purges , des exécutions....et au milieu des horreurs de l'histoire , Patrick Deville nous parle de l'Agave...trois pages ..."On ne batifole pas avec les nymphes aux grands seins blancs dans les champs d' agaves comme au milieu des vignes.

Bacchus ne les choisirait pas pour ses siestes légendaires et priatiques...."p.71

 on dit "le tequila" "parce que c'est masculin,et que le féminin des Parisiens fait rire les Mexicains....

 les Espagnols interdirent un moment le breuvage source de troubles, puis goûtèrent ce vin de mezcal et parvinrent à en extraire, par double distillation, le pur esprit, transparent comme de l'eau de roche....."

 

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"Maintenant c'est quarante.Le monde est en flammes et on oublie Trotsky. Seuls les assassins pensent encore à lui.

 

 

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J'ai aimé ce grand voyage sur les traces de Leon Trotsky
 
 
 

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Peinture Diego Rivera

20/09/2014

La fille des Louganis

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Après le Turquetto ,   Prince d'orchestre ,

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Une belle histoire d'amour de Metin Arditi

 

 

 

 

Un roman bouleversant et plein de douceur....

" Dans la beauté solaire de son île grecque, la jeune Pavlina aime celui qu'elle croit son cousin, Aris.

Elle ignore le secret qui dévastera pour longtemps la famille....Sur ce thème à la fois intime et universel de l'abandon, sur le hasard des rencontres et la vertu des amitiés, sur les forces vitales et les péripéties du destin qui nous gouvernent par-delà le bien et le mal, Metin Arditi a composé un roman profond, saisissant d'émotion et de vérité."( extrait de la 4eme de couverture)

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"Né en 1945 à Ankara, Metin Arditi vit à Genève. Il préside l’Orchestre de la Suisse romande et la fondation Les Instruments de la Paix-Genève.
Son œuvre est publiée chez Actes Sud : Dernière lettre à Théo (2005), La pension Marguerite (2006 ; Babel n° 823), L’imprévisible (2006 ; Babel n° 910), Victoria-Hall (Babel n° 726), La fille des Louganis (2007 ; Babel n° 967), Loin des bras (2009 ; Babel n° 1068), Le Turquetto (2011, prix Jean-Giono, prix Page des libraires, prix Alberto-Benveniste, prix des libraires de Nancy) et Prince d'orchestre (2012). (Acte Sud)