09/06/2008
SI L'irlande dit non
Restait l'Irlande. La splendide et particulière Irlande républicaine qui ne fait rien comme personne. Ici, la Constitution impose le suffrage universel à toute ratification européenne. On ne peut s'y passer de l'avis du peuple souverain. "
11:01 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : politique
07/06/2008
IMMIGRATION et EDUCATUON CIVIQUE
Six organisations dénoncent la "tentative de transformer l'éducation civique en prosélytisme en faveur d'une vision réductrice de l'immigration et des droits de l'Homme" après avoir pris connaissance de nouveaux programmes d'éducation civique pour le collège, jugés "pernicieux".
six organisations de défense des droits de l'homme, fédérations et syndicats de l'éducation (FCPE, FERC-CGT, GISTI, LDH, RESF, SNES-FSU) ont lancé, vendredi 6 juin, un appel à la vigilance après avoir pris connaissance de nouveaux programmes d'éducation civique pour le collège qui leur apparaissent "comme un nouvel usage scolaire de la problématique de l'identité nationale dans ce qu'elle a de plus pernicieux".
"Les droits fondamentaux s'appliquent à tous"
Dans un communiqué commun intitulé "Education civique : vers un apprentissage de la xénophobie ?", les organisations s'insurgent notamment contre le libellé de la partie du programme de 3e consacrée à la nationalité et la citoyenneté, ainsi formulé : "La diversité de la population sur le territoire national est prise en compte en faisant apparaître (…) : – la nature des droits civils, économiques et sociaux accordés à tous les habitants régulièrement installés sur le territoire national ".
"Cette formulation accrédite l'idée que les étrangers qui ne sont pas régulièrement installés sur le territoire ne bénéficieraient pas de droits civils, économiques et sociaux", soulignent les organisations, qui rappellent que "les droits fondamentaux s'appliquent à tous, y compris aux étrangers sans papiers".
Ne pas transformer l'éducation en prosélytisme
S'indignant contre la politique du gouvernement (politique de quotas d'expulsions et d'"immigration choisie") qui le conduit "à bafouer ces principes", les organisations assurent qu'elles dénonceront fermement "toute tentative de transformer l'éducation civique en prosélytisme en faveur d'une vision réductrice de l'immigration et des droits de l'Homme."
NOUVELOBS.
13:20 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : politique
31/05/2008
MARIAGE ANNULE
"Inquiète", la philosophe et écrivain dit avoir "honte" de la justice française après la décision du tribunal de grande instance de Lille d'annuler une union pour "erreur sur les qualités essentielles du conjoint". L'épouse avait menti sur sa virginité
Elisabeth Badinter a "honte"
Cette décision du TGI de Lille a fait bondir Elisabeth Badinter. La philosophe et écrivain a exprimé sa "honte" pour la justice française. "Je suis ulcérée par la décision du tribunal d'accepter de juger ça parce que la sexualité des femmes est une affaire privée et libre en France, absolument libre", a-t-elle déclaré sur France Inter.
"Très inquiète" de ce jugement annulant un mariage "parce que la jeune femme n'est pas vierge et a menti sur sa virginité", Elisabeth Badinter estime que "ça aboutit tout simplement à faire courir nombre de jeunes filles musulmanes dans les hôpitaux pour se faire refaire l'hymen. Et par conséquent au lieu pour un tribunal de défendre les femmes, de défendre ces jeunes femmes, au contraire il accentue la pression sur elles".
"Et je vous dis franchement, je pense à cette malheureuse jeune fille, humiliée, publiquement humiliée, revenant dans sa famille, ce qu'elle a dû vivre a dû être épouvantable. J'ai honte que la justice française n'ait pas pris à cœur de défendre toutes ces jeunes filles", a-t-elle conclu. (avec AFP)
Merci Mme Badinter
16:47 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : justice
29/05/2008
Le Népal, de la monarchie à la république
Le drapeau royal de la dynastie des Shah qui régnait depuis deux cent quarante ans sur le Népal a été retiré, jeudi 29 mai, du palais de Katmandou. C'est la première conséquence de l'abolition de la monarchie, mercredi, par l'Assemblée constituante dominée par les ex-rebelles maoïstes. Le Népal, seule monarchie hindouiste au monde jusqu'à mercredi, est dorénavant une république.
19:59 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : politique
"ENTRE LES MURS
La mère d'un des jeunes acteurs régularisée
Aïssata Bah, la mère sans-papiers d'un des jeunes acteurs du film "Entre les murs", Palme d'or du dernier Festival de Cannes, a été régularisée mercredi 28 mai ont annoncé le réalisateur du film Laurent Cantet et le Réseau éducation sans frontières (RESF) dans un communiqué commun
Aïssata Bah, d'origine malienne, "mère de Boubacar, élève du collège Françoise Dolto et jeune acteur du film 'Entre les murs', a été reçue ce jour (...) à la préfecture de Police de Paris pour l'examen de sa situation administrative", indique le réalisateur et l'organisation dans leur communiqué.
