28/07/2014
Coup de coeur , au col d'Agnel
Du col d'Agnel , toujours dans le Queyras , un départ pour le lac Foréant....grand soleil,toujours un petit vent froid...très belle rando !
Arrivée au col vieux, bientôt, tout au fond, le lac....superbe !
Encore quelques montées.....et ce sera le lac d'Egorgéou......
Retour...là...fatiguée....
11:46 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : au col d'agnel
25/07/2014
Un jour d'orage...
Elle était là , la petite cabane du berger....
Bien à l'abri....
le matin ,départ pour le col Lacroix par un beau soleil.....
et là , gros nuages noirs, pluie, vent, et orage....
Le col Lacroix , passage entre ce dernier et le Piemont Italien
le départ se fait à partir du hameau de l' Echalp ou de la Monta
sentier de La Monta
Retour vers le village.....belle rando !
09:45 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : col lacroix
22/07/2014
Un jour de pluie....
Agostino Steffani ( 1654- 1728) : Hai Finito di Lusigarmi-Cara Fili ( Aria)
Dévoré le polar de Dona Leon Suspense et musique à Venise
" Les joyaux du Paradis"
"une enquête magistrale menée dans la Venise actuelle, mêlant brillamment musique et suspense, fiction et réalité.
Caterina Pellegrini, musicologue italienne enseignant à Manchester, accepte avec joie un poste de documentaliste au sein d'une fondation à Venise. Contre toute attente, la place n'est pas de tout repos. Deux cousins se disputent l'héritage d'un ancêtre dont la succession serait tranchée par de vieux documents auxquels seuls Caterina a accès. Le fameux ancêtre, compositeur baroque et diplomate, remplissait des missions cruciales auprès des cours allemandes pour le Saint-Siège.
À mesure que Caterina se passionne pour la biographie de cet homme, elle soulève un mystère : le musicien espion aurait-il trempé dans la plus grave affaire de meurtre de son temps ?"
La découverte d'Agostino Steffani j'adore !
"Cecilia Bartoli et Donna Leon abordent ensemble un étrange compositeur : le maître de l’opéra baroque Agostino Steffani.
toutes deux s’enflamment pour le même maître de l’opéra baroque : Agostino Steffani.
Un compositeur très accaparé par ses activités politiques au service du Saint-Siège et des cours européennes, qui sillonnait le continent pour des missions ecclésiastiques et diplomatiques parfois liées à l’arrangement de mariages princiers – et passait pour un espion. De ses aventures, il tirait des livrets d’opéras. En tant que musicien, il a fait progresser son art, réussissant une synthèse de styles que tout, alors, opposait.
Steffani était quasiment tombé dans l’oubli quand il a été redécouvert par Cecilia Bartoli et Donna Leon – chacune à sa façon. L’écrivaine a retracé la biographie fascinante d’un homme qui était beaucoup plus qu’un compositeur baroque : Les Joyaux du paradis est une enquête palpitante mêlant musique, obsessions et intrigues. Et avec son album Mission, la cantatrice fait enfin revivre une musique que l’on pouvait croire perdue." ( Source Metropolis)
16:03 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : les joyaux du paradis, donna leon
"Là ou le coq picore les étoiles....."
Le Queyras , prairies et Alpages ,forêts de mélèzes, des lacs....
Nous étions là ,un petit village dans la haute vallée du Guil
Et des sentiers fleuris.....
Je vais trier les photos....finir de vider les sacs...et je passe vous voir....bientôt...
Bisous
11:14 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : autour d'abriès
17/06/2014
A bientôt !
Cet été pas de montée du Lac d'Oô....
mais le Queyras , quelques semaines dans un petit village...
Départ samedi matin
Belles journées à tous et toutes !
Je vous embrasse
A bientôt
Peinture au couteau de Christian Jequel
09:37 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : un départ, pause
06/06/2014
Luis Sepulveda
En ce moment passe le film " Les soeurs Quispe"
"Chili 1974. Justa, Lucia et Luciana Quispe, trois bergères de l’Altiplano, mènent une vie retirée au rythme de la nature. À son arrivée au pouvoir,
Pinochet remet en question ce mode de vie ancestral.
Les trois soeurs traversent alors une crise existentielle qui aura un retentissement unique dans l’histoire contemporaine du Chili."
