06/06/2012
Un film
Samedi, toujours la pluie....cinema
Réalisé par
Alexandre de La Patellière, Matthieu Delaporte Patrick Bruel, Valérie Benguigui, Charles Berling
Comme au théâtre, un film très réussi, j'ai ri
Un vrai repas de famille !
"Le Prénom n'est autre que l'adaptation cinématographique de la pièce de théâtre à succès éponyme et dont ses auteurs, Mathieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, se sont eux-mêmes chargés de la mise en scène."
Un sujet sensible
Le choix des prénoms attribués aux nouveaux-nés a toujours été un sujet sensible de notre société, agrémenté de désaccords familiaux ou encore d'avis d'amis pas toujours très flatteurs. Le réalisateur Alexandre de La Patellière en a particulièrement fait les frais : "En bons "bobos" que nous sommes, nous avons donné à nos enfants des prénoms assez originaux. A l'occasion de vacances communes en famille, on a pu remarquer combien cela provoquait des réactions épidermiques, même dans un univers policé comme le nôtre !", confie-t-il. source ( Allociné )
10:40 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : film, le prénom
05/06/2012
Samedi, dimanche , lundi...
Samedi pluie....
Dimanche pluie....
Quelques pas aux Granges d'Astau....
Le soir , toujours la pluie, alors une " bonne table" à la Ferme d'Espiau, à Billière, un lieu chaleureux....
La bonne soupe pour nous réchauffer....offerte hiver comme été....
Dehors, sur la terrasse, " ma table" préférée, sous le tilleul...
Lundi, petite apparition du soleil ! et la montée du lac d'oô....
14:43 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : la vallée d'oô
02/06/2012
Dimanche , nous serons là....
Petit week-end prolongé....à bientôt
09:38 Publié dans randonnees | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : les pyrénées, ce week-end
01/06/2012
J'ai flâné dans les ruelles....
De Sarlat....
12:48 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : balade à sarlat
29/05/2012
Hier....
Au jardin...
Un anniversaire, Cécile , 80 ans....
Cécile, une soeur de Jean- Noel
13:25 Publié dans ANNIVERSAIRE | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : le jardin, à sarlat
Ils ont voté la loi mais ne cotisent pas…
"Faites ce que je vote, mais pas ce que je fais....."
Pentecôte
Elle a été créée en 2004 après la canicule qui avait sévi sur la France l’année précédente… La Journée de solidarité, initialement fixée au lundi de Pentecôte, est un jour de travail non rémunéré dont les fruits financent la prise en charge des personnes âgées et handicapées. Depuis 2008, elle est organisée ”à la carte”. Certains salariés travaillent, d’autres non. Quoi qu’il en soit, ce sont bien sûr nos parlementaires qui ont voté la loi. Sauf que, a fait remarquer le député (app. PS) René Dosière, ils “ne cotisent pas à cette journée”, ce qui est “un peu étonnant”. Et d’avancer : “Je pense que cela provient du fait que juridiquement les parlementaires n’ont pas un traitement” mais “une indemnité”, ce qui signifie que “certains peuvent continuer à exercer une activité professionnelle, pour laquelle ils paieront au titre de la Journée de solidarité”. Toutefois, l’élu souhaite que le bureau de l’Assemblée nationale se penche sur la question.
13:24 Publié dans SOLIDARITE | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : pentecôte, journée de solidarité
La crise grecque et Cristine Lagarde
La patronne du FMI donne des leçons aux grecs, malgrès ses privilèges fiscaux.
un billet De Yann Saint- Sernin
Volée de bois vert et boomerang fiscal pour Christine Lagarde
Pour fustiger « tous ces gens qui tentent en permanence d'échapper à l'impôt », en visant nommément les contribuables grecs, Christine Lagarde était-elle la mieux placée ? Pas sûr.
En remplaçant Dominique Strauss-Kahn à Washington, l'ancienne ministre de l'Économie est devenue l'une des fonctionnaires les mieux payés du monde. Traitement annuel, selon le Fonds monétaire international : 323 257 euros, auxquels s'ajoutent des frais de représentation de 57 829 euros. Et, surprise, selon les règles en vigueur, ces revenus plus que confortables… échapperont eux aussi à l'impôt.