Autorisée à travailler
"L'étude de son dossier a fait l'objet d'une décision positive. En attendant la fabrication de sa carte de séjour, le récépissé de titre 'vie privée et familiale' qu'elle a obtenu aujourd'hui l'autorise à travailler", se réjouissent-ils.
Dans leur communiqué, Laurent Cantet et le Réseau "font le voeu que toutes les familles et les jeunes majeurs sans-papiers puissent, comme Aïssata, enfin vivre dignement et sereinement dans notre pays qui est devenu le leur".
A la préfecture de police on indiquait mercredi que Aïssata Bah avait entamé ses démarches le 26 mars dernier et qu'elle avait été convoquée pour "étude de son dossier" mardi.
Boubacar Bah est l'un des 24 élèves qui ont joué dans le film "Entre les murs" tourné au collège Françoise Dolto du XXe arrondissement de Paris. Le film a obtenu la Palme d'or du Festival de Cannes dimanche 24 mai. (AP)
a l'époque du tournage, pendant l'été 2007, Boubakar n'avait rien dit sur la délicate situation de sa mère, qui n'est sans doute pas la seule dans ce cas dans ce collège. Mais elle est l'une des rares parents d'élève à avoir osé demander à des associations de l'aider. L'ayant appris, le réalisateur Laurent Cantet, déjà impliqué dans le passé pour la cause des sans-papiers, a proposé de parrainer Boubakar, pour le protéger d'une éventuelle expulsion.
Dans son film, mi-documentaire mi-fiction, Laurent Cantet plonge le spectateur dans le quotidien d'une classe d'un collège parisien où un jeune professeur de français s'efforce d'enseigner à ses élèves une langue différente de la "tchatche".
00:01 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : politique
26/05/2008
LA FRONDE DES ELUS ANTI-OGM
«Je ne m’oppose pas aux expérimentations, pour peu qu’elles garantissent les libertés ! » Philippe Bonard ne perd pas une occasion de manifester son hostilité aux OGM dont la dissémination porte gravement atteinte aux autres formes de cultures. « En acceptant ces pratiques, le gouvernement prend le risque d’ouvrir la boîte de Pandore, peste le maire de Mûrs-Érigné (Maine-et-Loire, 5 000 habitants). Sans compter que nous touchons là une vraie question sociétale qui engage chacun de nos concitoyens sur le choix de son alimentation. » L’exécutif dont il a la charge, travaille depuis longtemps déjà sur cette problématique.
Le docteur en droit public et nouveau maire socialiste de Millau, Guy Durand, entend faucher les OGM jusque sur sa commune. Il n’y a déjà plus de pesticides dans les serres municipales. Les cantines des écoles servent des repas bio. La ville est le siège de l’interprofession du fromage de Roquefort qui a proscrit les OGM dans le lait de brebis
Lorsque la réalisation d’un dommage […] pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent […] à la mise en œuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage» , indique l’article 5 de cette charte.
Ordre public. Ce qui vaut pour l’environnement, fait valoir Guy Durand, ne peut que s’appliquer à la santé et à l’ordre public. La boucle juridique serait ainsi bouclée. Ce professeur de droit ne doute pas que son arrêté sera attaqué. Il ne doute pas non plus qu’il saura le défendre : «Et ce fera une belle jurisprudence».
Vent de fronde en Aveyron?
17:57 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : politique
25/05/2008
Enfermement des migrants, la mobilisation se poursuit contre la "directive de la honte"
Plusieurs centaines d’associations européennes ont appelé à manifester le 7 mai à Bruxelles contre "la directive de la honte". Rassemblés sur la place du Luxembourg, devant le Parlement européen, près de 600 citoyens européens ont accompagné la remise des 33000 signatures de la pétition au président du Parlement européen. La délégation a été reçue par le député Manfred Weber et les membres des différentes organisations européennes ont pu rappeler au rapporteur du texte les raisons de leur opposition à cette directive.
Après plusieurs reports successifs depuis le mois de novembre 2007, ce projet de directive devrait être soumis au Parlement européen en juin prochain. La mobilisation doit donc être maintenu pour que ce projet de directive soit rejeté.
Ce projet, dans la continuité des politiques européennes sur l’immigration axées uniquement sur les volets sécuritaire et répressif, officialise la disparition des principes fondamentaux des personnes.
