24/05/2013
Madame Nostalgie
Serge Reggiani chante Georges Moustaki
"Que faudra-t-il retenir de vous, monsieur Moustaki ? « Quelques chansons. J'aimerais être identifié par quelques chansons, qu'elles continuent à vivre sans moi. Milord peut rester très longtemps dans les mémoires. C'est ce qui me rend le plus orgueilleux... »
Le 17 août 2008, Michel TROADEC.
Nostalgie...c'était un 6 janvier 1969 ,Brel, Brassens, Ferré ,nos poètes ...nos vieux amis
13:48 Publié dans Nostalgie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : madame nostalgie
23/05/2013
Au revoir au poète....
17:18 Publié dans TRISTESSE | Lien permanent | Commentaires (5)
21/05/2013
1968 La non Palme
Je t'aime , je t'aime de Resnais
Un film qui a poussé le décalage et l'originalité qui distinguent les grandes Palmes d'or... jusqu'à ne pas l'obtenir. Il aurait dû être projeté au jury présidé par le romancier André Chamson le 18 mai 1968 mais, ce jour-là, en pleine grève générale à Paris, un groupe de cinéastes où figuraient notamment Truffaut et Godard («Je vous parle solidarité avec les étudiants et les ouvriers, et vous me parlez travelling et gros plans! Vous êtes des cons!») fit arrêter le Festival. Le film de Resnais ne sera pas projeté, la manifestation, pour la seule fois de son histoire, s'interrompra sans Palme" ( source Jean Marie Pottier)
La fièvre contestataire touche le Festival de Cannes, en mai 68. Jean-Luc Godard, Roman Polanski, François Truffaut et Louis Malle mènent des débats passionnés, enfermés dans le Palais des Festivals, pour répondre à la question : faut-il arrêter le festival ?
Petite histoire d'un festival interrompu , Solidarité
"Dès le début du festival il y a huit jours, le journal La Marseillaise se demandait déjà si le film choisi pour l'ouverture, Autant en emporte le vent, ne serait pas un mauvais présage. Et pourtant, tandis qu'à Paris, les émeutes étudiantes prenaient une tournure alarmante, le 21ème Festival de Cannes a commencé gaiement, par un splendide feu d'artifice, avec son bal de stars (Monica Vitti, Grace Kelly, Anouk Aimée, Maurice Genevoix, Omar Sharif, Tino Rossi, Giuletta Massina, Fellini...), ses paillettes et ses caprices (Olivia de Havilland et Faye Dunaway avaient des exigences trop extravagantes pour qu'on insiste pour les faire venir)...
À partir de la grève et les manifestations du 13, le prestige frivole de l'événement a commencé de gêner une partie de la presse.
Ce samedi, le malaise a atteint son comble et provoqué un remous sans précédent à Cannes. Salle Jean Cocteau, François Truffaut s'est adressé à la presse au nom du Comité de défense de la Cinémathèque (suite à l'Affaire Langlois) et en soutien aux travailleurs et étudiants en grève pour réclamer l'interruption du festival. Soutenu par un Godard rageur, il a immédiatement coupé court à la projection de Peppermint frappé de Carlos Saura. Milos Forman a sans hésiter retiré son film Au feu, les pompiers ! de la compétition ; Resnais, bloqué à Lyon, s'en est retourné à Paris ; Claude Lelouch a annoncé qu'il ne présenterait pas son documentaire 13 jours en France...
Du côté du jury, Louis Malle a vite démissionné, imité par Vitti, Polanski et Terence Young.
Demain dimanche, François Maurin de L'Humanité annoncera l'annulation du festival "afin de contester le pouvoir gaulliste et la structure de l’industrie cinématographique". Cette dernière sera vue comme divisée entre les "purs" ou "enragés", c'est-à-dire les artistes, et les "corrompus", les "commerçants" qui ont établi leur mainmise sur l'événement cannois.