Bien sûr, ce privilège fiscal n'a pas été instauré par Christine Lagarde. Ses prédécesseurs (dont le plus illustre d'entre eux) en bénéficiaient également. Mais il faut reconnaître que, mieux qu'un bouclier fiscal, le statut de fonctionnaire international offre une protection à toute épreuve pour les directeurs d'institution. Ainsi, sauf renoncement de dernière minute, la directrice du FMI bénéficie de la convention sur les privilèges et immunités des Nations unies de 1946. Et celle-ci stipule que « les fonctionnaires seront exonérés de tout impôt sur les traitements et émoluments versés par l'organisation ».
Les « prêteurs téméraires »
Cette petite dérogation n'exonère pas pour autant Christine Lagarde de toute taxe. Elle devra notamment s'acquitter des « impôts et taxes sur les biens immeubles privés situés sur le territoire de l'État accréditaire, à moins que l'agent diplomatique ne les possède pour les comptes de l'État accréditant », précise la convention. Mais la ristourne à laquelle peut prétendre l'économiste en fonction depuis le 5 juillet 2011 a un air de coup de pied de l'âne pour les Grecs. Et, déjà, tel un boomerang impitoyable, la Toile s'en donne à cœur joie à l'encontre de la fonctionnaire.
Car dans l'entretien choc accordé au « Guardian », la directrice du FMI n'y va pas, elle non plus, avec le dos de la cuillère. « Les Grecs devraient commencer par s'entraider collectivement », et ce, en « payant tous leurs impôts », déclare-t-elle en se disant moins préoccupée par leur sort que par celui des enfants d'Afrique.
« Dangereux » selon Laurence Parisot, « caricatural » pour Najat Vallaud-Belkacem, « choquant » pour François Bayrou… La sortie de Christine Lagarde n'a pas fait l'unanimité en France.
Quant aux Grecs, outrés, ils ont inondé par milliers la page Facebook de la directrice du FMI ces dernières heures. « Avez-vous pensé que nous n'avions plus d'argent ? » questionne l'un d'eux. Evangelos Venizelos, le chef de file du Parti socialiste (Pasok), a lui, carrément parlé d'« humiliation ».
Mais le tacle le plus acide provient peut-être de l'éditorial du « Gardian ». Celui-ci rappelle qu'en 2010, parmi les prêteurs à la Grèce, les banques françaises étaient les plus exposées. « Les emprunteurs imprudents n'existent que grâce à des prêteurs téméraires », glisse le quotidien britannique. Et en 2010, la ministre de l'Économie n'était autre que Christine Lagarde.
Mardi 29 mai, Sud - Ouest
13:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : polemique, fmi, christine lagarde, la crise grecque
28/05/2012
A demain....
06:00 Publié dans jardin | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : ce matin, au jardin...
27/05/2012
Cannes 2012, le palmarès
Palme d'or : Amour de Michael Haneke
Trois ans après "Le Ruban blanc", Michael Haneke remporte une deuxième Palme d'or pour "Amour" avec Jean-Louis Trintignant et Emmanuelle Riva.
un huis clos contemporain, centré sur un couple.
Grand Prix : Reality de Matteo Garrone
Grand prix en 2008 pour Gomorra.
Prix d'interprétation féminine : Cosmina Stratan et Cristina Flutur (Au-delà des collines)
Prix d'interprétation Masculine : Mads Mikkelsen (La Chasse)
Prix de la mise en scène : Post Tenebras Lux de Carlos Reygadas
Prix du scénario : Au-delà des collines (Beyond the Hills) de Cristian Mungiu
Prix du jury : La Part des Anges de Ken Loach
Caméra d'Or : Les Bêtes du sud sauvage (Beasts of the Southern Wild) de Benh Zeitlin (présenté à Un Certain Regard)
Palme d'or du court métrage
Silencieux (Sessiz-Be Deng) de L. Rezan Yesilbas
Source ALLOCINE
22:19 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : cannes 2012, palmares
J'ai aimé...