Nous appelons donc l’ensemble des citoyens européens à manifester leur opposition en écrivant aux groupes politiques qui n’ont pas encore pris position contre cette directive :Les eurodéputés seront également sensibilisés
Rappelons que ce texte s’il était adopté, permettrait :
► l’enfermement des étrangers pouvant atteindre 18 mois pour le seul fait d’avoir franchi des frontières et de vouloir vivre en Europe ;
► la détention des mineurs, au mépris du respect de l’intérêt supérieur de l’enfant ;
► l’interdiction pour les étrangers expulsés de revenir en Europe pendant 5 ans, ce qui revient à criminaliser et à exclure ces personnes.
Au regard de ces violations des Droits de l’Homme, nous demandons donc aux parlementaires européens de rejeter ce projet de directive.
Il est de notre responsabilité de réagir pour empêcher la systématisation des camps et l’éloignement des personnes jugées indésirables.
Signataires de l’appel : AEDH, Anafé, APDHA, Arci, ASTI Luxembourg, ATMF, Cimade, Cire, Gisti, Ipam, Kerk in Actie, LDH Belgique, Migreurop, ProAsyl.
http://www.cimade.org/nouvelles/855-Enfermement-des-migra...
Depuis 1990, la politique européenne conduite par les gouvernements en matière d’immigration et d’asile s’est traduite par une réduction continue des garanties et des protections fondamentales des personnes. L’Europe se transforme en une forteresse cadenassée et met en oeuvre des moyens démesurés pour empêcher l’accès à son territoire et expulser les sans-papiers.
Non à la directive de la honte !
14:24 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : solidarite
23/05/2008
URGENCE D'UN REVENU D'EXISTENCE
Pacte de soutien Ni Pauvre Ni Soumis
La situation est grave : des centaines de milliers de personnes en situation de handicap, atteintes de maladie invalidante ou victimes d’accident du travail, qui ne peuvent pas ou plus travailler, sont condamnées à vivre toute leur vie sous le seuil de pauvreté.
Le mouvement « Ni pauvre, ni soumis » revendique, pour ces personnes, un revenu d’existence décent, c’est-à-dire un revenu personnel égal au montant du Smic brut pour les personnes qui ne peuvent pas ou plus travailler.
Parce qu’entre handicap, maladie et pauvreté, il y a un intrus que l’on peut supprimer tout de suite ;
Parce que la valeur « travail » ne peut concerner que celles et ceux qui peuvent effectivement travailler ;
Parce que les personnes en situation de handicap ou atteintes de maladie invalidante sont citoyennes à part entière et ne peuvent plus accepter l’assistanat ;
Parce qu’un projet de société qui ne permet pas à chacun de pouvoir formuler et mettre en œuvre ses projets n’est que le projet d’UNE société, dont à l’évidence de nombreuses personnes en situation de handicap ou atteintes d’une maladie invalidante sont exclues ;
Parce que soutenir « Ni pauvre ni soumis », c’est faire en sorte que le projet de société qui nous est proposé change profondément pour prendre en compte l’ensemble des citoyens ;
Parce que soutenir « Ni pauvre ni soumis », c’est faire en sorte que les valeurs de solidarité, de participation, de non-discrimination, de respect et de dignité cessent d’être des mots dans le discours de nos politiques ;
Parce que les valeurs qui nous sont communes et ce qui nous unit est bien plus fort que ce qui nous distingue ;
Je signe le pacte de soutien au mouvement « Ni pauvre, ni soumis » !
Toutes les signatures accompagnées du pacte seront remises au président de la République, lors de la conférence nationale du handicap le 10 juin prochain à Paris.
13:32 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : solidarite
22/05/2008
Arthur Rimbaud, l’article inédit
Un texte inédit dans un journal oublié... |
"C’est le soir. Sous sa tente, pleine de silence et de rêve, Bismarck, un doigt sur la carte de France, médite ; de son immense pipe s’échappe un filet bleu. Bismarck médite. Son petit index crochu chemine, sur le vélin, du Rhin à la Moselle, de la Moselle à la Seine ; de l’ongle, il a rayé imperceptiblement le papier autour de Strasbourg : il passe outre".
C’est sous le pseudonyme de Jean Baudry que l’immense poète français a fait ses premières armes, au sortir de l’adolescence, dans les colonnes du Progrès des Ardennes. Et c’est presque par hasard qu’un jeune documentariste a retrouvé un article inédit datant de novembre 1870.
Voici un extrait de l’article littéraire, intitulé "Le rêve de Bismarck", rédigé par Arthur Rimbaud à l’âge de 16 ans, et publié dans les pages du Progrès des Ardennes en novembre 1870. C’est peu dire que cette nouvelle, fascinante par son contexte, a époustouflé les biographes, adorateurs ou autres admirateurs du poète. D’autant qu’il s’était écoulé soixante longues années depuis la dernière découverte d’un de ses écrits.
