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11/05/2014

"J’ai ouvert la porte et je suis entrée dans un jardin merveilleux...."

 

 

 

Luchon juin juillet 2013 019.JPG

 

 

 

 

christian bobin

 " Aucune philosophie au monde n'arrive à la hauteur d'une seule marguerite, d'une seule ronce , d'un seul caillou discutant comme un moine rasé en tête à tête avec le soleil et riant, riant, riant."

 

 

 

 

 

 

 

Luchon juin juillet 2013 213.JPG

Citation , " l'homme joie" 2012, Christian Bobin

Photos, été 2013 , les Pyrénées

La marguerite , ce matin , au jardin

Christian Bobin

16:30 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : christian bobin

Reggiani/Villon La ballade des pendus

François Villon n'a pas encore écrit sa dernière ballade....

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Né à la fin du Moyen Âge, François Villon est le premier poète des temps modernes.
-
 Il est l’auteur de la célèbre ballade des pendus
 
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"Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les coeurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis....."
 
 
 

 

 
 
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et de la ballade des dames du temps jadis
 
 
"Dites moy ou, n'en quel pays
Est Flora la belle Romaine,
Archipiades, né Thaïs
Qui fut sa cousine germaine,
Echo parlant quand bruyt on maine
Dessus rivière ou sus estan
Qui beaulté ot trop plus qu'humaine.
Mais ou sont les neiges d'antan?
Qui beaulté ot trop plus qu'humaine.
Mais ou sont les neiges d'antan?.....

 

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. Mais Villon est également un brigand notoire
 
et un voyou. En 1462, à l’âge de trente et un ans,

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Pendus de Villon,Fresque de l'église Sant' Anastasia à Vérone.jpg
 
 
 
 il est arrêté, torturé et condamné à “être pendu et étranglé”.
Le 5 janvier 1463 le parlement casse le jugement et le bannit de Paris
 
 
 
Nul ne sait ce qu'il advint de lui par la suite....
 
 
 
 
 
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La suite...
 
François Villon, poète de la fin du Moyen-Age, est ici le héros.
 
 
 
Le roman de Raphaël Jerusalmy commence là où calent les livres d'histoire.
 
François Villon, premier poète des temps modernes et brigand notoire, croupit dans les geôles de Louis XI en attendant son exécution.
 
Quand il reçoit la visite d'un émissaire du roi, il est loin d'en espérer plus qu'un dernier repas. Rebelle, méfiant, il passe pourtant un marché avec l'évêque de Paris et accepte une mission secrète qui consiste d'abord à convaincre un libraire et imprimeur de Mayence de venir s'installer à Paris pour mieux combattre la censure et faciliter la circulation des idées progressistes réprouvées par Rome.
 
Un premier pas sur un chemin escarpé qui mènera notre poète, flanqué de son fidèle acolyte coquillard maître Colin, jusqu'aux entrailles les plus fantasmatiques de la Jérusalem d'en bas, dans un vaste jeu d'alliances, de complots et de contre-complots qui met en marche les forces de l'esprit contre la toute-puissance des dogmes et des armes, pour faire triompher l'humanisme et la liberté.
 
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Palpitant comme un roman d'aventures, vif et malicieux comme une farce faite à l'histoire des idées, regorgeant de trouvailles et de rebondissements, La Confrérie des chasseurs de livres cumule le charme et l'énergie de Fanfan la Tulipe, l'engagement et la dérision de Don Quichotte et le sens du suspense d'un Umberto Eco.
 
     Source              Les présentations des éditeurs
 
Un extrait
p.114
" Puis çà, puis là, comme le vent varie, à son plaisir sans cesse nous charrie....
A la dernière strophe, prononcée d'une voix  grave et lente, les eaux se répandent en un large estuaire bordant un océan de silence. Villon achève sa récitation mélancolique en saluant le plafond d'un large sourire, sûr de son effet.
Ses vers ont captivé bien des ivrognes et des catins, des cabaretiers, des fossoyeurs, des charretiers, des courtisanes et des notaires qui ne s'y entendaient pas plus en métrique et prosodie que cet émir et ses sbires.
Ce ne sont ni belles palabres ni rimes alambiquées qui font la force d'une ballade.
C'est la voix qui parle, qui chante , qui caresse. C'est elle qui rapproche les hommes, comme un pont.
Ou une main tendue...."
 