"C'est un film aussi beau et aride que les paysages minéraux au cœur desquels il se déroule, que les visages burinés de ses trois personnages. Un film d'un minimalisme puissant, dont on pourrait croire au premier abord qu'il ne raconte rien ou presque alors qu'il relate une histoire vraie, une histoire ordinaire qui s'imposa pourtant comme un événement majeur de l'histoire du Chili...." (source " Première , Utopia")
De Luis Sepulveda ,
J'avais adoré ce joli conte plein de poésie, " Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler"
"Zorbas le chat grand noir et gros a promis à la mouette qui est venue mourir sur son balcon de couver son dernier œuf, de protéger le poussin et de lui apprendre à voler Tous les chats du port de Hambourg vont se mobiliser pour l'aider à tenir ces promesses insolites.
A travers les aventures rocambolesques et drôles de Zorbas et Afortunada, on découvre la solidarité, la tendresse, la nature et la poésie. ( 4ème de couverture )
Lu et aimé son premier roman "Le vieux qui lisait des romans d'amour"
" En se lançant à la poursuite du fauve, Antonio José Bolivar nous entraîne dans un conte magique, un hymne aux hommes d'Amazonie dont la survie même est aujourd'hui menacée. " (note de l'éditeur)
et
Le Monde du bout du monde, Un nom de torero, Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler, Journal d'un tueur sentimental, Les Roses d'Atacama, La Folie de Pinochet, Une sale histoire ...
Luis Sepúlveda est un écrivain chilien né en 1949 à Ovalle.
Son oeuvre est fortement marquée par l'engagement politique et écologique. Etudiant proche des jeunesses communistes, il est condamné à 28 ans de prison par le régime du général Pinochet et libéré au bout de deux ans et demi, en 1977, grâce à l'intervention d'Amnesty International. Exilé, l'auteur voyage à travers l'Amérique Latine.
En Equateur, au Pérou et en Colombie, il fonde des troupes de théâtre et s'engage auprès de mouvements révolutionnaires. En 1978, il passe une année chez les indiens Shuars dans le cadre d'un programme d'études pour l'UNESCO sur l'impact de la colonisation sur les populations amazoniennes.
Son premier roman, Le Vieux qui lisait des romans d'amour est traduit en trente-cinq langues et lui apporte une renommée internationale.( source France culture)
Pas encore lu ....
En 1996, l’écrivain chilien Luis Sepulveda et son ami photographe argentin Daniel Mordzinski, son socio, ont pris la route vers le sud du monde, le sud du continent sud-américain, au-delà du 42ème parallèle. Partis de Buenos-Aires, ils roulent vers la Patagonie. Ils s’arrêtent à Bariloche, El Bolson, El Maiten, Punta Arenas; la terre Mapuche et la Terre de Feu. Au gré des rencontres, ils quittent la route, s’arrêtent, partagent le maté et les mots .....
« En Patagonie, on dit que faire demi-tour et revenir en arrière porte malheur. Pour rester fidèles aux coutumes locales, nous avons poursuivi notre chemin car le destin est toujours devant, et on ne doit avoir dans son dos que la guitare et les souvenirs. »
Il est beau et triste ce livre car c’est, à travers ces histoires, l’histoire d’un adieu, pas une histoire qui finit bien. La fin d’un monde au sud du monde, « le coût impitoyable de notre époque « .
Alors le bonheur de cette photographie qui dit tout de ce livre .
La dame aux miracles avec Luis Sepulveda
- Photographie de Daniel Mordzinski – Éditions Métailié
20:30 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : luis sepulveda
02/06/2014
Page 140...diva
Page 140
Diva , j"avais adoré, polar brillant, film culte de l'année 1981
Quelques lignes....
Jean Jacques Beineix, son premier long métrage: Diva , d'après le roman policier de Delacorta.
"Les aventures d'un jeune coursier, fou amoureux d'une chanteuse d'opéra, black, qui refuse de graver sa voix sur des disques.
Il me faut donc trouver le jeune coursier....
puis il repartira chercher " la chanteuse" il la trouvera , "La chanteuse c'est Wilhemenia Wiggins Fernandez, qui tient le rôle de Musetta dans cet opéra de Puccini.
"elle est quasiment inconnue, divine, magnifique, sensible, sensuelle et libre ! la grâce faite femme ( p.135)
" A sa sortie, le 11 mars 1981, Diva est un terrible échec.....Diva a été retiré des salles de province, puis des salles parisiennes. Sauf une. Le Panthéon, au quartier latin. Et là, petit à petit,le bouche à oreille a commencé à fonctionner, si bien que le film est devenu au fil des semaines un phénomène.....consécration aux Césars , le 27 février 1982. Quatre statuettes dont celle du meilleur premier film."