Ce billet de Sylvie Germain , romanciere
La « nomophobie », une névrose du siècle
Un nouveau vocable vient de faire son entrée dans les médias : « nomophobie ». Le mot semble savant, composé d'éléments grecs - « nomos », qui signifie « ce qui est attribué en partage, ce que l'on possède, l'usage, la coutume, la loi », et « phobia », dérivé du radical « phobos », qui désigne « une fuite dans la précipitation, le chaos, due à une peur intense et irraisonnée ».
S'agit-il d'une terreur ou d'une aversion instinctive à l'égard de toute norme sociale, morale, juridique ? Le nomophobe est-il saisi d'une épouvante irrépressible face à la loi, comme le claustrophobe l'est par les lieux clos, l'agoraphobe par l'espace, l'acrophobe par les hauteurs, le photophobe par la lumière, l'anémophobe par le vent… et le phobophobe par la crainte obsédante d'être atteint d'une phobie ? Une telle violente allergie aux règles et aux devoirs existe assurément, quelques individus en radicale rupture de ban en donnent des exemples plus ou moins graves ; les plus atteints s'exilent dans un recoin perdu, ou finissent internés.
Mais je fais fausse route, la nomophobie ne concerne pas du tout la loi, le premier élément de ce mot ne vient pas du grec, il résulte de la contraction de mots anglais : « no mobile phone phobia ». La phobie en question (à très forte teneur en panique, en angoisse, en détresse) porte donc sur la perte possible d'un objet. Mais quel objet ! Le smartphone (appelé « téléphone intelligent » par les Québécois, toujours soucieux, et avec talent, de sauvegarder la saveur de leur langue) est un objet-soi, un objet-monde, un objet-roi. Il est un objet-soi puisqu'il contient dans ses minuscules entrailles hautement sophistiquées une grande part de la vie de son propriétaire, il est le dépositaire de sa mémoire récente, le gérant de son temps, le gardien de ses contacts, le conservateur de ses idées, de ses messages, de ses images, le trésorier de ses goûts musicaux et visuels, le pourvoyeur de ses jeux préférés, le dispensateur de toutes les informations dont il a besoin, le détenteur de bien de ses secrets, bancaires autant qu'amoureux.
Il est aussi un objet-monde, car il est une fenêtre perpétuellement ouverte sur le monde, tant proche - qu'il peut photographier, filmer, et où il peut s'orienter à loisir grâce à son GPS intégré - que lointain, qu'il peut inspecter en zigzaguant à vive allure à travers tous les continents. Un objet-roi, qui donne à son possesseur le don d'ubiquité, une illusion d'omniscience et un sentiment réconfortant d'être soutenu par un réseau de fils multiples et fluides qui le relient en permanence aux autres, particulièrement à ses intimes, à tout instant joignables.
Un objet-magique, qui nous transforme en araignées souveraines trônant au centre d'une toile illimitée sans cesse parcourue de flux d'énergies, d'informations en tout genre, et irriguée par à-coups d'exquises décharges d'adrénaline. Un objet-divin, en quelque sorte. Une idole protectrice, maternelle, un cocon à la fois planétaire et très personnel. Comment, en effet, supporter l'idée d'en être soudain privé, pour cause de panne, de perte ou de vol ?
Le nomophobe, donc, redoute de voir trancher le merveilleux cordon ombilical qui le connecte au monde, et finalement à lui-même, puisqu'il a thésaurisé sa vie dedans. D'après une récente enquête réalisée au Royaume-Uni, 66 % des personnes interrogées s'avouent nomophobes, avec un pic chez les plus jeunes ; le pourcentage est un peu moindre en France, mais le taux va croissant partout, et il ne fera qu'augmenter au rythme du perfectionnement de la technologie.
La nomophobie se révèle une des grandes névroses de ce siècle, et déjà elle mobilise un arsenal d'analystes et de soignants. Alors, pour nous protéger de cette pandémie, tâchons de rivaliser de jugement et de sagacité avec notre « téléphone intelligent », de ne pas lui céder toute notre mémoire, notre pensée, notre curiosité, de ne pas lui confier tous nos désirs, nos attentes et nos secrets.
À chacun d'instaurer sa propre « loi », anti-phobie et anti-dépendance. Autonomophilie ?
Pour l'instant , je suis sauvée ! pas de smarphone , juste un portable au fond du sac....
Il y a une photo du smarphone de Jean -Noel....
06:00 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : la « nomophobie », une névrose du siècle