livre,la confrérie des chasseurs de livres

 
 
 

01/05/2014

le 1er mai avec Izis et Prévert

 

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Maraîcher d'avant guerres

Jardiniers du beau temps

du beau temps si lointain

 

 

et encore tout récent

 

Rois mages de la nuit

rois fainéants du soir

En dormant vous traversez la ville

Suspendus dans vos jardins ambulants

 

 

Près des derniers présents d'avril

Pour la fête du travail

La fête de l'ouvrier

 

Sauvage et rouge la fille de l' églantier

 

Mariée d'un jour au beau brin de muguet


 

 

Izis, 1er mai 1950 à Paris, Place Victor Basch

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Et d'un pas lent et sûr

vos chevaux d'aller et retour

tranquilles vous conduisaient

Leur bride dans votre main dormait comme vous dormiez

Les roues de vos carrosses savaient ou vous alliez

Muguets du premier mai

hors de prix sous la pluie

Eglantines tricolores et désodorisées

Belle fête du travail sabotée aujourd'hui.

 

La photo , Isis et Jacques Prevert, 1952

 

 

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Près du métro Place d'Italie, Paris, 1er mai 1968. Tirage argentique d'époque réalisé par l'auteur, tampon "Photo Izis Bidermanas",

 

00:13 Publié dans 1er mai | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : 1er mai 2014

30/04/2014

Le Front populaire des photographes, 1936, les débuts de photographes de génie : Capa, Cartier-Bresson, Chim, Ronis ...

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36, la paroles aux images

 

 

 

 "les éditions Terre bleue se sont intéressées au Front populaire, une période bénie
pour les photographes.
 
Le Front populaire des photographes
est l’occasion
de retrouver les photos cultes de 36 mais également de découvrir des documents
peu connus ou inédits et des photographes injustement oubliés.
 
 
 
Cette période politique fut aussi un grand moment photographique."tar8_kertesz_003i.jpg
 
 

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"J'étais joyeux d'assister à cette fête et d'en conserver des souvenirs. C'était une fête comme on n'en avait jamais connue jusque-là. Il y avait beaucoup de monde dans les rues, les gens se promenaient avec leurs enfants, moi je courais à droite et à gauche. J'ai pris le cortège luimême, avec la rangée des élus du Front populaire qui s'avançaient en tête avec, derrière, la foule et, se dressant au milieu, la colonne de la Bastille. Puis j'ai fait des  photos à-côtés, dont cette petite fille, qui avait attiré mon attention, puisqu'elle portait son petit bonnet phrygien, et qu'elle tendait le poing."

 Willy Ronis Citations extraites de l'émission “Le Front populaire, 1936. Willy Ronis”, série Les 100 photos du siècle, 6' (production Capa Presse TV)

 

 

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3 mai 1936 : la victoire
 
 "Le 3 mai 1936, le Front populaire obtient la majorité des sièges à la Chambre des
députés. En trois mois, la France va être bousculée par les réformes entreprises par le
gouvernement de Léon Blum.
Tout ceux qui ont vécu l’été 36 s’en souviennent comme
d’un moment extraordinaire."
 
Chim (David Seymour), Robert Capa, Henri Cartier-Bresson, Willy Ronis ont moins de
trente ans en 36. Ces jeunes gens sont partout et photographient à tout-va....
 

Sources "Editions terres bleues "

 

 

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24/04/2014

Ce jour là...

“Ce jour-là, au milieu du deuxième été passé à Gordes, dans cette ruine que nous avions achetée à Pâques 1947, Marie-Anne faisait la sieste sur un transatlantique. Vincent, à côté, avait un petit jouet à la main. L’été précédent, je me souviens que nous nous éclairions encore à la bougie et à la lampe à pétrole. Et nous allions chercher l’eau à la fontaine.”

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La sieste, Gordes, 1949

C'est d'ailleurs au cours de cet été  que j'avais fait le  Nu provençal.

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Marie-Anne était à sa toilette, si gracieuse....