Une partie de la presse verra là une disparition complète. Lundi, Le Parisien Libéré versera dans l'oraison ("Le Festival de Cannes est mort. À nous maintenant de faire l’autopsie du cadavre"), tandis que Ciné-Jeunes supputera "Peut-être était-ce le dernier Festival de Cannes ?".
Le 26 mai, dans l'article "Un mois qui ébranla le cinéma" publié par France nouvelle, Albert Cervoni dira qu'il s'agissait d'"un geste de solidarité signifiant que le renouvellement de l’activité cinématographique en France passait lui aussi par le renouvellement démocratique de toute la société française", mais exprimé de manière désordonnée faute d'une organisation représentative de toute l'industrie du cinéma."
Je t'aime , je t'aime
"La vie comme un jeu de cartes qu’on aurait rebattues ou fait tomber. Ainsi Resnais retrace-t-il l’existence de Claude Ridder, écrivain suicidaire incarné par Claude Rich, cobaye d’une expérience scientifique sur le temps, et personnage principal de Je t’aime, je t’aime.
Pour évoquer le passé de Claude Ridder, dans lequel celui-ci replonge grâce à une machine à voyager dans le temps, Jacques Sternberg dit en effet avoir rêvé « de retours en arrière qui seraient des moments apparemment insignifiants, des moments d’attente, des instantanés quotidiens, à la fois absurdes et importants, des bribes de dialogues anodins, des rêves et des cauchemars, bref, tout ce qui fait qu’une vie est un mélange d’ennui, de panique, de douceur, d’effroi, de quiétude, d’insolite et de banalité ».
Source LECINEMA , Liveztimes
13:18 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : cannes 1968
19/05/2013
Palme d'or 2000
Un chef d'oeuvre , magique ! beaucoup d"émotion et beaucoup de larmes...scènes d'une grande beauté! bouleversant, des chansons dans un monde injuste...
A voir ou a revoir , j'ai adoré
Une jeune comédienne Bjork , une jeune femme au destin tragique...
"Dancer in the Dark a reçu la Palme d'Or au Festival de Cannes 2000. Björk, quant à elle, s'est vue décerner le Prix d'interprétation féminine. La chanteuse islandaise ne fait pas ici ses débuts dans le cinéma, puisqu'elle était auparavant apparue dans Juniper Tree (Nietzcha Keene, 1987) et Prêt-à-porter (Robert Altman, 1994).
Réalisé par Lars Von Trier
avec Björk, Catherine Deneuve, Peter Stomar
"Selma Jezkova, emigrée tchèque et mère célibataire, travaille dans une usine de l'Amérique profonde. Elle trouve son salut dans sa passion pour la musique, spécialement les chansons et les danses des grandes comédies musicales hollywoodiennes. Selma garde un lourd secret : elle perd la vue et son fils Gene connaîtra le même sort sauf si elle réussit à mettre assez d'argent de côté pour lui payer une opération. Quand un voisin aux abois accuse a tort Selma d'avoir volé ses économies, le drame de sa vie s'intensifie pour se terminer en final tragique." (ALLOCINE)
14:20 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : palme d'or 2000
17/05/2013
Palme d'or 1984
Paris Texas Wim Wenders
Frontière mexicaine, une histoire d'amour, un homme perdu...
Beauté , émotion
Un homme réapparait subitement après quatre années d'errance...
09:52 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : palme d'or 1984
16/05/2013
Palme d'or 1985 1995
Le genie d'Emir Kusturica
PAPA est en voyage d'affaires
Palme d'Or à l'unanimité du Festival de Cannes, 1985
Prix de la Fédération Internationale de la Presse Cinématographique (FIPRESCI) au Festival de Cannes, 1985
En 1986, le film fut sélectionné pour l'Oscar du meilleur film étranger, ainsi que pour le Golden Globe du meilleur film étranger.
Underground Palme d'or Cannes 1995
l'histoire de l'ex-Yougoslavie de 1941 à nos jours à travers l'histoire de la vie de Blacky, arriviste manipulateur.
Film polemique ( pas envie d'en parler) Bouleversant, rythme étourdissant, superbe !