Avec Jean -Jacques Beineix il y aura aussi " La lune dans le caniveau"
et 37°2 le matin
37°2 le matin, un roman de Philippe Djian."Une belle et sombre histoire d'amour et de folie.Je cherchais tous azimuts le jeune homme et la jeune fille capables d'incarner ce couple d'amants terribles.....
37° 2 le matin - Jean-Jacques Beineix, Béatrice Dalle
"Avec Béatrice, la vie n'est pas un long fleuve tranquille"
"Béatrice est unique....."
Beaucoup de pages pour raconter " Béatrice" , c'est une longue, très longue histoire....
10:32 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : livre casino d"hiver, dominiqe besnehard
29/05/2014
Hi-Lili, Hi Lo - Leslie Caron - 1953
Leslie Caron & Mel Ferrer chantent "Hi Lili Hi Lo" dans le film "Lili" de Charles Walters en 1953.
Un livre "casino d'hiver"
"C’est au casino d'Houlgate, en Normandie, dans les années 60, que tout a commencé. C’est là que Dominique Besnehard a découvert le cinéma et les actrices. C’est là qu’il est tombé fou d’amour, et pour toujours, pour Sylvie Vartan dont il est devenu plus tard l’ami et l’agent. C’est lui qui a découvert quelques belles inconnues nommées Juliette Binoche ou Béatrice Dalle, et défendu les intérêts de nombreuses stars : Jeanne Moreau, Isabelle Adjani, Charlotte Gainsbourg, Sophie Marceau, Nathalie Baye ou Christophe Lambert...".
Les premières pages " j'avais 5 ans
Le premier film que j'ai vu, c'est babette s'en va- t-en guerre, de Christian-jaque, avec Brigitte Bardot, Jacques Charrier et Francis Blanche, l'hiver 1959."
J'ai alors pensé à mon premier film , je crois que c'était Lili, un très joli conte musical, un film de Charles Walters avec Mel Ferrer et Lesli Caron. Une histoire d'amour entre un montreur de marionettes et Lili, qui chante au son de l'accordeon "Hi-Lili Hi Lo" j'avais adoré....
" A l’occasion de ses 60 ans, Dominique Besnehard nous fait un bien joli cadeau avec son livre Casino d’Hiver écrit par la plume de Jean-Pierre Lavoignat.
Bien plus que des mémoires, ce sont les coulisses de tout ce que le cinéma a de plus beau qui s’ouvrent à vous." ( source Autour du cinema)
Je commence les premières pages....
17:05 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : casino d'hiver
25/05/2014
Le palmarès du 67e Festival de Cannes
La Palme d'or a été attribuée samedi à Winter Sleep du réalisateur turc Nuri Bilge Ceylan, longue dissection psychologique d'un sexagénaire qui règne en maître sur un village d'Anatolie.
«Cette année, c'est la centième année du cinéma turc, c'est une très belle coïncidence», a dit le réalisateur.
"son film est traversé par la question du fossé qui s'est creusé entre les adultes qui possèdent et les jeunes restés démunis. Lui-même a dédié son trophée à « la jeunesse de Turquie, et à ceux d'entre eux qui sont morts au cours de l'année passée » pendant les manifestations contre le gouvernement de l'AKP."
Le québécois Xavier Dolan, 25 ans, a remporté samedi soir le prix du jury à Cannes pour l'émouvant drame familial Mommy,
ex aequo avec le Franco-suisse Jean-Luc Godard pour Adieu au langage, une oeuvre difficile et expérimentale.
Mère et fils, Diane (Anne Dorval) et Steve (Antoine Olivier Pilon) dans le film MOMMY de Xavier Dolan
Le Festival récompense ainsi du même coup le benjamin et le doyen de la compétition 2014.
C'est la première fois que Cannes accorde un prix à la légende de la nouvelle vague Jean-Luc Godard, 83 ans, qui a refusé de se déplacer sur la Croisette.
«On fait ce métier pour aimer et être aimé en retour. C'est la revanche en quelque sorte de nos amours imaginaires», a déclaré sur scène Xavier Dolan, qui, malgré son jeune âge, est un habitué du Festival de Cannes où il s'est révélé au monde il y a cinq ans avec son premier film.