Photos et quelques mots de Willy Ronis " Ce jour là "

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« J’ai la mémoire de toutes mes photos, elles forment le tissu de ma vie et parfois, bien sûr, elles se font des signes par-delà les années. Elles se répondent, elles conversent, elles tissent des secrets. »

16:34 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : ce jour là, willy ronis

22/04/2014

Lu et aimé

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 Un court récit, un superbe roman !

l'horreur et l'absurdité de cette " grande guerre"

Dans une petite ville du Berry, l'été 1919....

 

Année du centenaire de la Première Guerre mondiale oblige, c’est avec un roman sur l’après-guerre que Jean-Christophe Rufin fait son retour

".Un jour, un ancien poilu anarchiste et antimilitariste décide de décorer son chien de sa médaille militaire. En 1919, cet acte est considéré comme un signe de rébellion.

Dans Le collier rouge, l’Académicien Jean-Christophe Rufin met en lumière trois destins qui se croisent : celui d’un ancien héros de la guerre (notre poilu anarchiste), retenu prisonnier au fond d’une caserne, celui de son chien, posté devant la porte, qui aboie jour et nuit, et celui d’une femme qui attend et espère, non loin de là. Ce livre aussi réjouissant qu’émouvant interroge sur la loyauté et la fidélité."

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 "Le 27 février dernier, je suis allé à la rencontre de Jean-Christophe Rufin dans un bureau de chez Gallimard pour une heure d’interview." ( Sources les chroniques de Mandor)

Un  extrait

 

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Dans votre roman, la guerre n’est abordée que de façon extérieure. Est-ce un roman sur « comment on s’en sort après avoir vécu ça » ?

Ce livre ne célèbre pas de guerre, encore moins une victoire puisque je considère qu’il n’y a pas eu de victoire. C’est une guerre de vaincus de tous les côtés. Ce livre est très en marge des autres ouvrages sur le sujet. Le collier rouge est plus un livre sur « qu’aurait-il fallu faire pour éviter la guerre ? » L’univers de la guerre est un univers animal, d’où la comparaison avec le chien.

Il faut dépasser le sentiment animal d’attaquer l’autre pour défendre les siens. C’est respectable, mais c’est une impasse. Je veux faire prendre conscience que ce qu’ont vécu ces soldats n’était pas humain, mais animal. Le chien est au centre de la vision que je voudrais donner de cette guerre.

Tous vos personnages ont cessé d’être obtus après la guerre.

C’est une guerre qui a transformé profondément tout le monde. Tous ceux qui l’ont vécue ont perdu toutes leurs certitudes. Il y a eu beaucoup de croisements sociaux et intellectuels. Les tranchées, c’était des lieux de mélange. Des lieux où l’aristocrate pouvait rencontrer l’ouvrier ou le paysan et vivre la même chose : le danger et la mort.

Votre héros ne fait rien pour s’en sortir parce qu’il a des convictions et qu’il s’y tient.

Le juge veut faire sortir le prisonnier de prison, mais ce dernier veut y rester.

Il veut affirmer haut et fort ses convictions sur la guerre. On comprendra aussi que derrière les actes de l’ancien soldat, derrière ses décisions, il y a une femme. Il n’ose pas l’aborder pour lui demander des explications sur son comportement… et pour éviter ça, il va s’enfermer dans quelque chose de spectaculaire où il va se donner le beau rôle. Mais au fond, c’est un appel pour elle. Il veut renouer avec elle sans oser le faire.

 

Le chien nous apprend beaucoup sur l’homme dans ce livre. C’est un peu lui le héros du roman ?

Je le pense. J’adore ce chien. À travers lui, j’ai voulu rendre hommage aux dizaines de milliers d’animaux qui se sont retrouvées dans les tranchées. C’est un phénomène très peu connu.

On les utilisait pour déminer, pour chasser les rats… ils avaient une réelle utilité.

Il y a ceux qui étaient là parce qu’ils avaient suivi leur maître.

Ceux-là, les poilus les utilisaient directement en fonction des problèmes qu’il pouvait y avoir dans les tranchées. Mais, il y avait aussi des chiens acheminés par l’état major pour une utilisation vraiment militaire. Il y avait aussi des pigeons qui ont bien servi pendant cette guerre.