Aimé aussi " Le temps des gitans" poème baroque, A voir et à revoir...
L'errance et la souffrance du peuple Rom et toujours l'amour de l'absurde
prix de la mise en scène à Cannes en 1989
Un cinéma qui fait rêver...
Envie de lire
"Où suis-je dans cette histoire ?" est son autobiographie. Né à Sarajevo en 1954, sa vie est à l’image de ses films : intense, foisonnante, provocatrice, loin du politiquement correct. Je l’ai dévoré en quelques heures, tant cette histoire d’un homme dans l’Histoire d’un pays est passionnante.
A travers son histoire personnelle, son enfance à Sarajevo, ses études à Prague et sa carrière cinématographique, on suit, vue de l’intérieur, l’histoire politique de la Yougoslavie de l’époque du Maréchal Tito à son désagrégement dans les années 90. En ouvrant son album de famille, à travers ses souvenirs, on assiste à la mort d’un pays, à l’éclatement des peuples.( Source YULBABA)
Après s'être exilé aux Etats-Unis pour le tournage de Arizona Dream, Emir Kusturica revient sur ses terres pour filmer Underground. Une vaste fresque cinématographique doublée d'une fable politique. Le film a été tourné dans les studios de Prague pour les intérieurs (avec de superbes décors que l'on doit à Miljen Kreka Kljakovic, déjà chef décorateur pour Arizona Dream et Le Temps des gitans) et en partie à Belgrade (alors en pleine guerre), pour les extérieurs.( source ALLOCINE)
13:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Hier
Balade...
08:42 Publié dans Balade | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : balade mois de mai
15/05/2013
Palme d'or 1960
film d'Henri Colpi, palme d'or à Cannes en 1960 "Une aussi longue absence" scénario de Marguerite Duras, chanson "Trois petites notes de musique" paroles de Henri Colpi, musique de Georges Delerue avec Alida Valli et Georges Wilson.
Très belle histoire , un immense chef d'oeuvre
Portrait d'une femme seule (Alida Valli) qui croit reconnaître dans un clochard amnésique (Georges Wilson) son mari porté disparu en Allemagne, ce drame décroche le Prix Louis-Delluc en 1960, et la Palme d'Or au Festival de Cannes l'année suivante (ex aequo avec Viridiana de Buñuel) ( source ALLOCINE)
10:31 Publié dans cinema | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : cinéma, palme d'or, 1960
14/05/2013
Exilé des vacnces...
Exilé des vacances
dans sa zone perdue
il découvre la mer
que jamais il n'a vue
La caravane vers l'ouest
la caravane vers l'est et vers la Croix du Sud et vers l'Étoile du Nord ont laissé là pour lui
de vieux wagons couverts de rêves et de poussière
Voyageur clandestin enfantin ébloui
il a poussé la porte du Palais des Mirages
et dans les décombres familiers de son paysage d'ombres inhospitalières
il poursuit en souriant son prodigieux voyage
et traverse en chantant un grand désert ardent
Algues du terrain vague
caressez-le doucement.
Photos Izis
Izis et Prevert , Londres 1952
Réédition d'un livre paru en 1952 à Lausanne (Suisse) dans lequel Jacques Prévert le poète, et Izis le photographe nous font visiter Londres à leur manière, au travers de poèmes et de photographies. Ce livre fait suite à un précédent ouvrage "Grand bal de printemps", signé par le même duo qui nous promène dans un Paris insolite.
"Les charmes de Londres" pas encore lu....et " le grand bal du printemps" j'adore...
11:58 Publié dans poesie | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : prévert
13/05/2013
C'était un 13 mai....
13 mai 1996 , Jean- Noel ,opération en urgence d'un cancer du pancreas
17 ans aujourd'hui !
Septembre, première rando , après plus d'un long mois d'hospitalisation,
Sentier de la Palombière à Sare
Depuis, d'autres opérations....d'autres randos....
09:31 Publié dans anniversaires | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : un 13 mai