Son cinquième long métrage Mommy raconte l'histoire de Diane, veuve exubérante au langage fleuri, qui hérite de la garde de son fils, un adolescent blond bipolaire, impulsif et violent, après son expulsion d'un centre correctionnel.
Le jeune cinéaste a remercié la présidente du jury, Jane Campion, pour l'avoir inspiré, avant de s'adresser aux jeunes de sa génération.
«La leçon de piano est le premier film que j'ai pu voir (...) Peu de films ont autant influencé ma carrière, et me retrouver ici sur la même scène que vous est quelque chose d'extraordinaire. Vous avez écrit des rôles pour des femmes magnifiques, avec de la volonté, une âme, pas des victimes, pas des objets», a-t-il dit avant que Jane Campion ne vienne l'embrasser.
«Je tiens à remercier les gens de mon âge, de ma génération, a-t-il ajouté, très ému. Accrochons-nous à nos rêves, car nous pouvons changer le monde, nous pouvons faire rire et pleurer les gens, changer les esprits. Je pense que tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n'abandonne jamais».
Également primé, Adieu au langage est un film difficile, montage serré de petites scènes où le réalisateur veut dire son refus des propos d'aujourd'hui, dénués de sens selon lui, bien loin du véritable «langage»
Le Grand prix a été attribué samedi soir à Le meraviglie (Les merveilles), seul film italien de la Sélection officielle, réalisé par Alice Rohrwacher. Le film décrit comment l'irruption d'un jeune délinquant et d'une émission télévisée change la vie d'un couple d'apiculteurs en quête de pureté, vivant avec ses quatre filles en marge de la société.
Le prix de la mise en scène a été attribué samedi par le Festival de Cannes à Bennett Miller pour son film Foxcatcher, un drame des années 80 où un riche milliardaire (Steve Carell) prend sous sa coupe deux frères lutteurs (Shanning Tatum et Mark Ruffalo).
Le prix du scénario a été remis aux Russes Andreï Zviaguintsev, également réalisateur, et Oleg Negin pour Leviathan
L'actrice américaine Julian Moore a reçu le prix de la meilleure interprétation féminine pour son rôle dans Maps to the Stars, du réalisateur canadien David Cronenberg
l'acteur britannique Timothy Spall a reçu le prix d'interprétation masculine pour son rôle dans Mr Turner, de Mike Leigh, où il campe le célèbre peintre britannique
L'édition 2014 du festival marquait une première pour le cinéma canadien, qui proposait un record de trois films en compétition officielle avec The Captive d'Atom Egoyan.
Caméra d'or : Party Girl, des Français Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis
- Palme d'or du court-métrage : Leidi, du Colombien Simon Mesa Soto
« Timbuktu », « Sommeil d'Hiver », « Deux fenêtres », « Mommy », « Steps to the Stars », « Deux Jours », une nuit », « Foxcatcher », « Adieu au langage ». Festival de Cannes 2014/montage RFI
Sources
extraits La Presse Canadienne
Montréal - Avec l'AFP Le Monde.fr par Thomas Sotinel
19:45 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : le palmarès du 67e festival de cannes
23/05/2014
Deux jours , une nuit
A Cannes, Deux Jours une nuit a déjà la palme d'or des critiques....
En 1999, les frères Dardenne recevaient la palme d'or pour "Rosetta". Ils y filmaient la course éperdue d'une jeune fille issue du lumpenprolétariat, prête à tout pour retrouver du travail et mener une vie normale.
Quinze ans après, ils racontent un autre parcours du combattant, celui de Sandra, mariée et mère de deux enfants, pour conserver sa place au sein d'une usine de panneaux solaires. Son sort est suspendu au vote des salariés, sommés de choisir entre leur prime de 1000 euros et le maintien de l'emploi de Sandra.
Choix cornélien pour qui a un tant soit peu d'empathie. Après un premier vote biaisé par les manœuvres d'intimidation du patron, Juliette, l'amie de Sandra, obtient du contremaître la tenue d'un nouveau scrutin pour le lundi. Sandra a deux jours et une nuit pour convaincre ses collègues de renoncer à leur prime.
"Amoureux de l'humanité même dans ce qu'elle peut avoir de plus inhumaine, les Dardenne osent parler d'espoir et de lumière,quand tout nous conduit au désespoir et à la nuit."
Sources Studio et Nouvel Obs
15:07 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : deux jours une nuit