Avec cet article, les biographes découvrent un Rimbaud patriote
C'est le soir. Sous sa tente, pleine de silence et de rêve, Bismarck, un doigt sur la carte de France, médite; de son immense pipe s'échappe un filet bleu.
Bismarck médite. Son petit index crochu chemine, sur le vélin, du Rhin à la Moselle, de la Moselle à la Seine; de l'ongle il a rayé imperceptiblement le papier autour de Strasbourg ; il passe outre.
À Sarrebruck, à Wissembourg, à Woerth, à Sedan, il tressaille, le petit doigt crochu : il caresse Nancy, égratigne Bitche et Phalsbourg, raie Metz, trace sur les frontières de petites lignes brisées, - et s'arrête...
Triomphant, Bismarck a couvert de son index l'Alsace et la Lorraine! - Oh! sous son crâne jaune, quels délires d'avare! Quels délicieux nuages de fumée répand sa pipe bienheureuse!...
(Article paru dans « le Progrès des Ardennes » du 25 novembre 1870)
13:49 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : politique
21/05/2008
dans les bidonvilles de Johannesburg
Les attaques xénophobes se multiplient dans les bidonvilles de Johannesburg
Dès que la nuit tombe, armés de lances, de bâtons, de couteaux, parfois même d'armes à feu, des groupes se dispersent dans les bidonvilles de Johannesburg. Ils frappent aux portes, demandent l'identité de l'occupant. Il suffit d'un accent prononcé, d'une mauvaise maîtrise des langues locales pour que l'étranger ne puisse plus se cacher. Les portes alors sont défoncées, les occupants battus, parfois tués, des femmes violées.
Le scénario de cette chasse à l'homme est le même depuis une semaine dans plusieurs quartiers dans et autour de Johannesburg. Il a déjà fait près d'une vingtaine de morts, dont douze pour ce seul week-end, et plus de 3 000 sans-abri, réfugiés dans des commissariats, des centres communautaires ou des églises.
Les premiers incidents sérieux ont eu lieu à Alexandra, cité de misère au pied des buildings du quartier des affaires de Johannesburg. Des cabanes de fortune, faites d'amas de tôles, de caisses de bois, de plastique, s'étalent en pente douce, à perte de vue.
La cible : les étrangers, accusés de quasiment tous les maux du township. Ils seraient responsables du chômage, prendraient le travail des autochtones, seraient des gangsters, s'approprieraient indûment les logements sociaux construits par l'Etat : une litanie de reproches lancée par une population qui n'en peut plus de vivre dans la misère.
Deux personnes ont été tuées à Alexandra. Des centaines d'étrangers se sont réfugiés dans la cour du commissariat. La Croix-Rouge et Médecins sans frontières leur sont venus en aide
En début de semaine, Diepsloot, un autre township situé au nord de Johannesburg, s'est enflammé à son tour. Trois autres ont suivi et, samedi, le centre-ville s'est embrasé à son tour avec son lot de blessés, de maisons et de boutiques incendiées.
La police est intervenue partout. Mais les balles en caoutchouc, les gaz lacrymogènes ont bien du mal à disperser les foules en colère, qui se reforment rapidement en petits groupes pour poursuivre la chasse aux étrangers.
La plupart des victimes sont des immigrés clandestins venus du Zimbabwe, du Malawi ou du Mozambique. Ils seraient entre 3 millions et 5 millions dans le pays. Récemment, des centaines de milliers de Zimbabwéens sont arrivés en Afrique du Sud, fuyant la crise économique et politique sans précédent que traverse leur pays.
Le président sud-africain, Thabo Mbeki, refusant de reconnaître la gravité de la situation au Zimbabwe, n'a jamais traité avec attention le problème des migrants. La seule politique du gouvernement consiste à rafler puis à reconduire massivement les Zimbabwéens à la frontière.
Il est quasiment impossible pour un Zimbabwéen d'obtenir un statut de réfugié. Sans papiers, ils vivent dans la peur de la police et acceptent souvent des salaires inférieurs aux minima légaux
Jacob Zuma, président de l'ANC, Nelson Mandela, son ex-épouse Winnie, qui s'est rendue à Alexandra, quasiment toute la classe politique a condamné ces attaques xénophobes. Alors que l'opposition demande le déploiement de l'armée et craint que la situation n'échappe à tout contrôle, Thabo Mbeki a mis en place un "panel", charger de trouver "qui est derrière ces attaques". Pour la plupart des analystes, il n'y a qu'un responsable à cette flambée de violences : la pauvreté
LE MONDE | 19.05.08
23:59 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : politique