Saviez-vous que des pigeons ont  réussi à faire passer des messages à travers les lignes et qu’ils ont été décorés après la guerre ?

Vous ne trouvez pas cela ridicule ?

Vous savez, les pigeons, c’était le Facebook de l’époque, la communication ultime....."

 

 

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"À une heure de l’après-midi, avec la chaleur qui écrasait la ville, les hurlements du chien étaient insupportables. Il était là depuis deux jours, sur la place Michelet et, depuis deux jours, il aboyait. C’était un gros chien marron à poils courts, sans collier, avec une oreille déchirée. Il jappait méthodiquement, une fois toutes les trois secondes à peu près, avec une voix grave qui rendait fou."....

17/04/2014

Cannes 2014 : l'affiche du Festival avec Marcello Mastroianni

                            Nino Rota et sa célèbre musique du film 8 1/2

 

 

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Après le très beau baiser du couple mythique formé par Joanne Woodword et Paul Newman l’année dernière....

 

 

 

 

 

  la sélection sera annoncée ce jeudi 17 avril, l'affiche officielle du Festival de Cannes vient d'être dévoilée. Le comédien italien Marcello Mastroianni sera l'icône de cette 67ème édition. L'affiche, qui reprend une photo du long métrage de Federico Fellini, Huit et demi (présenté en Sélection officielle en 1963) a été conçue par Hervé Chigioni et son graphiste Gilles Frappier

Ce film, présenté à Cannes en 1963, marque un tournant dans la vie de l'acteur et du cinéaste

 

 

Jane Campion, réalisatrice néo-zélandaise, seule femme à avoir obtenu la Palme d'or, devient aussi la première femme réalisatrice à présider le jury du Festival de Cannes.

 


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La cinéaste s'est fait connaitre par ses très beaux portraits de femmes marginales ou à forte personnalité aux prises avec les carcans de la société.

Il y a Ada dans La leçon de piano, Kay dans Sweetie, son premier long métrage présenté en compétition sur la Croisette en 1989, Jane dans Un ange à ma table en 1990, sans parler de Portrait of a Lady avec Nicole Kidman (1996), Holy Smoke avec Kate Winslet en 1999 etc. Son dernier long métrage en compétition à Cannes, Bright Star en 2009, racontait les délicates amours du poète romantique John Keats

 

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 Le festival de Cannes, Marcello Mastroianni l’a bien connu puisqu’il a reçu pas moins de deux reprises le prix d’interprétation masculine : la première fois pour Drame de la vie, en 1970, et la seconde en 1987 pour Les Yeux Noirs

 

 

 

 

 

 

 

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                          Une filmographie mythique

 

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Une époque révolue.  un grand cinéaste italien, Féderico Fellini et l'un de ses acteurs fétiches de Huit1/2, Marcello Mastroianni  posant devant l'affiche de "La Dolce Vita"

Sources Allociné , RTL

13:56 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : cannes 2014

14/04/2014

Prends cette gorgée de vie

N'aie pas peur.

Aujourd'hui, prends cette journée qui commence

Prends cette journée comme

tu prendrais un verre d'eau que

quelqu'un que tu ne connais pas aurait

Préparé pour toi, sur la table , pour ton réveil.

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Prends cette journée de vie. Elle est là,

devant toi .Prends- la même si tu ne sais pas

pourquoi on te l'offre.

Prends- la sans te l'expliquer.

Prends- la sans honte.

Prends- la avec reconnaissance.

Elle est là, à ta portée, pour toi

 

Alain Houziaux " Mon silence te parlera"  ( 1993)

  Les   Natures mortes de Chardin (1699-1779)

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07/04/2014

"Va ton chemin sans plus t'inquiéter ..."

Un rayon de soleil , balade....

balade du dimanche

 

 

 

 

Ce matin , au pied de mon arbre...

 

balade du dimanche

Voilà , fini....

 quelques boutons d'or....

 

balade du dimanche

Des Iris

balade du dimanche

 

balade du dimanche

 

balade du dimanche

 

"Va ton chemin....

la route est droite et tu n'as qu'à monter....(Paul Verlaine )

 

 

19:45 Publié dans Balade, Ballade | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : avril, balade